Connaissez-vous ces bords qu’arros… Et dont les souvenirs, aimés du B… Ont réveillé la harpe amante des t… Connaissez-vous ces champs qu’un l… L’orgueil des noirs sapins que res…
Il était une tour, avec porte. L’… Laissait voir, dans la mousse, un… La tour était massive, et la main… Taillé dans un seul bloc, dut pose… L’écu verdi semblait de quelque ré…
Vivre mais à quoi bon, dans l’ombr… L’horizon s’efface, emportant nos… Chaque souffle devient un poids, u… Pause avant le silence, écho d’une… Les notes de notre histoire résonn…
Les roses d’Ispahan dans leur gaî… Les jasmins de Mossoul, les fleur… Ont un parfum moins frais, ont une… Ô blanche Leïlah ! que ton souffle… Ta lèvre est de corail, et ton rir…
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
Verts gazons où fleurit la blanche… Ombrage qu’au printemps la violett… Vallons, bocage, humble sentier, Dont la mousse reçoit cette pluie… Qui tombe au gré des vents du fron…
Le jour paraît, Zéphir s’éveille, Abandonne le sein des fleurs, Où, s’enivrant de leurs odeurs ; Il sommeillait depuis la veille. Sur son aile il porta cent fois
Sonnet. Qu’est-ce tranchant de fer souple,… Ce ne sont pas les flancs de la te… Ni les pierres qu’il fend, ni les… Quel art a-t-il servi, quel fléau…
Vieux château de Windsor, dont le… Éveillent d’Albion les harpes roma… Livre au barde étranger quelque gr… Qu’il puisse avec ses chants légue… Naguère j’ai cru voir, sous tes po…
L’aurore désirée, ô filles de Byb… A déployé les plis de son riche pé… Ses yeux étincelants versent des p… Sur la pente des monts et les moll… Et, dans l’azur céleste où sont as…
L’idole qui règne sur nous Voudrait y régner sans partage : Aussi nos travers sont jaloux, Chacun d’eux hait sa propre image. Désires-tu donc aujourd’hui
Bonjour, c’est la colonne du lundi… Le poète Alain adore les glands c… C est le chapitre de la poésie . Le plaisir de la queue . Bonjour, j adore la belle bite coq…
Rencontre d Avril . 15 / 04 / 1983 . Tu vois .. ont s est connus en ha… De la Colline .. la muse de la p… Sur les hauteurs fleuris de Nice…
C’est un autre orage sans toi Mon esprit se décline en nuances d… gris comme le ciel, comme les toit… vert comme les plantes en ont le f… bleu comme mes yeux et comme certa…
Treize ans ! et sur ton front aucu… Ne viendra, pauvre enfant, invoque… Treize ans ! et dans ce jour nul r… Ne fera d’allégresse épanouir ton… Orpheline, c’est là le nom dont tu…
Si banals soyez-vous, maisons, meu… Engins accoutumés, nécessaires out… Objets de formes innombrables, Que de pensée et de sueurs vous re… Que d’hommes ont connu des moments…
Dans le repli d’une anse fraîche Où tremble le moelleux reflet D’un clair ciel rose et violet, Sommeille le bateau de pêche. Sur l’eau qui s’est agatisée,
Ils ne sont plus ces jours délicie… Où mon amour respectueux et tendre À votre cœur savait se faire enten… Où vous m’aimiez, où nous étions h… Vous adorer, vous le dire, et vous…
Du bonheur qu’ils rêvaient toujour… Les couples exaucés ne jouissent q… Moins ému, leur baiser ne sourit n… Le nid de leur tendresse en devien… Puisque l’œil assouvi se fatigue d…
L’orbe d’or du soleil tombé des ci… S’enfonce avec lenteur dans l’immo… Et pour suprême adieu baigne d’un… Le givre qui pétille à la cime des… En un mélancolique et languissant…
La voilà, pauvre mère, à Paris ar… Avec ses deux enfants, sa fidèle c… Veuve, et chaste, et sévère, et to… Elle les a, seize ans, élevés sous… En province, en sa ville immense e…
Comment pourrez vous suivre dans c… dans cette atmosphère volatile écorché sous ce soleil punitif en découvrant la mort d’un natural… J’ai bien attrapé cette chose cas…
Dans l’immense Prairie, océan san… Houles d’herbes qui vont et n’ont… Cent rouges cavaliers, sur les mus… Pourchassent le torrent farouche d… La plume d’aigle au crâne, et de l…
Solitude heureuse et champêtre, Séjour du repos le plus doux, La raison me ramène à vous ; Recevez enfin votre maître. Je suis libre ; j’échappe à ces so…
Toujours des mots !—Je veux les c… Toujours des faits !—Je veux les… Toujours les corps !—Je veux l’es… Toujours l’esprit !—Montrez-moi l… L’âme qui pleure ou l’âme qui sour…
À Adolphe Brisson. Je mourrai sans avoir la petite ma… Qui voit sa claire image aux bords… Sous l’abri de la haute et large f… D’un vieux saule trempant son pied…
Je veux vivre Vivre intensément Je veux brûler de l’intérieur Courir jusqu’à perdre la voix Aimer jusqu’à me consumer et finir…
Quand du sort inhumain les tenaill… Du milieu de mon corps tirent crue… Mon coeur qui bat encor’ et pousse… Abandonnant le corps, ses plaintes… Que je sens de douleurs, de peines…
J’ai le souvenir d’un prénom Dont je n’ai aucun souvenir J’essaie d’étancher Corps et âme L’abîme du savoir
Ne me quitte pas Il faut oublier Tout peut s’oublier Qui s’enfuit déjà Oublier le temps
C est la poésie et la vie est trop… Tout peut basculer en trois minute… Tu vois l ami .. il ne faut jamai… Ne pas se laisser manipuler par d… Tu as la chance d être vivant .
