Ces âmes que tu rappelles, Mon coeur, ne reviennent pas. Pourquoi donc s’obstinent-elles, Hélas ! à rester là-bas ? Dans les sphères éclatantes,

II. Oh ! vers ces vétérans quand notre… Nous voyons leur front luire et re… Fertile en grands travaux. C’étaient là les anciens. Mais ce…

Ce petit bonhomme bleu Qu’un souffle apporte et remporte, Qui, dès que tu dors un peu, Gratte de l’ongle à ta porte, C’est mon rêve. Plein d’effroi,

Hier, le vent du soir, dont le sou… Nous apportait l’odeur des fleurs… La nuit tombait ; l’oiseau dormait… Le printemps embaumait, moins que… Les astres rayonnaient, moins que…

Cette nuit-là Trois amis l’entouraient. C’était… On voyait du dehors luire cette cr… Regardant venir l’heure et l’aigui… Il était là, pensif ; et rêvant d’…

J’aime le carillon dans tes cités… Ô vieux pays gardien de tes moeurs… Noble Flandre, où le Nord se réch… Au soleil de Castille et s’accoup… Le carillon, c’est l’heure inatten…

Bien ! pillards, intrigants, fourb… Attablez-vous en hâte autour des j… Accourez ! place à tous ! Maîtres, buvez, mangez, car la vie… Tout ce peuple conquis, tout ce pe…

Ora pr… Ma fille, va prier !– Vois, la nu… Une planète d’or là-bas perce la n… La brume des coteaux fait trembler… À peine un char lointain glisse da…

Il est des jours abjects où, sédui… Sans honneur, Les peuples au succès se livrent,… Du bonheur. Alors des nations, que berce un fa…

II. Tout était d’accord dans les plain… Tout était d’accord dans les bois Avec la douceur des haleines, Avec le mystère des voix.

« Allah ! qui me rendra ma formida… Emirs, cavalerie au carnage animée… Et ma tente, et mon camp, éblouiss… Qui la nuit allumait tant de feux,… On eût dit que le ciel sur la coll…

Le calife a puni les gens de la mo… Ses soldats sont venus ! Allah le… Car ils n’ont rien laissé de vivan… Maintenant, oh ! quel deuil dans c… Les os de tout un peuple y gisent…

Et Jeanne à Mariette a dit :—Je… Qu’en répondant : c’est moi, papa… Je n’ai pas peur de lui puisqu’il… Vois-tu, papa n’a pas le temps d’ê… Il n’est jamais beaucoup fâché, pa…

Ô poète ! pourquoi tes stances fav… Marchent-elles toujours cueillant… Toujours des liserons et toujours… Et vont-elles s’asseoir au fond de… Laissant sur leurs pieds nus, lavé…

VIII. Quand elle prie, un ange est debou… Caressant ses cheveux des plumes d… Essuyant d’un baiser son oeil de p… Venu pour l’écouter sans que l’enf…