Au milieu, l’Empereur, dans une a… Bleue et jaune, s’en va, raide, su… Flamboyant ; très heureux,– car il… Féroce comme Zeus et doux comme u… En bas, les bons Pioupious qui fa…
Il y a sans doute toujours au bout… Où je marchais enfant une mare d’h… Un rectangle de lourde mort sous l… Depuis la poésie A séparé ses eaux des autres eaux.
Le chat qui ne ressemble à rien Aujourd’hui ne va pas très bien. Il va visiter le Docteur qui lui ausculte le cœur. Votre cœur ne va pas bien
La pluie d’or sur la vague Et le trou noir des ailes Au mur le parapet glissant laisse… Au ciel la porte s’ouvre et la cla… C’est le jour
À Mme de P***. Il est pour la pensée une heure...… Alors que, s’enfuyant de la célest… De l’absence du jour pour consoler… Le crépuscule aux monts prolonge s…
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
Pachira Peau-Rouge et garde empanachée de… ceiba athlète qui par mystère équi… savants fûts d’orgueil d’un giseme… de ma fidélité ou lait ruiné de ma…
Isur le perron de la mairie de la place Saint-Sulpice à Paris où tu passais très vite lorsque j’étais enfant riant dans les feuilles du vent Je te salue oiseau marrant oiseau si heureux...
Tu avais bien tout de même dans les quatre-vingts ans Mais Dieu qui sait prendre les choses de très haut En faveur de son petit chanteur de la manécanterie derrière elle Et les voilà pa...
Tandis qu’à leurs oeuvres perverse… Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps. Pour les petites pâquerettes,
Dans le calme du matin, Quand le soleil se lève, doux et b… La terre respire, témoin silencieu… Des secrets que seules les ombres… Les montagnes se dressent comme d’…
J’ai vu passer dans mon rêve —Tel l’ouragan sur la grève,— D’une main tenant un glaive Et de l’autre un sablier, Ce cavalier
L’autre matin, sous la fraîche cou… Le beau Colin, loin des regards j… S’imaginait trouver encore Lisett… Une heure au moins après le rendez… « Il est trop tard, lui dis-je, el…
Je suis née toute nue Je vis comme je suis née Je suis née toute petite Si j’ai grandi trop vite Jamais je n’ai changé
… La postérité de Joseph rentre dan… Et cette conquête, due aux larmes… Ne coûte pas une larme aux vaincus… Chateaubriand, Martyrs.…
Elle dort ; ses beaux yeux se rouv… Et mon doigt qu’elle tient dans l’… Moi, je lis, ayant soin que rien n… Des journaux pieux ; tous m’insult… De mettre à Charenton quiconque l…
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues
Ce petit homme grisonnant S’en venait encore à l’automne, Le regard vif, l’air avenant, En poussant son cri monotone. Mais qu’il est changé maintenant !
Le poète Alain adore les beaux mâ… Tu vois l ami .. j adore branler… Le plaisir de sucer la bonne bite… Et lécher le gland crémeux . J adore le sperme .. le nectar de…
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
Maître Corbeau, sur un arbre perc… Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l’odeur alléch… Lui tint à peu près ce langage : “ Hé ! bonjour, Monsieur du Corbe…
L’ombre danse Il n’y a plus rien Que le vent qui s’élance Le mouvement s’étend du mur Et se gonfle
Immense et rouge Au-dessus du Grand Palais Le soleil d’hiver apparaît
Longues, longues journées. Le sang inapaise heurte le sang. Le nageur est aveugle. 11 descend par étages pourpres dan… Quand la nuque se tend
L’église Saint-Nicolas Du Chardonnet bat un glas, Et l’église Saint-Étienne Du Mont lance à perdre haleine Des carillons variés
Quoiqu’on tient belles langagères Florentines, Vénitiennes, Assez pour être messagères, Et mêmement les anciennes, Mais soient Lombardes, Romaines.
