Quand la lune blanche S’accroche à la branche Pour voir Si quelque feu rouge Dans l’horizon bouge
Le marais dort, crispé d’un gel ta… Dans la brume qui s’épaissit et se… Tour à tour, la Sologne étend sa… Nous sommes là depuis une heure, l… Et tout à coup, tandis qu’une étoi…
Quand j’aurai bien souffert de mon… Qui contenait le rythme et les ray… Sans l’avoir jamais vue, en des pl… Des hommes la cloueront, ironique… Car ce que j’ai chanté n’est encor…
Oui, mon pays est encor France : La fougue, la verve, l’accent, L’âme, l’esprit, le coeur, le sang… Tout nous en donne l’assurance : La France reste toujours France.
Les haches sonnent dur, le sol est… A la terre, les gels d’automne se… —Amante qui chassa l’amant par las… Et souffre, tant qu’un autre amour… Douleur inhérente aux changements…
Pour bercer son sommeil mystique d… Au fond du petit lit où l’on se pe… Je lui chante à mi-voix les chanso… Viviane aux yeux pers, Merlin ou… Qu’étreignait un démon accroupi su…
Mon œil rêveur suit la barque loin… Qui vient à moi, faible jouet des… J’aime à la voir déposer sur l’arè… D’adroits pécheurs, de joyeux mate… Mais à ma voix, nulle voix qui rép…
Je voulais lire le petit prince Car pour ton sourire j’en pince Attention je ne parle pas d’amour Mais d’une douceur comme le velour… Une politesse, un corps magnifique
Ce qu’il nous faut, à nous, pauvre… Tribu rebelle à tout joug détesté, C’est une lyre avec des chansonnet… C’est le soleil avec la liberté. Alors qu’on voit tant de larmes am…
Les mélancoliques crapauds Avec leurs violons sous l’eau Font une musique à la lune. Ô crapauds, vos violons verts Faits d’eau morte et de cristal cl…
Sonnet. Un grand chemin ouvert, une banale… À travers vos moissons ; tout le j… Poudreuse ; dont le bruit vous ôte… Où la rosée en pleurs n’a jamais u…
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas
« Que dirais-tu, ami, de ces homme… Qui s’aiment sans détour, qui s’em… Est-ce un mal, une faute, un capri… Ou juste des humains, comme nous,… On m’a demandé hier ce que je pens…
D’illusions fantastiques Quel doux esprit t’a bercé ? Qui t’a dit ces airs antiques, Ces contes du temps passé ? Que j’aime quand tu nous chantes
Sonnet. Des nuits du blond et de la brune Pas un souvenir n’est resté Pas une dentelle d’été, Pas une cravate commune ;
Le fleuve qui, libre et tranquille… Traîne ses marnes et ses eaux Au milieu des pâles roseaux. Presse en ses bras une longue île, Qui semble un navire échoué
Toute la nuit la pluie légère A glissé par jets et par bonds. Viens respirer au bois profond L’odeur de la verdure amère. Ton coeur est triste, morne et las…
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire
Des feux du soir l’horizon se colo… J’entends gronder un tonnerre loin… L’air embrasé semble irriter encor… Ce mal brûlant qui dévore mon sein… Un bruit, un mot, tout accroît mon…
Notre maison est seule au creux de… Où le chant d’une source appelle d… Où le bout de jardin plein de légu… La roche qui nous tient dans son â… Septembre laisse choir sur les mol…
Viens-t’en nous aimer ailleurs, N’importe où, mais loin des villes… Viens-t’en sous des deux meilleurs… Ici les âmes sont viles, Ici le vent est chargé
Ses tâches marron dispersé sur cet… Ces grincements atourdisan. Ces mains désespéré. Ses son firmes. Ses respiration accéléré.
Neuf heures. On entend la retrait… Les grisettes s’en vont du côté de… Après avoir fini la tâche journali… C’est comme un coup de pied dans u… En waterproof, avec le petit sac d…
Entrons dans l’herbe florissante Où le soleil fait des chemins Que caressent, comme des mains, Les ombres des feuilles dansantes. Respirons les molles odeurs
Pressé de désespoir, mes yeux flam… À ma beauté cruelle, et baisant pa… Mon poignard nu, je l’offre aux ma… Et lâchant mes soupirs en ma tremb… Ces mots coupés je presse :
De force, au chemin qui nous coule… Pourquoi, Seigneur, nous pousser… Si le Christ a fraye la route, Il savait ! Et que savons-nous ? Il souffrait pour sauver le monde,
À Madame ***. Et je vous ai revue, et d’espéranc… J’ai rougi ; près de vous un faute… Et votre œil sans courroux sur moi… Et je me suis assis, et nous avons…
Messager discret et fidèle, Dit un jour Amour au Zéphir, Je veux étonner l’avenir Du prix que j’accorde à ton zèle ! A mes yeux tu l’as mérité,
Oh ! ne puis-je étouffer les vains… Éloigner son calice amer, Fuir cette route obscure, où je su… Pour des aspects plus doux, un hor… Viens donc, oh ! viens à moi, bien…
Au loin, Le bleu jaillit dans sa présence en entourant le vert plat éclairé par les ondes jaunes. Entretemps,
À Henri Boutet. Deux grands bœufs vendéens à robe… Traînant un lourd charroi d’arbres… Que mène un fier garçon tout bronz… Et les soleils marins, sont entrés…
