Sonnet. Ici gît qui chevauchait dès ses pl… Qui fut par un incube (*) au berce… Qui, petite, déjà d’un sale feu to… Se faisait chevaucher par les peti…
Un jour Satan, Monarque des enfer… Faisait passer ses Sujets en revu… Là confondus tous les états divers… Princes et Rois, et la tourbe men… Jetaient maint pleur, poussaient m…
Aimer la Vérité, C’est aimer dans son cœur une Naï… Le peintre la demande aux rires de… * Sans la beauté de Dieu, le cœur d…
J’ai vu toutes les couleurs de Notre amour Eres más dulce que un Buen perfume I tucci occhi brillano più dei gio…
Sonnet CV. De voir mignon du roi un courtisan… Voir un pauvre cadet l’ordre au co… Un petit compagnon aux états parve… Ce n’est chose, Morel, digne d’en…
Une Hirondelle en ses voyages Avait beaucoup appris. Quiconque a beaucoup vu Peut avoir beaucoup retenu. Celle-ci prévoyait jusqu’aux moind…
Flamme Qui tout brûle et dissout ; Lame Qui tout tranche et découd ; Rame
C’est une mer, un Lac blême, macu… Sombres, et pullulant de vastes cr… Qui troublent l’eau sinistre et qu… Quand la nuit morne exhale et déro… Un brusque tourbillon de moustique…
C est le texte du lundi . Les parents ne sont pas trop riche… Le père, c est le maçon du village… La mère est au foyer, pour s occup… Les parents feront le nécessaire…
L’infime infini de ton sourire, L’éternel battement d’ailes de tes… Sont autant de vestiges qui s’écho… Sur l’oreiller vide que tu as lais… Dans la chambre moite et blême.
Ce trésor unique Je suis comblé d’une grâce et d’un… Venus d’un père sans lequel je ne… Ca ce qu’il m’offre tous les jours… Depuis une année entière mon âme s…
Terre, dont les âpres rivages Et les promontoires géants Refoulent les vagues sauvages Que soulèvent deux océans ; Terre qui, chaque avril, émerges,
Tu veux faire une fugue, courir devant le monde, traverser ton époque, et restes là, posé sur le bout de ton nez,
J’aime tes belles mains longues et… Qui, pareilles au lis, n’ont jamai… Mais savent le secret des musiques… Qui parlent à voix lente au cœur é… J’aime tes belles mains longues et…
(Mis en musique par Lambert en 16… Voici les lieux charmants où mon â… Passait à contempler Silvie Les tranquilles moments si douceme… Que je l’aimais alors ! Que je la…
Une Lice étant sur son terme, Et ne sachant ou mettre un fardeau… Fait si bien qu’à la fin sa Compa… De lui prêter sa hutte, où la Lic… Au bout de quelque temps sa Compa…
Épigramme. Margot, qui se marche en triangle, Pète toujours quand on la sangle ; Je ne sais si c’est d’aise ou non, Ou si le calibre est trop large,
Quand l’horloge a sonné le moment… Aucune larme, ami, n’a voilé ton r… Tu m’as pressé la main... j’ai cru… Se mêler à l’adieu que tu venais m… Car pour ton cœur, tranquille en p…
Mon amie Si loin de moi et après des années… Malgré cette longue séparation tra… L’un comme l’autre nous avons mon… Voici bientôt nos retrouvailles ta…
La guitare amoureuse et l’ardente… Pleurent de volupté, de langueur e… Sous l’arbre où le soleil dore l’h… Et devant le mur bas et chaud de l… Semblables à des fleurs qui trembl…
Jeune ange aux doux regards, à la… Un instant près de vous je suis ve… Et, l’orage apaisé, comme l’oiseau… Mon bonheur s’en alla, n’ayant dur… Et puis, qui voulez-vous après qui…
À M. e… Quand on s’aime on se marie : Il prend fin, l’enchantement D’une vague rêverie. Quand on s’aime on se marie :
Léman, roi de nos lacs ! dont le b… Sous le pied des grands monts cour… Miroir de notre amour,—je veux cha… Ton onde où le soleil baigne ses a… Caps perdus dans l’azur ! harmonie…
Plus mille fois que nul or terrien… J’aime ce front où mon tyran se jo… Et le vermeil de cette belle joue, Qui fait honteux le pourpre Tyrie… Toutes beautés à mes yeux ne sont…
Contrerime XL. L’immortelle, et l’oeillet de mer Qui pousse dans le sable, La pervenche trop périssable, Ou ce fenouil amer
Tant que dans les places publiques Les bancs remplissent leur devoir D’hôtels sans frais ni domestiques… Des gueux oisifs y viennent choir. Vieillards qu’a rejetés l’usine.
Je devais par la Royauté Avoir commencé mon Ouvrage. A la voir d’un certain côté, Messer Gaster en est l’image. S’il a quelque besoin, tout le cor…
L autre jour .. je suis sorti pou… Avec mon copain .. l ami Paulo… Dans un dernier instant .. il ava… Dans les toilettes .. il as sorti… Un énorme engin bien monté .. ban…
Le braconnier ayant lu sur sa viei… Que je lui demandais son histoire,… Et, dans son clair regard me darda… Ainsi parla, de voix bonhomique et… « C’que j’vas vous dir’ c’est pas…
DERNIER MOT. Un dernier mot, Pascal ! À ton tour de m’entendre Pousser aussi ma plainte et mon cri de fureur. Je vais faire d’horreur frémir ta noble cendre, Mais du moins j’aurai d...
