" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Mes poèmes ! soyez des fleuves ! Allez en vous élargissant ! Désaltérez dans les épreuves Les coeurs saignants, les âmes veu… Celui qui monte ou qui descend.
Vieux lierre, frais gazon, herbe,… Eglise où l’esprit voit le Dieu q… Mouches qui murmurez d’ineffables… À l’oreille du pâtre assoupi dans… Vents, flots, hymne orageux, choeu…
Oh ! les charmants oiseaux joyeux… Comme ils maraudent ! comme ils pi… Où va ce tas de petits gueux Que tous les souffles éparpillent… Ils s’en vont au clair firmament ;
Les mères ont senti tressaillir le… Les lourds caissons chargés de boî… Courent, et l’on dirait qu’ils bon… Le peuple de Paris, pensif, les s… Et s’en va par les quais vers les…
Ouvrière sans yeux, Pénélope imbé… Berceuse du chaos où le néant osci… Guerre, ô guerre occupée au choc d… Toute pleine du bruit furieux des… Ô buveuse de sang, qui, farouche,…
On lit dans les Annales de la pro… « Une lettre de Hong-Kong (Chine… 1832, nous annonce que M. Bonnard… Tong-King, a été décapité pour la… Ce nouveau martyr était né dans le…
Parce que, jargonnant vêpres, jeûn… Exploitant Dieu qui rêve au fond… Vous avez, au milieu du divin évan… Ouvert boutique effrontément ; Parce que vous feriez prendre à J…
Aux champs, compagnons et compagne… Fils, j’élève à la dignité De géorgiques les campagnes Quelconques où flambe l’été ! Flamber, c’est là toute l’histoire
Cette nuit-là Trois amis l’entouraient. C’était… On voyait du dehors luire cette cr… Regardant venir l’heure et l’aigui… Il était là, pensif ; et rêvant d’…
Elle me dit : « Quelque chose Me tourmente. » Et j’aperçus Son cou de neige, et, dessus, Un petit insecte rose. J’aurais dû—mais, sage ou fou,
Nous errions, elle et moi, dans le… Elle est fière pour tous et pour m… Les deux et nos pensers rayonnaien… Oh ! connue aux lieux déserts les… Que de fleurs aux buissons, que de…
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
III. Prie encor pour tous ceux qui pass… Sur cette terre des vivants ! Pour ceux dont les sentiers s’effa… À tous les flots, à tous les vents…
Nous allions au verger cueillir de… Avec ses beaux bras blancs en marb… Elle montait dans l’arbre et courb… Les feuilles frissonnaient au vent… O Virgile, ondoyait dans l’ombre…
À force d’insulter les vaillants e… À force de flatter les trahisons a… À force d’être abject et d’ajuster… De sophismes hideux aux plus noirs… Cet homme espère atteindre aux gra…