" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Vois, ce spectacle est beau. Ce p… Qui toujours devant nous finit et… Ces blés, ces eaux, ces prés, ce b… Ce chaume où l’on entend rire un g… L’océan qui s’ajoute à la plaine o…
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,
N’ai-je pas pour toi, belle juive, Assez dépeuplé mon sérail ? Souffre qu’enfin le reste vive. Faut-il qu’un coup de hache suive Chaque coup de ton éventail ?
Psyché dans ma chambre est entrée, Et j’ai dit à ce papillon : – « Nomme-moi la chose sacrée. « Est-ce l’ombre ? est-ce le rayon… « Est-ce la musique des lyres ?
III. Prie encor pour tous ceux qui pass… Sur cette terre des vivants ! Pour ceux dont les sentiers s’effa… À tous les flots, à tous les vents…
J’avais douze ans ; elle en avait… Elle était grande, et, moi, j’étai… Pour lui parler le soir plus à mon… Moi, j’attendais que sa mère sortî… Puis je venais m’asseoir près de s…
C’est le moment crépusculaire. J’admire, assis sous un portail, Ce reste de jour dont s’éclaire La dernière heure du travail. Dans les terres, de nuit baignées,
Est-ce ma faute à moi si vous n’êt… Vous aimez les hiboux, les fouines… Le mistral, le simoun, l’écueil, l… Vous êtes Myrmidon que son néant… Hélas ! l’envie en vous creuse son…
IX. Toi qu’aimait Juvénal gonflé de l… Toi dont la clarté luit dans l’oei… Muse Indignation, viens, dressons… Dressons sur cet empire heureux et…
Au fond du parc qui se délabre, Vieux, désert, mais encor charmant Quand la lune, obscur candélabre, S’allume en son écroulement, Un moineau-franc, que rien ne gêne…
Adieu, patrie ! L’onde est en furie. Adieu, patrie ! Azur ! Adieu, maison, treille au fruit mû…
Il est des jours de brume et de lu… Où l’homme, que la vie à chaque in… Étudiant la plante, ou l’étoile, o… S’accoude au bord croulant du prob… Où le songeur, pareil aux antiques…
« M.… Napoléon le Petit, et qui renferm… On raconte qu’un des jours de la s… Saint-Cloud. Lorsque Louis-Napol… du mépris sur les lèvres, puis s’a…
Réveillez-vous, assez de honte ! Bravez boulets et biscayens. Il est temps qu’enfin le flot mont… Assez de honte, citoyens ! Troussez les manches de la blouse.
L’aube est moins claire, l’air moi… Le soir brumeux ternit les astres… Les longs jours sont passés ; les… Hélas ! voici déjà les arbres qui… Comme le temps s’en va d’un pas pr…