Si tu m’appartenais (faisons ce rê… Je voudrais avant toi m’éveiller l… Pour m’accouder longtemps près de… Egal et murmurant comme un ruissea… J’irais à pas discrets cueillir de…

Je ne dois plus la voir jamais, Mais je vais voir souvent sa mère… C’est ma joie, et c’est la dernièr… De respirer où je l’aimais. Je goûte un peu de sa présence

Quand je me hasarde à descendre Jusques aux bas-fonds du désir, À l’heure où l’on pèse la cendre Que laisse après soi le plaisir ; Ou quand je sonde l’origine

À François Coppée. Ô senteur suave et modeste Qu’épanchait le front maternel, Et dont le souvenir nous reste Comme un lointain parfum d’autel,

S’asseoir tous deux au bord d’un f… Le voir passer ; Tous deux, s’il glisse un nuage en… Le voir glisser ; À l’horizon, s’il fume un toit de…

Dans les serres silencieuses Où l’hiver invite à s’asseoir, Sous un jour blême comme un soir Fument les plantes précieuses. L’une, raide, élançant tout droit

x<… Quand d’une perte irréparable On garde au coeur le souvenir, On est parfois si misérable Qu’on délibère d’en finir.

Ici-bas tous les lilas meurent, Tous les chants des oiseaux sont c… Je rêve aux étés qui demeurent Toujours... Ici-bas les lèvres effleurent

Je veux lui dire quelque chose, Je ne peux pas ; Le mot dirait plus que je n’ose, Même tout bas. D’où vient que je suis plus timide

On ne songe à la Mort que dans so… Au sépulcre éloquent d’un être qui… J’ai, pour m’en pénétrer, fait un… Et je pèse aujourd’hui ma tristess… Je veux, à mon retour de cette som…

Sonnet. La pudeur n’a pas de clémence, Nul aveu ne reste impuni, Et c’est par le premier nenni Que l’ère des douleurs commence.

Quand je vois des vivants la multi… Sur ce globe mauvais de fléaux inf… Parfois je m’abandonne à des pense… Et j’ose prononcer un vœu de chast… Du plus aveugle instinct je me veu…

Sonnet. Je ne te raille point, jeune prost… Tu vas l’œil provocant, le pied ga… À travers le sarcasme et l’ignoble… Ton immuable rire est plus fort qu…

Sonnet. Que n’ai-je un peu de voix ! J’ai… De sentir mon poème en ma poitrine… Et de ne pouvoir pas, plus créateu… Comme j’ai mis mon cœur, mettre mo…

Sonnet. Quand on a tant aimé, c’est un rud… Tu t’es cru dans un nid semblable… Caché, sûr et profond. Vain songe… D’avoir osé dormir ce dangereux so…