Tandis que l’étoile inodore Que l’été mêle aux blonds épis Emaille de son bleu lapis Les sillons que la moisson dore, Avant que, de fleurs dépeuplés,
Depuis des mois des ans Des heures et des jours La belle Marion en pleurs Sous l’orme attend l’amour
Il sied de ressembler aux dieux.… Dévore ses enfants ; ton Dieu, ma… Augure, ton Dieu ment ; uléma, to… La terre sous le sabre impur de M… Ton Dieu, Rome, est l’agneau, mai…
Dans une chambre au sixième un coquillage est posé sur la tabl… soudain il se met à chanter L’homme est réveillé par le bruit… il voit le coquillage
Prose des fous. Elle dormait : son doigt tremblait… Et nu, sous sa chemise : après un… Il s’arrêta, levant au nombril la… Et son ventre sembla de la neige o…
Adieu, puisqu’il le faut ; adieu,… Nuit d’argent, plus sereine et plu… Ton page noir est là, qui, le poin… Tient ton cheval en bride et t’att… Aurora, dans le ciel que brunissai…
A José Maria de Heredia Ce poète terrible et divinement do… Plus large que Corneille et plus… Grand comme Eschyle avec ce souff… Ce Calderon mystique et mythique…
Pas les rafales à propos De rien comme occuper la rue Sujette au noir vol de chapeaux ; Mais une danseuse apparue Tourbillon de mousseline ou
Ne craignez rien Gens honnêtes et exemplaires Il n’y a pas de danger Vos morts sont bien morts Vos morts sont bien gardés
Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J’étais froid comme les marbres ;
Un bel oiseau me montre la lumière Elle est dans ses yeux, bien en vu… Il chante sur une boule de gui Au milieu du soleil. ***
souliers et ils passent devant elle et la saluent très bas de temps en temps elle leur jette un vieux cure-dents ils le sucent avec ravissement en continuant leur promenade leurs soulie...
La satire à présent, chant où se m… Bouche de fer d’où sort un sanglot… N’est plus ce qu’elle était jadis… Quand on nous conduisait, écoliers… À la Sorbonne, endroit revêche et…
Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir
Enfant, sous la Troisième, j’habitais au quatrième une maison du dix-neuvième. L’eau était sur le palier, parfois le gaz était coupé et souvent les encaisseurs de la Semeuse cognaient à...
C’est cette mince pellicule sur le… mal déposé de la mer c’est ce grand cabrement des cheva… arrêtés à la dernière seconde sur… c’est ce sable noir qui se saboule…
La vie est bien aimable. Venez à moi, si je vais à vous c’e… Les anges des bouquets dont les fl…
Sans cesse à mes côtés s’agite le… II nage autour de moi comme un ai… Je l’avale et le sens qui brûle mo… Et l’emplit d’un désir éternel et… Parfois il prend, sachant mon gran…
Je ne veux rien apprendre Je ne veux rien comprendre ni rete… de morte voix Je ne veux plus entendre ce vacarme sourd et muet de phrase…
Bon chevalier masqué qui chevauche… Le Malheur a percé mon vieux coeu… Le sang de mon vieux coeur n’a fai… Puis s’est évaporé sur les fleurs,… L’ombre éteignit mes yeux, un cri…
Lorsque Abd-el-Kader dans sa geôl… Vit entrer l’homme aux yeux étroit… Que l’histoire appelle—ce drôle,— Et Troplong—Napoléon trois ; Qu’il vit venir, de sa croisée,
Un prêtre de taille moyenne a enfermé sa jeune et jolie femme au solide bon sens dans un lieu discret pour se soustraire aux discussions interminables qui ralentissaient leur coït famil...
Le mouvement de lacet sur la berge… Le gouffre à l’étambot, La célérité de la rampe, L’énorme passade du courant, Mènent par les lumières inouïes
Mugissement des boeufs, au temps d… Comme aujourd’hui, le soir, quand… Ou, le matin, quand l’aube aux cha… Verse à flots la rosée et le jour,… Mûrissez, blés mouvants ! prés, em…
Un grand sommeil noir Tombe sur ma vie : Dormez, tout espoir, Dormez, toute envie ! Je ne vois plus rien,
Comme l’Église est bonne en ce siè… D’orgueil et d’avarice et de tous… D’exalter aujourd’hui le caché des… Le doux entre les doux à l’ignoran… Et le mortifié sans pair que la F…
II. Le poète s’en va dans les champs ;… Il adore ; il écoute en lui-même u… Et le voyant venir, les fleurs, to… Celles qui des rubis font pâlir le…
Un millier de sauvages S’apprêtent à combattre. Ils ont des armes, Ils ont leur cœur, grand cœur, Et s’alignent avec lenteur
Tout enfant, tu dormais près de mo… Comme un petit Jésus assoupi dans… Ton pur sommeil était si calme et… Que tu n’entendais pas l’oiseau ch… Moi, pensif, j’aspirais toute la d…
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Bien tard, quand il se sent l’esto… Le frère Milotus, un oeil à la lu… D’où le soleil, clair comme un cha… Lui darde une migraine et fait son… Déplace dans les draps son ventre…
xx… —De ta tige détachée, Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu ?—Je n’en sais rien. L’orage a frappé le chêne
La très chère était nue, et, conna… Elle n’avait gardé que ses bijoux… Dont le riche attirail lui donnait… Qu’ont dans leurs jours heureux le… Quand il jette en dansant son brui…