Sonnet. Pour elle désormais je veux être s… Si bon, qu’elle se sache aveugléme… Je ne lui dirai plus : « Il faut,… Et je prendrai les torts, lui lais…

Sonnet. C’était une amitié simple et pourt… J’avais sur sa parure un fraternel… Et quand au seuil d’un bal nous no… J’aimais à l’arrêter devant moi to…

Sonnet. D’un seul mot, pénétrant comme un… Vous nous exaspérez pour nous domp… Sachant que notre cœur s’emporte e… Rebelle subjugué sitôt qu’il a bat…

Sonnet. Deux êtres asservis par le désir v… Le sont jusqu’à la mort : la volup… Parfois, lasse un moment, la geôli… Et leur chaîne les serre avec moin…

Sonnet. Grand ciel, tu m’es témoin que j’é… Quand par témérité j’ai demandé de… Convoitant de si bas les voûtes ét… Mes vœux n’altéraient pas ton calm…

En souvenir je m’aventure Vers les jours passés où j’aimais, Pour visiter la sépulture Des rêves que mon cœur a faits. Cependant qu’on vieillit sans cess…

Chacun donne à celle qu’il aime Les plus beaux noms et les plus do… Pour moi, c’est ton nom de baptême Que je préfère encore à tous. Simple et tendre à dire, il me sem…

x<… Quand d’une perte irréparable On garde au coeur le souvenir, On est parfois si misérable Qu’on délibère d’en finir.

Sonnet. J’ai deux tentations, fortes égale… Le duvet de la rose et le crin du… Une rose du moins qui jamais ne se… Un cilice qui morde opiniâtrement…

À Maurice Chevrier. Fait d’héroïsme et de clémence, Présent toujours au moindre appel, Qui de nous peut dire où commence, Où finit l’amour maternel ?

Sonnet. C’était un homme doux, de chétive… Qui, tout en polissant des verres… Mit l’essence divine en formules t… Si nettes que le monde en fut épou…

Sonnet. Toi que tes grands aïeux, du fond… Accablent sous le poids d’une illu… Tu n’auras pas senti ton nom dans… Éclore, et comme une aube y faire…

Ce qui la peut guérir, cette enfan… « Oui, je l’aime, et j’en souffre,… Dit-elle, et j’en veux bien mourir… Sa voix me donne au cœur une vive… Mais j’en tressaille avec plaisir.

Ô Mémoire, qui joins à l’heure La chaîne des temps révolus, Je t’admire, étrange demeure Des formes qui n’existent plus ! En vain tombèrent les grands homme…

Par les nuits sublimes d’été, Sous leur dôme d’or et d’opale, Je demande à l’immensité Où sourit la forme idéale. Plein d’une angoisse de banni,