Sonnet. La blanche Vérité dort au fond d’… Plus d’un fuit cet abîme ou n’y pr… Moi, par un sombre amour, tout seu… J’y descends à travers la plus noi…

Sonnet. Qu’est-ce tranchant de fer souple,… Ce ne sont pas les flancs de la te… Ni les pierres qu’il fend, ni les… Quel art a-t-il servi, quel fléau…

Sonnet. Ami, la passion du Verbe et de se… Nous obsède tous deux. Toi, d’une… Tu scrutes savamment le son déposi… Du génie et du cœur des hommes d’a…

Vous aviez l’âge où flotte encore La double natte sur le dos, Mais où l’enfant qu’elle décore Sent le prix de pareils fardeaux ; L’âge où l’œil déjà nous évite,

Oui, je sais qu’elle est la plus b… La reine du bal, je le sais ; Mais je suis un vaincu rebelle, Je ne la servirai jamais. Que pour la contempler en face,

Nul troupeau n’erre ni ne broute ; Le berger s’allonge à l’écart ; La poussière dort sur la route, Le charretier sur le brancard. Le forgeron dort dans la forge ;

Sonnet. Le Phédon jette en l’âme un céles… Mais rien n’est plus suave au cœur… Délicat embaumeur de la raison fra… Il sent la myrrhe, il coule aussi…

À Paul Bouvard. Je rêve, et la pâle rosée Dans les plaines perle sans bruit, Sur le duvet des fleurs posée Par la main fraîche de la nuit.

Je veux lui dire quelque chose, Je ne peux pas ; Le mot dirait plus que je n’ose, Même tout bas. D’où vient que je suis plus timide

Sonnet. Entre mille débris au hasard amass… Un Christ en vieil ivoire, exposé… Jette l’adieu suprême à sa foi dis… Et sent fuir ses genoux infiniment…

Si tu m’appartenais (faisons ce rê… Je voudrais avant toi m’éveiller l… Pour m’accouder longtemps près de… Egal et murmurant comme un ruissea… J’irais à pas discrets cueillir de…

J’ai mal placé mon cœur, j’aime l’… Et c’est pour m’exploiter qu’il fa… Ce petit traître ! Je le sais. Sa mère, quand je viens, me devine… Sentant que je suis là pour lui pl…

Viennent les ans ! J’aspire à cet… Où mon sang coulera plus sage dans… Où, les plaisirs pour moi n’ayant… Je vivrai doucement avec mes vieil… Quand l’amour, désormais affranchi…

Sonnet. Je n’entends que le bruit de la ri… Le chagrin résigné d’une source qu… Ou d’un rocher qui verse une larme… Et le vague frisson des feuilles d…

Vous désirez savoir de moi D’où me vient pour vous ma tendres… Je vous aime, voici pourquoi : Vous ressemblez à ma jeunesse. Vos yeux noirs sont mouillés souve…