Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
La hache ? Non. Jamais. Je n’en… Pas même pour ce czar devant qui j… Pas même pour ce monstre à lui-mêm… Qui supprime Tyburn abolit White… Et quand la mort, ouvrant son désa…
Son silence fut mon vainqueur ; C’est ce qui m’a fait épris d’elle… D’abord je n’avais dans le coeur Rien qu’un obscur battement d’aile… Nous allions en voiture au bois,
Donc, vieux passé plaintif, toujou… Nous criant :—Pourquoi donc est-o… Qu’êtes-vous devenus ? Dites, ave… Quel pacte avez-vous fait ? Quel… Nous questionnant, sombre et de ra…
L’hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en pro… La bise mord ta douce main ; La haine souffle sur ta joie. La neige emplit le noir sillon.
Ô Robert, un conseil. Ayez l’air… Soyons homme d’esprit. Le moment… Je le sais ; le quart d’heure est… Cette Californie est riche en min… D’accord ; mais cependant quand un…
Amis, un dernier mot !– et je ferm… Ce livre, à ma pensée étranger dés… Je n’écouterai pas ce qu’en dira l… Car, qu’importe à la source où son… Et que m’importe, à moi, sur l’ave…
Sonnet. On leur fait des sonnets, passable… On baise cette main qu’elles daign… On les suit à l’église, on les adm… On redevient Damis, on redevient…
C’est une chose grande et que tout… D’avoir un lustre en soi qu’on rép… D’être choisi d’un peuple à venger… De ne point faire un pas qui n’ait… Ou de chanter les yeux au ciel, et…
Jeanne songeait, sur l’herbe assis… Je m’approchai :– Dis-moi si tu v… Jeanne ?—car j’obéis à ces charman… Je les guette, et je cherche à com… Tout ce qui peut passer par ces di…
Fuyez au mont inabordable ! Fuyez dans le creux du vallon ! Une nation formidable Vient du côté de l’aquilon. Ils auront de bons capitaines,
Un jour, Dieu sur sa table Jouait avec le diable Du genre humain haï. Chacun tenait sa carte L’un jouait Bonaparte,
Oh ! Quand donc aurez-vous fini,… De jaser au milieu des branches et… Que nous nous expliquions et que j… Rouge-gorge, verdier, fauvette, to… Oiseaux, je vous entends, je vous…
Cette nuit, il pleuvait, la marée… Un brouillard lourd et gris couvra… Les brisants aboyaient comme des c… Aux pleurs du ciel profond joignai… L’infini secouait et mêlait dans s…
Je veille, et nuit et jour mon fro… Ma joue en pleurs ruisselle, Depuis qu’Albaydé dans la tombe a… Ses beaux yeux de gazelle. Car elle avait quinze ans, un sour…
David, le marbre est saint, le bro… Sous le bois, où grandit le tilleu… Où le chêne tressaille, où les ger… Comme une bouche ouverts, boivent… Sous le fleuve moiré qui, roulant…