Amis, mes deux amis, mon peintre,… Vous me manquez toujours, et mon â… Vous redemande ici. Des deux amis, si chers à ma lyre… Pas un ne m’est resté. Je t’en ve…

Qu’il est joyeux aujourd’hui Le chêne aux rameaux sans nombre, Mystérieux point d’appui De toute la forêt sombre ! Comme quand nous triomphons,

Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…

Les champs n’étaient point noirs,… Non, le jour rayonnait dans un azu… Sur la terre étendu, L’air était plein d’encens et les… Quand il revit ces lieux où par ta…

Retournons à l’école, ô mon vieux… Homme d’ivoire et d’or, descends d… Où depuis deux mille ans tes vers… Il paraît, vois-tu bien, ces chose… Mais c’est la vérité selon monsieu…

« Allah ! qui me rendra ma formida… Emirs, cavalerie au carnage animée… Et ma tente, et mon camp, éblouiss… Qui la nuit allumait tant de feux,… On eût dit que le ciel sur la coll…

Ce bonhomme avait les yeux mornes Et, sur son front, chargé d’ennui, L’incorrection de deux cornes Tout à fait visibles chez lui. Ses vagues prunelles bourrues

Et les voilà mentant, inventant, m… Les voilà, fronts sans honte et bo… Calomniant l’honneur du pays, flét… Tous les lutteurs, ceux-ci qui ver… Ceux-ci, plus grands encor, qui, v…

Ô poète ! pourquoi tes stances fav… Marchent-elles toujours cueillant… Toujours des liserons et toujours… Et vont-elles s’asseoir au fond de… Laissant sur leurs pieds nus, lavé…

LE SÉNAT. Vibrez, trombone et chanterelle ! Les oiseaux chantent dans les nids… La joie est chose naturelle. Que Magnan danse la trénis

Mes vers fuiraient, doux et frêles… Vers votre jardin si beau, Si mes vers avaient des ailes, Des ailes comme l’oiseau. Il voleraient, étincelles,

Parce que, jargonnant vêpres, jeûn… Exploitant Dieu qui rêve au fond… Vous avez, au milieu du divin évan… Ouvert boutique effrontément ; Parce que vous feriez prendre à J…

L’aube naît, et ta porte est close… Ma belle, pourquoi sommeiller ? À l’heure où s’éveille la rose Ne vas-tu pas te réveiller ? Ô ma charmante,

Lion ! J’étais pensif, ô bête pri… Devant la majesté de ta grave crin… Du plafond de ta cage elle faisait… Nous songions tous les deux, et tu… Ton regard était beau, lion. Nous…

Pendant que la mer gronde et que l… Et que sur l’horizon les tumultes… Ce veilleur, le poète, est monté s… Ce qu’il veut, c’est qu’enfin la c… Jadis, dans les temps noirs comme…