Salut et joie à ceux d’ici ! Congédiez votre souci, Maîtres, serviteurs et servantes. Femmes, c’est assez de travaux ; Pendez au mur les écheveaux
Sonnet IV. Je ne veux feuilleter les exemplai… Je ne veux retracer les beaux trai… Et moins veux-je imiter d’un Pétr… Ou la voix d’un Ronsard, pour cha…
C’est la couleur de poésies . Le poète Alain joue avec le temps… Les mots se sont allongés nus sur… C’est le cerveau qui travaille . La plume .. qui glisse doucement…
Les bons curés, les douces femmes, Sont de rares présents des cieux ; Les grands esprits, les simples âm… Habitent peu dans ces bas lieux ; Mais Dieu, par une grâce insigne,
C’est le dernier chapitre .. le d… J avais gardé le long des années… Des souvenirs dans la mémoire ..… Combien de sols .. que j avais fou… Les vendanges de Septembre de l a…
Quand je vois ces seigneurs qui l’… Ont laissé pour vêtir ce saint org… Et ceux-là qui ont pris le bâton e… Sans avoir jamais fait preuve de l… Quand je les vois, Ursin, si chic…
Jamais ne se puisse lasser Ma Muse de chanter la gloire D’un Ver petit, dont la mémoire Jamais ne se puisse effacer : D’un Ver petit, d’un Ver luisant,
Non, plus de vers, jamais ; ce mon… Ma muse, a fait pâlir ton front pu… Ton aile s’est brisée en touchant… Comme un oiseau blessé cache-toi d… Non, plus de vers, jamais, car les…
Connaissez-vous ces bords qu’arros… Et dont les souvenirs, aimés du B… Ont réveillé la harpe amante des t… Connaissez-vous ces champs qu’un l… L’orgueil des noirs sapins que res…
C’est le plaisir de chevaucher le… Et de regarder la fleur du mâle . 21 centimètres .. c’est la bite d… 19 centimètres .. c’est le Bangal… 17 centimètres .. c’est le pénis j…
Lorsque j’étais enfant surtout, j’… Où sur leurs pieux rugueux on étal… De la bastide, afin d’y veiller sa… La claie aux roseaux drus où doit… Les pieux sont reliés de traverses…
Comte, qui ne fis onc compte de la… Ton Du Bellay n’est plus : ce n’e… Qui dessus un ruisseau d’un dos co… Et n’a plus rien de vif, qu’un pet… Si j’écris quelquefois, je n’écris…
Dans le clair-obscur de la pièce c… Où brûle une cire au reflet trembl… Rigide, et grandi par la mort, rep… Le corps d’un enfant habillé de bl… Sous la mousseline, on voit les ma…
Pauvre faune qui va mourir Reflète-moi dans tes prunelles Et fais danser mon souvenir Entre les ombres éternelles. Va, et dis à ces morts pensifs
Quand l’homme approche enfin des s… Va plonger dans votre ombre inerte… Debout sur la hauteur aveuglément… Les premiers jours vécus éblouisse… Tandis que la nuit monte et débord…
Pour les Paladins de France, Assaillants dans un combat de barr… 1605. Et quoi donc ? la France féconde En incomparables guerriers,
Te voilà dans les bois, Nuit douce et blanche, Et ton ombre se penche Autour de moi. Tout à l’heure, mauves de brume,
À qui vierge me gardera : La richesse. À qui bien parler me fera : La sagesse. À quiconque me violera :
Froide raison, pompeuse idole, Divinité, chère à l’orgueil, Tu n’as pas un mot qui console Les souffrances d’un cœur en deuil… Jamais, dans ton œil inflexible,
(À M. Louis de Ronchaud). Regardez-les passer, ces couples é… Dans les bras l’un de l’autre enla… Tous, avant de mêler à jamais leur… Font le même serment :
Depuis bientôt vingt ans, je passe… Mes yeux regardent tout et mon ore… Deux rois ont laissé choir leur co… J’ai vu tout pouvoir vain, toute g… Et la fleur qui bourgeonne à cette…
« Insensée, à ces cœurs fardés d’h… Qui profanent l’amour, que l’amour… Tu demandais en vain Cette source du ciel où l’on se dé… Ils avaient mélangé les fanges de…
Déjà la rapide journée Fait place aux heures du sommeil, Et du dernier fils de Vannée S’est enfui le dernier soleil. Près du foyer, seule, inactive,
Ils sont deux. Un enfant, tout ra… Et marche à pas comptés, fier de p… Un bâton que couronne un cercle ho… Où l’on a suspendu des choses en m… Montre et couvert, et puis des éch…
Telle qu’une vapeur s’épaississant… La nuit grave s’étend sur les îles… Les plus belles au loin, déjà semb… Et les rives n’ont plus que de fuy… A mes pieds, le vent d’est chassan…
Sort inique et cruel ! le triste l… Qui s’est arné le dos à suivre sa… Qui sans regret semant la semence… Prodigua de son temps l’inutile su… Car un hiver trop long étouffa son…
Qui la méconnaîtrait cette terre s… Si chère à la valeur, des beaux-ar… Qu’un rayon du soleil, un seul cri… Couvre soudain de fleurs, de fruit… Qui, pareille à l’épi courbé par l…
Plein de joie en puissance et de f… Son front de jour en jour plus pro… Il est des temps où l’homme, endur… Que le choc des désirs brutaux con… Il marche et devant lui les specta…
Je vous fus présenté Madame, dans… De marbre frais et sombre où vous… Au bruit de ces jets d’eau monoton… Damasquinés ; l’or blanc cerclait… Assise à terre, à la manière orien…
Les Mavromikhalis, les aigles du… Ont traqué trois cents Turks dans… Et, de l’aube à midi, font siffler… Balles et rocs du faîte ardu de la… L’amorce sèche brûle et jaillit pa…
Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
Élégie I. Du plus malheureux des amants Elle avait essuyé les larmes, Sur la foi des nouveaux serments Ma tendresse était sans alarmes ;
Treize ans ! et sur ton front aucu… Ne viendra, pauvre enfant, invoque… Treize ans ! et dans ce jour nul r… Ne fera d’allégresse épanouir ton… Orpheline, c’est là le nom dont tu…
