" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! l… Le poème éternel !—La Bible ?—No… Platon, tous les matins, quand rev… Lisait les vers d’Homère, et moi… J’épelle les buissons, les brins d…
Canaris ! Canaris ! pleure ! cent… Pleure ! Une flotte entière ! – O… Où donc était ta main hardie ? Se peut-il que sans toi l’ottoman… Pleure ! comme Crillon exilé d’un…
Mens b… Madame, autour de vous tant de grâ… Votre chant est si pur, votre dans… Un charme si vainqueur, Un si touchant regard baigne votre…
Mères en deuil, vos cris là-haut s… Dieu, qui tient dans sa main tous… Parfois au même nid rend la même c… O mères ! le berceau communique à… L’éternité contient plus d’un divi…
Le poème éploré se lamente ; le dr… Souffre, et par vingt acteurs répa… Et la foule accoudée un moment s’a… Puis reprend : « Bah ! l’auteur e… Qui, sur de faux héros lançant de…
Quand la terre engloutit les cités… Que le vent sème au loin un poison… Quand l’ouragan mugit, quand des m… C’est le réveil du Dieu vengeur. Et si, lassant enfin les clémences…
Ce bonhomme avait les yeux mornes Et, sur son front, chargé d’ennui, L’incorrection de deux cornes Tout à fait visibles chez lui. Ses vagues prunelles bourrues
À mademoiselle Louise B. De nos jours,—plaignez-nous, vous,… L’intérieur de l’homme offre un so… Un serpent est visible en la sourc… Et l’incrédulité rampe au fond de…
Il est dans l’atrium, le beau roue… La roue agile est blanche, et la q… La quenouille est d’ébène incrusté… Il est dans l’atrium sur un riche… Un ouvrier d’Egine a sculpté sur…
Amour ! « Loi, » dit Jésus. « My… Sait-on quel fil nous lie au firma… Ce que les mains de Dieu dans l’i… Est-on maître d’aimer ? pourquoi d… Demande à l’eau qui court, demande…
Oh ! vous aurez trop dit au pauvre… Qu’il est d’autres anges là-haut, Que rien ne souffre au ciel, que j… Qu’il est doux d’y rentrer bientôt… Que le ciel est un dôme aux mervei…
Je vis cette faucheuse. Elle étai… Elle allait à grands pas moissonna… Noir squelette laissant passer le… Dans l’ombre où l’on dirait que to… L’homme suivait des yeux les lueur…
La clarté du dehors ne distrait pa… La plaine chante et rit comme une… Le nid palpite dans les houx ; Partout la gaîté lui dans les bouc… Mai, couché dans la mousse au fond…
III. J’ai vu comment, d’une patte, En ce siècle sans pareil, On épouse un cul-de-jatte, Et de l’autre, le soleil.
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…