À Joseph Bertrand. Quand un ardent soleil s’éleva de… Tous les glorieux morts n’étaient… Habits galonnés d’or et capotes de… S’étalaient par lambeaux richement…
La Bête féroce. Lui – cet être faussé, mal aimé, m… Mal haï – mauvais livre... et pire… S’il est vide après tout... Oh mo… Comme un roman pauvre – entr’ouver…
Vieux château de Windsor, dont le… Éveillent d’Albion les harpes roma… Livre au barde étranger quelque gr… Qu’il puisse avec ses chants légue… Naguère j’ai cru voir, sous tes po…
Synopsis : poème sur la mort, le t… Sous tes paupières, les perles d'u… Sourdent et glissent d'un des plus… Puis disparaissent, aux sables de… A quoi bon pleurer sur ce qui n'es…
Je ne suis plus de ces esprits phi… Et ce n’est pas de morale que tu t… Deux admirables conditions pour l’… Tel que nous l’entendrons, c’est-à… Aucun de bête convenance ou de lim…
C est le chapitre de Priska . C est la rubrique du journal Comè… Le capitaine Atlas .. le héros f… Zeus est venu détruire le palais d… La muse Xéna s était éloignée dan…
Sans crainte, mon Annette, ah ! r… En regardant ton fils que ta peine… Comment ne pas chérir sa vie Quand elle appartient à l’amour ? Du courage qu’il donne il est la r…
En un petit esquif éperdu, malheur… Exposé à l’horreur de la mer enrag… Je disputais le sort de ma vie eng… Avec les tourbillons des bises out… Tout accourt à ma mort : Orion pl…
Au vent joyeux de la bonne nouvell… L’étable s’ouvre ; et sa merveille… Que les naïfs bergers en sont trou… Illuminant la crèche sombre encore… L’Enfant paraît en un orbe d’auro…
Et vos cheveux, alors, de sombres Deviennent gris, et de gris, blanc… Comme un peuple aux ailes sans nom… De colombes aux vols tremblants. Suis-je sur terre ou bien rêvè-je…
Sonnet XXIII. Si je pouvoy’ porter dedans le sei… Avec mon amitié celle que j’ayme a… Je ne me plongeroy au curieux souc… Qui dévore mes sens d’une ennuyeus…
Tous en beauté croissaient ensembl… Sous le toit qui leur était cher ; Cherchez quel tombeau les rassembl… Les monts, les fleuves et la mer ! Au soir, la même et tendre mère
J’ai vécu. Ce n’est pas que la mo… Mais en sondant mon cœur j’ai vu q… La fleur de poésie était toujours… Dieu bon ! et que jamais sur sa ti… N’avaient autant germé de boutons…
C’était un beau spectacle au milie… La lune qui sortait de ses voiles… Et qui glissait entre deux tours ; L’orage qui là-bas s’avançait dans… Le château qui voyait, de ses tête…
C est l article de Striking . C est la rubrique sur la gazette… Le poète vient d écrire ces quelqu… L homme avec le temps .. il devi… C est le parfum .. les odeurs des…
Bien au delà des jours, des Ans m… Du vertige des Temps dont la fuit… Voici ce que j’ai vu, dans l’immua… Qui me hante, depuis les songes ou… J’errais, seul, sur la Terre. Et…
J’ai rencontré avec sa lumière bla… Je ne respire plus... Un adieu in… Et maintenant, dites-moi si cette sera perpétuel... Allez, mensonge… Dites-moi qu’il me reste encore du…
À Madame Sureau-Bellet. L’hirondelle frileuse au loin s’ét… Sous les dernières fleurs, les pap… Près des étangs voilés où crépitai… Sur des eaux sans miroir les grand…
Si je le parle, à coeur de jour, Au pays, avec les miens, comme Au grand siècle tout gentilhomme Le parlait aux abbés de cour, C’est... Ains seulement par amour…
(Sur la mort de Mgr. le duc d’Orl… 1611. Consolez-vous, madame ; apaisez vo… La France, à qui vos yeux tiennen… Ne dormira jamais d’un paisible so…
L’autre matin, sous la fraîche cou… Le beau Colin, loin des regards j… S’imaginait trouver encore Lisett… Une heure au moins après le rendez… « Il est trop tard, lui dis-je, el…
Ô toi, qui fus mon écolière En musique, et même en amour, Viens dans mon paisible séjour Exercer ton talent de plaire. Viens voir ce qu’il m’en coûte à m…
Un dernier mot, Pascal ! À ton to… Pousser aussi ma plainte et mon cr… Je vais faire d’horreur frémir ta… Mais du moins j’aurai dit ce que j… À plaisir sous nos yeux lorsque ta…
Il pleut des cordes Le temps est morne Résidus de solitude Auto-lassitude Une tempête sauvage
En mille crespillons les cheveux s… Se pincer les sourcils, et d’une o… Parfumer haut et bas sa charnure m… Et de blanc et vermeil sa face dég… Aller de nuit en masque, en masque…
Sur le bord du chemin, que j’aime… Fuyant le nid léger que balance l’… Prendre le grain qu’il porte à sa… Les premiers jours de mai, quand s… Sur le bord du chemin, que j’aime…
Les voix qui s’élevaient tremblent… Tout est calme dans la clairière On pourrait voir passer ceux qui s… Sur cette route sans ornières D’où vient celui que l’on ne conna…
Tableau V. Ah ! Justine, qu’avez-vous fait ? Quel nouveau trouble et quelle ivr… Quoi ! cette extase enchanteresse D’un simple baiser est l’effet !
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…