" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Du songe universel notre pensée es… Et le dragon était consulté du pro… Et jadis, dans l’horreur des antre… Entr’ouvrant de leur griffe ou tor… D’effrayants livres pleins de sini…
La querelle irritée, amère, à l’œi… Vipère dont la haine empoisonne la… Siffle et trouble le toit d’une pa… Les mots heurtent les mots. L’enf… La femme et le mari laissent l’enf…
Sur la terre, tantôt sable, tantôt… L’un à l’autre liés en longue cara… Echangeant leur pensée en confuses… Emmenant avec eux les lois, les fa… Les esprits, voyageurs éternels, s…
Comment, disaient-ils, Avec nos nacelles, Fuir les alguazils ? –Ramez, disaient-elles. Comment, disaient-ils,
Booz s’était couché de fatigue acc… Il avait tout le jour travaillé da… Puis avait fait son lit à sa place… Booz dormait auprès des boisseaux… Ce vieillard possédait des champs…
Mugissement des boeufs, au temps d… Comme aujourd’hui, le soir, quand… Ou, le matin, quand l’aube aux cha… Verse à flots la rosée et le jour,… Mûrissez, blés mouvants ! prés, em…
Il n’avait pas vingt ans. Il avai… De tout ce qui peut être aimé, sou… Il avait tout terni sous ses mains… Les blêmes voluptés sur sa trace a… Sortaient, pour l’appeler, de leur…
Laissons le glaive à Rome et le s… Ne faisons pas saisir, trop pressé… Par le spectre Brutus le brigand… Gardons ce misérable au sinistre a… Vous serez satisfaits, je vous le…
Sonnez, sonnez toujours, clairons… Quand Josué rêveur, la tête aux c… Suivi des siens, marchait, et, pro… Sonnait de la trompette autour de… Au premier tour qu’il fit, le roi…
Un ravin de ces monts coupe la noi… Comme si, voyageant du Caucase au… Quelqu’un de ces Titans que nul r… Avait fait passer sur leur tête La roue immense de son char.
Oui, l’homme est responsable et re… Sur cette terre où l’ombre et l’au… Sois l’intendant de Dieu, mais l’… Tremble de tout abus de pouvoir su… Te figures-tu donc être un tel but…
À mademoiselle Louise B. De nos jours,—plaignez-nous, vous,… L’intérieur de l’homme offre un so… Un serpent est visible en la sourc… Et l’incrédulité rampe au fond de…
Jules, votre château, tour vieille… Se mire dans la Loire, à l’endroi… Sous Blois, élargissant son splen… Comme une mère presse un enfant su… En lui parlant tout bas d’une voix…
Moi, que je sois royaliste ! C’est à peu près comme si Le ciel devait rester triste Quand l’aube a dit : Me voici ! Un roi, c’est un homme équestre,
Pour la France et la république, En Navarre nous nous battions. Là parfois la balle est oblique ; Tous les rocs sont des bastions. Notre chef, une barbe grise,