Que seules les personnes ayant des… Un matin, une maman et sa fille so… Quand soudain la fillette vit au loin une bouche… et venir dans leurs direction,
Amis, accueillez-moi, j’arrive dan… Dépensons l’existence au gré de no… Vivre, c’est être libre, et pouvoi… Abandonner son âme à l’attrait du… C’est chanter, s’enivrer des cieux…
Petite maison basse, au grand chap… Qui, d’hiver en hiver, semble s’êt… Dans la terre sans fleurs, autour… Petite maison grise, au grand chap… Au lointain bleu, là-bas, dis-le-m…
Hélas ! hier encor sur mon front,… Sont venus se poser la joie & le p… J’ai ri comme une folle... aujourd… Car ma porte est fermée & j’en ai… Ô pauvre humanité ! J’ai pitié de…
Dans le calme et le silence des ne… Mon esprit devient cristal Le bouillonnement du monde des idé… Je me suis simplement laissée trav… Dans l’eau cristal de mes pensées
L’aigle noir aux yeux d’or, prince… Ouvre, dès le premier rayon de l’a… Ses ailes comme un large et sombre… Un instant immobile, il plane, épi… Là-bas, au flanc du roc crevassé,…
Sonnet. 1608. Voyant ma Caliste si belle, Que l’on n’y peut rien désirer, Je ne me pouvais figurer
Et vous, l’ancienne esclave à la c… Vous le bétail des temps antiques… Vous, femmes, dont Jésus fit la V… D’après Celle qui porte en ses ye… Le reflet le plus grand des rayons…
En vain l’Amour, disait Iris, Croit soumettre mon cœur surpris ; A ses traits il échappe. Je ris de ce méchant marmot, Et je le crois encore plus sot
C’est dans tes bras Que j’ai pu triompher de mes peine… C’est par ton souffle que j’éteign… C’est par la lyre de tes mains dan… Que j’ai appris à écouter le monde…
Je ne voie rien qui ne me refigure Ce front, cet œil, ce cheveu jauni… Et ce tétin en bouton finissant, Bouton de rose encor en sa verdure… Son beau sourcil est la juste vout…
Quel chagrin obscurcit tes yeux ? Qu’as-tu, ma chère Léonore, Toi qu’une souris si gracieuse Naguère embellissait encore ? Un amour tendre et malheureux
Ainsi, j’avais en vain suivi d’un… Mille rêves d’amour, de gloire et… Toujours ils avaient fui ; mon âme… Je me faisais pitié ! La douleur arrêtait ma course hale…
Fragments d’une ode. Les peuples, pipés de leur mine, Les voyant ainsi renfermer, Jugeaient qu’ils parlaient de s’ar… Pour conquérir la Palestine,
Écoutez ce que c’est que la femme… Sa joie est un tourment, sa douleu… Dans son cœur dégradé que le crime… Un autre a pris la place à l’époux… D’impures voluptés elle s’est abre…
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
Dieu sait bien que la femme est ma… Mais l’époux généreux, chez l’épou… S’ils sont deux bons chrétiens en… Libre, vit dans la paix, loin des… Simple, comme un enfant qui partag…
« Tout fait l’amour. » Et moi, j’… Lorsque tu dis : « Tout fait l’am… Même le pas avec la route, La baguette avec le tambour. Même le doigt avec la bague,
Très souvent, il m’arrive de m’ima… Que l’on soit là bien plus que de… Mais de grands amoureux dont l’amo… Et dont le feu, la passion se sont… Très souvent, il m’arrive de m’ima…
Puisque de Sisteron à Nantes, Au cabaret, tout français chante, Puisque je suis ton échanson, Je veux, ô Française charmante, Te fredonner une chanson ;
Elle est bonne, franche, et telle Que l’amoureux de chez nous Ne courtise et n’aime qu’elle. Et, de vrai, c’est la plus belle, Avec ses Jolis yeux doux.
C’est un palais à trois tours, Jaune et rose tour à tour, D’améthyste, d’émeraude, De rubis, de marbre blanc, De glace ou de diamant,
–N’aimes-tu pas ce temps de discrè… Aube faite de grâce et de sérénité… Où, rêvant qu’une bouche appuiera… Tu marches au hasard, distrait quo… Tu parles et tu ris, l’esprit cour…
Ô monde ! ô vie ! ô temps ! fantôm… Qui lassez, à la fin, mes pas irré… Quand reviendront ces jours où vos… Vos regards caressants, vos promes… Jamais, ô jamais plus !
