" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Le prê… Lorsque les saints flambeaux pour… Et de leurs longs cheveux voilant… Les jeunes filles pleureront. <…
J’avais douze ans ; elle en avait… Elle était grande, et, moi, j’étai… Pour lui parler le soir plus à mon… Moi, j’attendais que sa mère sortî… Puis je venais m’asseoir près de s…
Enfin, mort triomphant, il vit sa… Et l’océan rendit son cercueil à l… L’homme, depuis douze ans, sous le… Reposait, par l’exil et par la mor… En paix !—Quand on passait près d…
Le vieil esprit de nuit, d’ignoran… Des clous de Jésus-Christ forge à… Change l’enfant candide et pur en… Lie au bûcher Jean Huss et Morus… Frappe de sa férule Horace, et, s…
Muse, un nommé Ségur, évêque, m’e… Cet homme violet me damne en mauva… Sa prose réjouit les hiboux dans l… Ô Muse, n’ayons point contre lui d… Laissons-lui ce joujou qu’il prend…
J’atteignais l’âge austère où l’on… Où l’on cherche, enivré d’on ne sa… Afin de pouvoir dire éperdument J… Quelqu’un. J’entrais dans ma treizième année.…
Je ne demande pas autre chose aux… Que de faire silence autour des an… Et de ne pas troubler la chanson d… Je veux entendre aller et venir le… De Pan, noir tisserand que nous e…
Puisque j’ai mis ma lèvre à ta cou… Puisque j’ai dans tes mains posé m… Puisque j’ai respiré parfois la do… De ton âme, parfum dans l’ombre en… Puisqu’il me fut donné de t’entend…
Autrefois inséparables, Et maintenant séparés. Gaie, elle court dans les prés, La belle aux chants adorables ; La belle aux chants adorés,
Puisque rien ne t’arrête en cet he… Ni l’ombre du palmier, ni le jaune… Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeu… De nos sœurs, dont, les soirs, le…
Je ne vois pas pourquoi je ferais… Que de rêver sous l’arbre où le ra… Les chars passent, j’entends grinc… Quand les filles s’en vont laver à… Elles prêtent l’oreille à ma chans…
Tu savais bien qu’un jour il faudr… Mais tu n’imaginais ni Séjan, ni… Tu te croyais de ceux que la haine… Frappe furtivement d’un coup de fo… Tu t’étais figuré qu’on te renvers…
Ce Zoïle cagot naquit d’une Javot… Le diable,—ce jour-là Dieu permit… D’un peu de Ravaillac et d’un de… Composa ce gredin béat. Tout jeune, il contemplait, sans g…
Si l’on vous dit que l’art et que… C’est un flux éternel de banale am… Que c’est le bruit, la foule, atta… Ou d’un salon doré l’oisive fantai… Ou la rime en fuyant par la rime s…
Aux petits incidents il faut s’hab… Hier on est venu chez moi pour me… Mon tort dans ce pays c’est de cro… On ne sait quel ramas de pauvres i… S’est rué tout à coup la nuit sur…