"Toute la lyre (1888 et 1893)"
#ÉcrivainsFrançais
Non, Liberté ! non, Peuple, il ne… Oh ! certes, ce serait trop simple… Qu’après avoir brisé les lois, et… Où la sainte pudeur au ciel a remo… Qu’après avoir gagné sa sanglante…
J’eus toujours de l’amour pour les… Lorsque j’étais enfant, j’allais s… J’y prenais dans les nids de tout… D’abord je leur faisais des cages… Où je les élevais parmi des mousse…
Seuls tous deux, ravis, chantants… Comme on s’aime ! Comme on cueille le printemps Que Dieu sème ! Quels rires étincelants
Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…
Partout pleurs, sanglots, cris fun… Pourquoi dors-tu dans les ténèbres… Je ne veux pas que tu sois mort. Pourquoi dors-tu dans les ténèbres… Ce n’est pas l’instant où l’on dor…
Dans cette ville où rien ne rit et… Comme dans une femme aujourd’hui d… On sent que quelque chose, hélas !… Les maisons ont un air fâché, rogu… Les fenêtres, luisant d’un luisant…
En plein midi, quand l’astre est à… On se sent la sueur, tiède, perler… Les heures, groupe las, ne dansent… Tout fait la sieste ; on veut la g… La fleur se penche et dort ; et le…
L’amour, panique De la raison, Se communique Par le frisson. Laissez-moi dire,
Quand la terre engloutit les cités… Que le vent sème au loin un poison… Quand l’ouragan mugit, quand des m… C’est le réveil du Dieu vengeur. Et si, lassant enfin les clémences…
… Les plus sacrés, La Mort vient enlever le jeune ho… Et le Malheur s’approche comme un… Au milieu des jours de fête.
«–Sa morale a du bon. –Il est mor… –Il changeait en vin l’eau. –Ça s’… –Il était de Judée. Il avait douz… –Gens grossiers. –Gens de rien. –… –Il leur lavait les pieds. –C’est…
Sed sa… LUCAIN. Où donc est le bonheur ? disais-je… Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l… Naître, et ne pas savoir que l’enf…
Au fond du parc qui se délabre, Vieux, désert, mais encor charmant Quand la lune, obscur candélabre, S’allume en son écroulement, Un moineau-franc, que rien ne gêne…
Voici le trou, voici l’échelle. D… Tandis qu’au corps de garde en fac… En riant sous le nez des matrones… Laissez le crieur rauque, assourdi… Proclamer le numide ou le dace aux…
III. Les deux amants, sous la nue, Songent, charmants et vermeils...— L’immensité continue Ses semailles de soleils.