Entre quinze et vingt ans, le cœur… De sa torpeur première et qui comm… S’enflamme quelquefois tout de bon… Dans un profond secret, d’un amour… Honteux de laisser voir cette arde…
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
Qu’à peu de gens convient le Diadème.Recueil : Les fables du livre VI (167...
Épigramme. N’en déplaise à Ronsard, les této… À des boules ne sont comparés just… Car la boule ne sert que d’abattre… Mais un beau sein les fait redress…
À Paul Eudel. Le cœur des vierges de vingt ans Est inquiet comme la feuille, Et tout leur corps aspire et cueil… Les confidences du Printemps.
Divinité que le ciel fit pour plai… Vous qu’il orna des charmes les pl… Vous que l’Amour prend toujours p… Quoiqu’il sait bien que Mars est… Qu’avec regret je me vois loin de…
Dompteur à peine né, qui tuais dan… Les Dragons de la Nuit ! Cœur-de… Qui perças l’Hydre antique au sou… Dans la livide horreur des brumes… Et qui, sous ton œil clair, vis ja…
Adieu, chère amie ! Quelle dure étape que la séparatio… C’est comme si l’on nous arrachait… Ce soir c’est une fin tragique de… Un pas difficile après des jours p…
Sous les averses de pluie, les larmes de la vie sont tombées sur moi, m’appelant à la cruauté des gens. Les larmes n’ont pas de couleur, mais leur douleur est multiple. J’ai beaucoup pl...
Aimer, c’est de ne mentir plus. Nulle ruse, n’est nécessaire Quand le bras chaleureux enserre Le corps fuyant qui nous a plu. —Crois à ma voix qui rêve et chant…
Je les ai vus, je les ai vus, Ils passaient, par les sentes, Avec leurs yeux, comme des fentes, Et leurs barbes, comme du chanvre. Deux bras de paille,
1835. Seigneur ! vous êtes bien le Dieu… Que deviennent sans vous ces homme… Si d’un souffle divin vous animez… Ils montent jusqu’aux deux, en sai…
Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…
Huit jours sont écoulés depuis que… Un devoir importun a retenu mes pa… Croyez à ma douleur, mais ne l’épr… Puissiez-vous de l’amour ne point… Le bonheur m’environne en ce riant…
À Charles Keller. Venus des quatre coins de l’horizo… De la cime des pics et du fond des… Les aquilons rageurs sont d’invisi… Qui fouettent sans lanière et qui…
Trop tard Après de longues années de silence… Auxquelles mon coeur était armé de… Je n’ose croire que j’ai commis l’… Le temps est passé ainsi que mon b…
1614. Sus, debout, la merveille des bell… Allons voir sur les herbes nouvell… Luire un émail dont la vive peintu… Défend à l’art d’imiter la nature.
Levez les yeux ! C’est moi qui pa… Diaphane et léger, libre dans le c… L’aile ouverte, attendant le souff… Je plonge et nage en plein azur. Comme un mirage errant, je flotte…
Un Lion décrépit, goutteux, n’en… Voulait que l’on trouvât remède à… Alléguer l’impossible aux Rois, c… Celui-ci parmi chaque espèce Manda des Médecins ; il en est de…
Me pardonneras-tu un jour, J’ai perdu ton amitié bêtement. Je me suis rendu coupable. Sans ta permission. J’ai gravé ton ombre par-dessus la…
Sur le sombre Océan tombait la nu… Les étoiles perlaient au ciel sile… Le flot montait sans bruit sur le… Ô nuit, quel souffle alors vint me… Le froid saisit mon cœur, quand, m…
Ciel, air et vents, plains et mont… Tertres vineux et forêts verdoyant… Rivages torts et sources ondoyante… Taillis rasés et vous bocages vert… Antres moussus à demi-front ouvert…
C’étaient trois matelots de Groix… Ils étaient partis tous les trois Pêcher la sole : Les pauvres garçons n’avaient pas Plus de sextant que de compas
Plainte d’un chrétien sur les cont… Qu’il éprouve au dedans de lui-mêm… (Tiré de Saint Paul aux Romains,… Mon Dieu, quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi :
Aux confins d’un plateau qui fleur… S’élève une montagne, étrange de s… Dont les flancs, inclinés et taill… Présentent mille creux béants de t… Gomme un entassement de décombres…
Quand l’homme approche enfin des s… Va plonger dans votre ombre inerte… Debout sur la hauteur aveuglément… Les premiers jours vécus éblouisse… Tandis que la nuit monte et débord…
Les Grecs, pour honorer une de le… Inscrivaient Callipyge au socle d… Ils aimaient, par amour de la gran… La vérité des corps harmonieux et… Je ne crois pas aux sots faussemen…
Si ce qu’on dit d’Esope est vrai, C’était l’Oracle de la Grèce : Lui seul avait plus de sagesse Que tout l’Aréopage. En voici pou… Une histoire des plus gentilles,
La bique allant remplir sa traînan… Et paître l’herbe nouvelle, Ferma sa porte au loquet, Non sans dire à son biquet : « Gardez-vous, sur votre vie,
Sur le corps musclé .. ma main s… Elle vient de caressée le dard pui… Elle part à l aventure sur les tes… C est le beau mec .. le vrai Apol… Tu vois l ami .. avec son gland,…