Le poète as laissé glisser la plu… Sur cette page nue .. sous la bru… Les mots se sont croisés par le po… Loin de la demeure .. loin de la… J ai laissé guérir mes blessures s…
Un Astrologue un jour se laissa c… Au fond d’un puits. On lui dit :… Tandis qu’à peine à tes pieds tu p… Penses-tu lire au-dessus de ta têt… Cette aventure en soi, sans aller…
Des vers, à loi, rimeur intarissab… A toi des vers ? C’est un projet… C’est au désert jeter un grain de… Sur le rocher c’est poser un caill… N’ai-je pas vu ma muse trop rebell…
x<… 1608. Quel astre malheureux ma fortune a… À quelles dures lois m’a le Ciel a… Que l’extrême regret ne m’ait poin…
Très sévère, cet hiver Même si proche de la lune Même si loin de la terre Même si discret, même si dur Même s’il est très étrange
Pour la première fois, quittant vo… Vous m’avez, hier soir, donné le b… Que j’allais près de vous ainsi, c… J’ai senti contre moi palpiter que… Mon visage soudain est devenu tout…
Quand tu n’auras plus ton beau sei… Ni la douceur de ton haleine, Ni l’éclat rose et le dessin De ta joue adorable et pleine, Alors je serai presque vieux :
Elle est là, belle et radieuse, mo… Je la regarde, ses yeux m’accueill… Elle réchauffe mon âme, juste sort… Mon reflet est palpable, elle poli… Elle m’a saisie comme une vague, u…
A penes s’ha escrit de la teua immarcescible bellesa, Lua, Observar-te nueta quan dorms i et lliberes als constrastos del nostre santuari, és per a mi com aturar el cronòfag en la llum ...
Desja la terre avait avorté la ver… Par les sillons courbez, lors qu’u… Dissipe les beautez, et à son arri… S’accorde en s’opposant au vouloir… Car le froid enuieux que le bled v…
Nue complètement nue, enfouie . Sous les draps bleus .. ma muse L… Mes mains velues te caressent . Les seins doux et les roses fesses… Le rayon de lune traverse la crois…
Je me lève de mon linceul humide Je cherche l’air, l’esprit, la vie… Je te cherche toi, Peut être de l’autre côté de la po… Tu m’attends.
un deuil C’était une journée sans nuages, La joie rayonnait sur mon visage, L’âme tranquille et bienheureuse, J’avais trouvé cette paix précieus…
Autour de vous, Ami, s’amoncelle… La jalousie éteinte a rallumé sa r… Et, vous voyant tenter la scène et… Ils se sont à l’envi remis à vous… Honneur à vous ! De peur qu’un éc…
Ouvert à la fraîcheur des roses em… Le nez, suite du front classiqueme… Se dessine un peu grand, irréproch… Dans la convention plastique des c… La plus belle parmi les mortes bie…
Dans un vaisseau qui des terres Fuit toujours le bord lointain, Sur les vagues solitaires Je naquis un beau matin. Le baptême d’une lame
Bien loin est un monde trépât Car bien triste est l’Univers san… Bien triste est l’âme qui jamais n… Ô lune, invisible ou toi que je vo… Malheureuse est la Terre sans Sol…
Il s’est barré Plus rien n’est sorti De ses lèvres amères Il s’est rayé de la carte Et partout où je suis passée
Le fruit de la pensée est amer pou… Et la cendre en jaillit aussitôt q… Et cependant ma lèvre, alors qu’el… Sent une ardente soif qui la brûle… Et je reviens encore demander à la…
Toi, femme âprement désirée, Provocante et rieuse et souple et… Qui torturas mes nuits en affolant… À peine sur mon bras ta main fut-e… À peine eus-je saisi l’intention d…
Jeune Mars, à qui les alarmes Sont des plaisirs délicieux, Puissent tes belliqueuses armes Étonner la terre et les cieux ! Que la postérité ravie
Transpira el temps en el cos d’un vers fet dona com un verb de tardor als ulls mentre camines És temps de castanyes i de fulles.
Quel aléatoire aléa, cette Léa. Aussi craquante qu’un beau petit q… Elle bout le sang de mes veines il… Aussi remplies qu’une cavité pallé… Aussi blanche que les fleurs d’un…
Sors de ta chrysalide, ô mon âme,… L’Automne. Un long baiser du sole… Les étangs ; les lointains sont ve… Le flexible arc-en-ciel a retenu l… Sur sa voûte où se fond la clarté…
Heure bleue et une flaque désolée… J’ai remboursé toutes mes dettes Et je reste cette mendiante pour u… Exilée sur le quai de Buxtehude Heure bleue et le printemps tarde…
Tout le plaisir de vivre est tenu… Ô Jeunesse joyeuse, ardente, print… Autour de qui tournoie l’emporteme… Comme une abeille autour d’une bra… Vous courez dans les champs, et le…
L’Usage seulement fait la possess… Je demande à ces gens de qui la pa… Est d’entasser toujours, mettre so… Quel avantage ils ont que n’ait pa… Diogène là-bas est aussi riche qu’…
Vous que le printemps opéra Miracles ponctuez ma stance Mon esprit épris du départ Dans un rayon soudain se perd Perpétué par la cadence
L’idole qui règne sur nous Voudrait y régner sans partage : Aussi nos travers sont jaloux, Chacun d’eux hait sa propre image. Désires-tu donc aujourd’hui
Beaux jours, vous n’avez qu’un tem… Et souvent qu’une heure ! Quand gémissent les autans, Il faut que tout meure.— Calme-toi, cœur agité ;
Un nouveau jour se lève, sur la vi… Les paupières presque ouverte, j’a… On le tire de son lit, où l’invers… Bougon je ne peux lire, la beauté… Ces couleurs me supplient, d’appré…
Laisse couler mes pleurs tendres s… Bois-les, je suis ta sœur humaine… Le sang coule en ma chair pour êtr… Et l’amour de la créature M’a pour jamais vers toi, ô mon fr…
« Qu’ai-je fait pour me voir ainsi Mutilé par mon propre Maître ? Le bel état où me voici ! Devant les autres chiens oserai-je… Ô rois des animaux, ou plutôt leur…
Sonnet. En ces heures souvent que le plais… Causant d’un livre à lire et des r… Ou me parlant déjà de mes prochain… Suspendue à mon cou, tu me dis :…
Première Voix. La neige tombe à gros flocons ; Par dessus nous, le ciel est noir… La terre, autour de nous, est noir… La lourde neige seule est blanche…
Incorruptible azur, déesse lumineu… Puisque vous avez bien voulu me vi… Je remettrai mon coeur entre vos m… Pour que vous le guidiez, par les… Au chemin de l’exacte et claire vé…
Comment disparaître quand nous som… par tous ? Ton âme n’est vue que par toi-même… Cependant, je souhaiterais la cont… Si tu voulais bien me la montrer.