Soldat qui te repeins les images a… Et d’avance te vois, un jour sangl… Débordant, le premier, sabre au po… Où pivote un remous formidable d’a… –Peut-être mourras-tu d’un obscur…
Aux bords du Bendemir est un berc… Que jusqu’au dernier jour on me ve… Le chant du rossignol, dans ses fl… Charme les flots du Bendemir. J’aimais à m’y bercer d’un songe f…
Douce chanson, claire chanson, Tu sors de mon âme elle-même, Comme la rose hors du buisson Penche sa pourpre qu’elle sème. Tu nais grave comme le jour
Être un modeste croque-notes Donnant des leçons de hasard, Qui court Paris en grosses bottes… Mais qui comprend Gluck et Mozart… Avoir quelque part un vieux maître…
Verts gazons où fleurit la blanche… Ombrage qu’au printemps la violett… Vallons, bocage, humble sentier, Dont la mousse reçoit cette pluie… Qui tombe au gré des vents du fron…
Ô grand charmeur du siècle et des… Pourquoi te reléguer dans ces pâle… Sous l’oblique faux jour de ces ét… Pour les morts d’autrefois classiq… Pourquoi donc t’exiler dans ce fro…
Bonne étoile et bon vent, fortuné… Qui t’en vas sous le ciel des îles… Où de grands orangers, aux bords d… Se mirent dans le bleu profond des… Tu reviendras joyeux dans ta fraîc…
Dans le ciel bleu l’étoile blanche… Pur diamant, Au sein des nuits parle et s’épanc… Au firmament ; La brise fait sa confidence
Ô belle sérieuse, Dans l’œil ou dans le front, Ni la brune oublieuse, Ni la blonde rieuse N’ont ton charme profond.
L’homme songeait : « Qui cherche… Mes victoires sont des désastres. Je suis cloué sous le zénith Et je voulais saisir, à l’horizon,… « Tout m’échappe. Comment savoir
L’enchantement lunaire endormant l… Et le jour s’éloignant sur la mer… Comme une barque d’or nombreuse d’… J’ai rassemblé, d’un mot hâtif, me… Mes brebis et mes boucs devenus ta…
Si banals soyez-vous, maisons, meu… Engins accoutumés, nécessaires out… Objets de formes innombrables, Que de pensée et de sueurs vous re… Que d’hommes ont connu des moments…
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Il n’est rien de si beau comme Ca… C’est une oeuvre où Nature a fait… Et notre âge est ingrat qui voit t…
J’ai connu, Madame, une Dame, Moi vilain petit paysan, Aussi grande de cœur et d’âme Que... la plus grande et... fine l… Et... pleine d’esprit... jugez-en.
Je te reviens, ô paroisse natale. Patrie intime où mon coeur est res… Avant d’entrer dans la nuit glacia… Je viens frapper à ton seuil encha… Pays d’amour, en vain j’ai fait la…
Pourquoi des anciens jours réveill… Ma voix suffirait elle à leur imme… Laissez, laissez dormir les antiqu… Ne forcez point mes yeux à se moui… Parti du fond de la Syrie,
Sonnet. Croissez, jeune héros ; notre doul… N’a que ce doux espoir qui la puis… Croissez, et hâtez-vous de faire v… Que le plus noble sang peut encor…
Vierges du Pinde, où cachez-vous… L’ai-je égarée aux bosquets que j’… De son destin ne sauriez-vous m’in… M’est-elle donc enlevée à jamais ? Pour la trouver, de la double coll…
Aux charmes que sur toi nature a s… Quand le sort ajouta les trésors d… Sans doute par méprise il dotait l… Mais sa faveur volage il vient de… Et tu crois qu’il t’abaisse ? Ah…
C est le chapitre de Figuaral . C est la rubrique sur le journal . Le héros ukrainien en kaki . Poutine avait provoqué l escalades… Le tsar rouge ne va pas s arrêté l…
Qu’on parle mal ou bien du fameux… Ma prose ni mes vers n’en diront j… Il m’a fait trop de bien pour en d… Il m’a fait trop de mal pour en di…
Ah ! si la Muse était tant soit p… Chanter, vraiment, serait emploi d… Point ne pourrait le plus petit O… La bouche ouvrir, qu’on ne vît de… Courir les gens. Oui, nous ferion…
Hideux siècles de foi, de lèpre et… Que le reflet sanglant des bûchers… Siècles de désespoir, de peste et… Où le Jacque en haillons, plus vi… Geint lamentablement sa pitoyable…