"Toute la lyre (1888 et 1893)"
#ÉcrivainsFrançais
La nuit était fort noire et la for… Hermann à mes côtés me paraissait… Nos chevaux galopaient. A la gard… Les nuages du ciel ressemblaient à… Les étoiles volaient dans les bran…
Jean Sévère était fort ivre. Ô barrière ! ô lieu divin Où Surène nous délivre Avec l’azur de son vin ! Un faune habitant d’un antre,
David, le marbre est saint, le bro… Sous le bois, où grandit le tilleu… Où le chêne tressaille, où les ger… Comme une bouche ouverts, boivent… Sous le fleuve moiré qui, roulant…
Jeanne parle ; elle dit des choses… Elle envoie à la mer qui gronde, a… À la nuée, aux fleurs, aux nids, a… À l’immense nature un doux gazouil… Tout un discours, profond peut-êtr…
Nous nous promenions parmi les déc… À Rozel-Tower, Et nous écoutions les paroles somb… Que disait la mer. L’énorme océan,—car nous entendîme…
Que je prenne un moment de repos ?… Koran, Zend-Avesta, livres sibyll… Talmud, Toldos Jeschut, Védas, l… Brahmes sanglants, santons fléchis… Les contes, les romans, les terreu…
J’atteignais l’âge austère où l’on… Où l’on cherche, enivré d’on ne sa… Afin de pouvoir dire éperdument J… Quelqu’un. J’entrais dans ma treizième année.…
Ô peuple ! sous ce crâne où rien n… Sous l’auguste sourcil morose et v… Du tribun et du cénobite, Sous ce front dont un jour les rév… Feront en l’entr’ouvrant sortir le…
Puisqu’ici-bas toute âme Donne à quelqu’un Sa musique, sa flamme, Ou son parfum ; Puisqu’ici toute chose
Avant que mes chansons aimées, Si jeunes et si parfumées, Du monde eussent subi l’affront, Loin du peuple ingrat qui les foul… Comme elles fleurissaient en foule…
Hier, le vent du soir, dont le sou… Nous apportait l’odeur des fleurs… La nuit tombait ; l’oiseau dormait… Le printemps embaumait, moins que… Les astres rayonnaient, moins que…
—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…
Ils marchaient à côté l’un de l’au… Troublaient le bois joyeux ; ils m… Parlaient, s’interrompaient, et, p… Leurs bouches se taisant, leurs âm… Ils songeaient ; ces deux coeurs,…
Voici juin. Le moineau raille Dans les champs les amoureux ; Le rossignol de muraille Chante dans son nid pierreux. Les herbes et les branchages,
Pourquoi pas montés sur des ânes ? Pourquoi pas au bois de Meudon ? Les sévères sont les profanes ; Ici tout est joie et pardon. Rien n’est tel que cette ombre ver…