"Les châtiments (1853)" Jersey, le 1er mars 1853.
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Amis ! c’est donc Rouen, la ville… Aux vieilles tours, débris des rac… La ville aux cent clochers carillo… Le Rouen des châteaux, des hôtels… Dont le front hérissé de flèches e…
La clarté du dehors ne distrait pa… La plaine chante et rit comme une… Le nid palpite dans les houx ; Partout la gaîté lui dans les bouc… Mai, couché dans la mousse au fond…
L’histoire a pour égout des temps… Et c’est là que la table est mise… C’est là, sur cette nappe où joyeu… Qu’on voit,—tandis qu’ailleurs, nu… Agonisent, sereins, calmes, le fro…
Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes
C’est une chose grande et que tout… D’avoir un lustre en soi qu’on rép… D’être choisi d’un peuple à venger… De ne point faire un pas qui n’ait… Ou de chanter les yeux au ciel, et…
La nature est partout la même, À Gonesse comme au Japon. Mathieu Dombasle est Triptolème ; Une chlamyde est un jupon. Lavallière dans son carrosse,
PAUVRE femme ! son lait à sa tê… Et, dans ses froids salons, le mon… Parmi les vains propos que chaque… Hier, qu’elle était folle, aujourd… Et, seul au champ des morts, je fo…
« Allah ! qui me rendra ma formida… Emirs, cavalerie au carnage animée… Et ma tente, et mon camp, éblouiss… Qui la nuit allumait tant de feux,… On eût dit que le ciel sur la coll…
Les femmes sont sur la terre Pour tout idéaliser ; L’univers est un mystère Que commente leur baiser. C’est l’amour qui, pour ceinture,
IL semblait grelotter, car la bis… C’était, sous un amas de rameaux s… Une pauvre statue, au dos noir, au… Un vieux faune isolé dans le vieux… Qui, de son front penché touchant…
Et les voilà mentant, inventant, m… Les voilà, fronts sans honte et bo… Calomniant l’honneur du pays, flét… Tous les lutteurs, ceux-ci qui ver… Ceux-ci, plus grands encor, qui, v…
Là-haut qui sourit ? Est-ce un esprit ? Est-ce une femme ? Quel front sombre et doux ! Peuple, à genoux !
J’ai mal dormi. C’est votre faute… J’ai rêvé que, sur des sommets, Nous nous promenions côte à côte, Et vous chantiez, et tu m’aimais. Mes dix-neuf ans étaient la fête
Souvent, quand mon esprit riche en… Flotte et roule endormi sur l’océa… Dieu, foyer du vrai jour qui ne lu… Mystérieux soleil dont l’âme est e… Le frappe d’un rayon, et, comme un…
Le soir, à la campagne, on sort, o… Le pauvre dans son champ, le riche… Moi, je vais devant moi ; le poète… Se sent chez lui, sentant qu’il es… Je vais volontiers seul. Je médit…