1611. Plus Mars que Mars de la Thrace, Mon père victorieux Aux rois les plus glorieux Ota la première place.
Muse, est-ce vous ? dans ces bois… Où l’Aquilon au loin gronde et mu… D’un long regard, aux bosquets eff… Vous demandez-leur riante parure. C’est vainement. L’impitoyable hi…
TOUS MES ESPOIRS BRISES Tous mes espoirs brisés contre les récifs d’un rivage tout aussi torturé que moi par le… Tous mes espoirs se sont dispersés
Bel astre voyageur, hôte qui nous… Des profondeurs du ciel et qu’on n… Où vas-tu ? Quel dessein pousse v… Toi qui vogues au large en cette m… Sur ta route, aussi loin que ton r…
Sonnet. Qu’est-ce tranchant de fer souple,… Ce ne sont pas les flancs de la te… Ni les pierres qu’il fend, ni les… Quel art a-t-il servi, quel fléau…
Le noir château, couvert de chiffr… Et ceint des froides fleurs dorman… En un doux ciel humide effile ses… Dans le parc, où jadis on vit flot… Les Nymphes, par le lierre en leu…
Loin du cap de Penn’hor, où hurla… Sombre comme le rire amer des gran… Bonds sur bonds, queue au vent, cr… Va ! Cours, mon bon cheval, en ro… Qu’il est sombre, le rire amer des…
Comment pourrez vous suivre dans c… dans cette atmosphère volatile écorché sous ce soleil punitif en découvrant la mort d’un natural… J’ai bien attrapé cette chose cas…
Embrasse-moi, mon cœur, baise-moi,… Presse-moi, serre-moi ! À ce coup… Mais ne me laisse pas en ces douce… Car c’est à cette fois que je te p… Mon ami, je me meurs et mon âme as…
Eh bien ! reprends-le donc ce peu… Qui pour quelques instants s’anima… Dans ton dédain superbe, implacabl… Brise à jamais le moule humain. De ces tristes débris quand tu ver…
Nourrissez votre cœur du feu des c… Filles du Fils de l’homme, aux ye… Aimez celle qu’un peuple appelle p… Avant Notre-Seigneur, savoir vivr… Quelque chose au dehors, mais au f…
Il vit cette perle bleutée, Dont il ignorait presque tout, Et demanda, intéressé, Ce que nous y faisions, nous. Je me tus un instant,
Combattu des vents et des flots, Voyant tous les jours ma mort pres… Et abayé d’une tempeste D’ennemis, d’aguetz, de complotz, Me resveillant à tous propos,
C’est Marivône Le Guînver, Avec ses coiffes de batiste, C’est Marivône Le Guînver Qui passe sa vie à rêver. Marivônic, Dieu vous assiste
A l’aube d’une rencontre A l’aube d’une nuit de songes Ou à l’aube du songe d’une nuit d’… Un amour qui s’écrirait à l’encre… Et se conjuguerait au présent de l…
Afin de te soustraire au néant ram… Et te tirer de cette affreuse affa… Je répandrai le baume de mes baise… Sur les restes de ton cœur Recollerai soigneusement tes morce…
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
C est la rubrique de Sunday . C est un article sur le journal S… C est les fleurs .. Rose, Anémon… Qui s amusent dans le potager . Pour cueillir des légumes pour le…
La forge retentit de longs fracas… Tout hurle, tout gémit, et, dans l… Sous le soufflet robuste un noir b… Est le naissant foyer du splendide… La machine à vapeur, rauque, siffl…
J’ai dit aux bons vents Qui heurtent ma porte : « Bien loin des vivants Qu’un souffle m’emporte ! » J’ai dit au soleil :
L’heure a sonné, les échos de Gen… Ont dit : Savoie ! et, plus promp… Ce cri, parti du pied du vieux Sa… Éveille au Nord un autre écho viva… Du bleu Léman nous séparent cent…
À Georges Lafenestre. LE PEINTRE. À quoi donc penses-tu, mon pauvre… D’une rêveuse main tenant ton ébau… Reviens-tu de pétrir un masque mor…
Ô chevrier ! ce bois est cher aux… Point de houx épineux ni de ronces… À travers l’hyacinthe et le souche… Une source sacrée y germe et coule… Midi brûle là-bas où, sur les herb…
Sonnet CXI. Je n’ai jamais pensé que cette voû… Couvrît rien de constant : mais je… Je veux, mon cher Morel, croire p… Que dessous ce grand Tout rien fe…
C est une légende urbaine . Devant les murs délabrés du manoir… C est l avocat Émile Marka .. l a… Qui préfère la boisson et le buffe… Des mets savoureux et du vin de gr…
Toi qui près d’un beau visage Ne veux que feindre l’amour, Tu pourrais bien quelque jour Éprouver à ton dommage Que souvent la fiction