Il pleut des cordes
Le temps est morne
Résidus de solitude
Auto-lassitude
Une tempête sauvage
Dans quatre barrages
Pas assez d’espace
Pour ce terrible orrage
J’effondre les normes,
J’écroule la borne
Entre ce nuage sombre
Et la tritesse tendre.
Plus des silences altruistes
Qui me rendront triste
Je libère entièrement la bête
Et qu’il pleuve des cordes sous ma tempête.