Elles me portent
à chaque ondulation
vers terres inconnues ;
Les prétentieux des mots
Pleurent au chant
Des oiseaux en liberté ;
Les avides des idées
S’arrêtent à l’instant,
À la cravache de la vérité ;
Les modestes de la compagnie
en souriant de leurs plaisanteries
tombent sur le lit ;
Elles me portent
dans l’oublie de la flamme
laquelle arrive pour flamber
la beauté de la passion silencieuse.