Étant au frais de l’ombrage De cet ormeau refrisé Sur les plis de son feuillage, D’un beau sep favorisé, D’un beau sep qui l’entortille,
Passion ou déraison Entre deux âges Entre deux saisons Du printemps à l’automne De l’aube au crépuscule
C’est un trésor que la gaîté : Elle ressemble à l’espérance. Au cœur, s’il en fut peu doté, Reste un secours, l’insouciance : Bannir les regrets et la peur,
Il est, bien loin de l’Italie, Un lieu cher à mon souvenir ; C’est là qu’a commencé ma vie Et c’est là que je veux mourir. Petit sur la carte du monde,
C’est fini pour aujourd’hui, Comme pour demain et hier, La furieuse fureur m’appuie, Comme mes opinions dans l’air. Seul contre tous, libre, j’avance,
Aux bords du Bendemir est un berc… Que jusqu’au dernier jour on me ve… Le chant du rossignol, dans ses fl… Charme les flots du Bendemir. J’aimais à m’y bercer d’un songe f…
Grâces à ces couleurs dont Zeuxis… Mon aimable Antigone existe donc… Dans un même tableau vit notre dou… Reçois donc notre double hommage, Hardi, correct, sage et brillant…
Ô belle sérieuse, Dans l’œil ou dans le front, Ni la brune oublieuse, Ni la blonde rieuse N’ont ton charme profond.
Je m’adresse à tout l’Univers, Après David, le roi psalmiste. Oui, Madame, en ces quelques vers… Je m’adresse à tout l’Univers. Sur les continents et les mers,
Aux charmes que sur toi nature a s… Quand le sort ajouta les trésors d… Sans doute par méprise il dotait l… Mais sa faveur volage il vient de… Et tu crois qu’il t’abaisse ? Ah…
Vous, qui vivez heureux, vous ne s… L’empire que sur moi ces songes po… Mais lorsque je tombais de leur en… A la réalité qui toujours les déme… Si je voulais, luttant contre ma d…
Ai-je dormi ? Quel songe horrible… Oh ! Ces spectres, ces morts, un… Surgis par millions du sol ensangl… Et qui dardaient, dans une ardente… Leurs prunelles farouches !
Sonnet. Maître, qui du grand art levant le… Pour consoler la chair besoigneuse… Redis la gloire antique à cette ex… Ton corps va donc subir l’outrage…
À M. e… Le poète, À la grâce comme au talent, Souhaite Un long cycle de jours de l’an.
Ô grand charmeur du siècle et des… Pourquoi te reléguer dans ces pâle… Sous l’oblique faux jour de ces ét… Pour les morts d’autrefois classiq… Pourquoi donc t’exiler dans ce fro…
Fraîche et rieuse et virginale, Vous m’apparûtes à Coatmer, Blanche dans la pourpre automnale Du soleil couchant sur la mer. Et la mer chantait à voix tendre
Adieu, Paris, adieu, ville où le… Je reconnais le chemin vert Où j’ai quitté trop tôt ma plus do… Salut, vieux mont de bois couvert… J’ai perdu dans ces bois les ennui…
Et vous, l’ancienne esclave à la c… Vous le bétail des temps antiques… Vous, femmes, dont Jésus fit la V… D’après Celle qui porte en ses ye… Le reflet le plus grand des rayons…
Sonnet. Que n’ai-je appris l’amour sous un… Je n’aurais pas traîné si longtemp… Cet âpre souvenir, le seul que rie… Et qui, le plus lointain, me soit…
En l’an trentiesme de mon eage, Que toutes mes hontes j’eu beues, Ne du tout fol, ne du tout sage. Nonobstant maintes peines eues, Lesquelles j’ay toutes receues
Le poète immortel d’Achille et d’… Jadis d’un ton harmonieux Chanta le prince errant de la peti… Grâce à tes vers ingénieux L’Ulysse des Français nous attach…
À François Coppée. Ô senteur suave et modeste Qu’épanchait le front maternel, Et dont le souvenir nous reste Comme un lointain parfum d’autel,
L’aigle noir aux yeux d’or, prince… Ouvre, dès le premier rayon de l’a… Ses ailes comme un large et sombre… Un instant immobile, il plane, épi… Là-bas, au flanc du roc crevassé,…
Joh Mera Hissa Woh Apne Saath L… Ussey Woh Apna Mukammal Jahan K… Yuh Toh Mujhse Mujhiko Churake… Khushnaseeb Hain Woh Jinse Woh… Yuh Toh Phir Mukammal Apna Jaha…
La montagne portait sa robe d’or b… Or fragile tombant, feuille à feui… Dans le chemin, parmi la foule du… Sur les sentiers ombreux et le gaz… Reposés de leur course à travers l…
Sans qu’il t’en coûte rien, Lucy, Que l’humble dépense d’un geste, Veux-tu dans ta demeure agreste Couler des jours francs de souci ? Chaque matin, à la seconde
C’est le chapitre de Tuesday . C’est un article sur le journal de… Tu vois .. l inquiétude vient de… L angoisse .. faire confiance à q… Ici, c’est le Comté .. où il n’y…
J’ai cassé ma belle plume Sur les récifs abandonnés Et je renais Malgré marteaux et enclumes Telle une rose pas fanée.
Je voudrais que la nuit fût opaque… Définitive et sourde, une nuit d’h… J’oserais approcher, soudainement… De la femme pour qui je suis un gr… Et d’un mot lui crier mon rêve ing…