C’est l’an de grâce mil six cent d… De juillet, en un vaste et riche d… Primatial. Le ciel est pur et ray… Bourdons et cloches vont sonnant e… La ville en fête rit au clair sole…
Si la perte des tiens, si les pleu… Et si de tes parents les regrets q… Combien, cruel Amour, que sans am… T’ont fait sentir le deuil de leur… C’est or qu’il faut montrer ton fl…
C est le Corporama Journal . Le poète Alain Lacheteau . Je suis le tailleur de pipes . Le pompeur de bites . Le suceur de pénis joyeux .
Sonnet. Pour le doux ébat que je puisse ch… Souvent, après dîner, craignant qu… Je prends le manche en main, je le… Tant qu’il soit en état de me donn…
Padre, por favor, libérame de tus… permíteme fundirme en el bosque, q… si he de conservarme virgen yo caz… me rodearé de ninfas, dríades, cie… Soy una amante salvaje y rebelde,…
Gabriel Aujourdh’ui une grâce m’a été acco… Une présence sublime que Dieu nou… Énième preuve de son amour incondi… Un bonheur absolu que nous offre l…
Avant l’amour fatal de ce qu’on ne… Je tends vers l’inconnu les forces… Je voudrais secouer mes ailes, et… A rencontrer partout l’ombre devan… Les étoiles où vont les rêves d’ic…
C est la poésie du gland . Le DIX neuf centimètres sans poi… Tu vois .. il faut secouer le fru… Entre les deux doigts . Et il faut bien le masturber .
Destinée éphémère Par Ahmed Khettaoui/Algérie Même si nous salissons les murs, l… Mon âme côtoie l’argile de son tom… Même si nous falsifions l’appel du…
Tu sais l’amour et son ivresse Tu sais l’amour et ses combats ; Tu sais une voix qui t’adresse Ces mots d’ineffable tendresse Qui ne se disent que tout bas.
Entre les plis de votre robe close On entrevoit le contour d’un sein… Des bras hardis, un beau corps pot… Suave, et dans la neige modelé, Mais dont, hélas ! un avare dispos…
(Nouveaux tourments d’amour.) 1671. Me voici rembarqué sur la mer amou… Moi pour qui tant de fois elle fut… Qui ne suis pas encor du naufrage…
Douce vérité Jamais je n’ai autant rêvé, De toutes ces choses qui me sont a… Ces joies et ces peines qui me son… Ces rires et ces larmes qui me son…
Quand Orphée autrefois, frappé pa… Près de l’Hèbre tomba, sur les va… On vit longtemps encor sa lyre sur… Le fleuve au loin chantait sous le… Le gai zéphyr s’émut ; ses ailes a…
Le monde n’a jamais manqué de Cha… Cette science de tout temps Fut en Professeurs très fertile. Tantôt l’un en Théâtre affronte l… Et l’autre affiche par la Ville
amour que j’ai pour toi est comme un siècle oublier mais y a toujours un objet ou un souvenir qui me rappelle de toi mais je vais refouler mes sentiment et tout lrs souvenirs que j’ai d...
Qui je suis Toi mon amie tu me connais depuis… Mais au fond, tu ne me connais pas… Tu m’a toujours trouvé une âme épa… Qui demeurait heureuse et qui sour…
Des coucous l’Angélus funèbre A fait sursauter, à ténèbre, Le coucou, pendule du vieux, Et le chat-huant, sentinelle, Dans sa carcasse à la chandelle
Je veux vivre seul avec toi Les jours de la vie âpre et douce, Dans l’assurance de la Foi, Jusqu’à la suprême secousse. Je me suis fait une raison
Depuis combien de temps Vois-tu le monde ainsi ? Depuis combien de temps Es-tu si assombri ? Je ne permettrai pas
C est l article quarante . Sur la colonne de la gazette Cant… Une génération sacrifiée des trava… Quarante trois ans de cotisations… L ouvrier du bâtiment .. il as le…
Ecrire Pourquoi écrire sans s’arrêter ? Quel est cet art qui me fait rêver… Certaines choses ne peuvent se dir… Elle ne peuvent donc que s’écrire.
Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D’une façon fort civile, A des reliefs d’ortolans. Sur un tapis de Turquie