" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Ami, j’ai quitté vos fêtes. Mon esprit, à demi-voix, Hors de tout ce que vous faites, Est appelé par les bois. J’irai, loin des murs de marbre,
Tout revit, ma bien-aimée ! Le ciel gris perd sa pâleur ; Quand la terre est embaumée, Le coeur de l’homme est meilleur. En haut, d’ou l’amour ruisselle,
II. C’est fini. Le silence est partou… Vive Poulmann césar et Soufflard… On fait des feux de joie avec les… La porte Saint-Denis sous ses hau…
Ami, tu me dis : « Joie extrême ! Donc, ce matin, comblant ton voeu, Rougissante, elle a dit : Je t’ai… Devant l’aube, cet autre aveu. Ta victoire, tu la dévoiles.
Ô vous, mes vieux amis, si jeunes… Qui comme moi des jours avez porté… Qui de plus d’un regret frappez la… Et qui marchez courbés, car la sag… Mes amis ! qui de vous, qui de nou…
Oui, je suis le rêveur ; je suis l… Des petites fleurs d’or du mur qui… Et l’interlocuteur des arbres et d… Tout cela me connaît, voyez-vous.… En mai, quand de parfums les branc…
Ô Dieu ! si vous avez la France s… Ne souffrez pas, Seigneur, ces lu… Ces trônes qu’on élève et qu’on br… Ces tristes libertés qu’on donne e… Ce noir torrent de lois, de passio…
Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,
Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes
Mourir… Sans percer, sans fouler, sans pét… Ces bourreaux barbouilleurs de loi… André Chénier, Lambes. « Le vent chasse loin des campagne…
On croyait dans ces temps où le pâ… Loin dans l’air, au-dessus de son… Voyait parfois, témoin par l’ombre… Dans un noir tourbillon de tonnerr… Passer rapidement la figure ébloui…
Jeune homme ! je te plains ; et ce… Ton grand parc enchanté qui semble… Qui fait, vu de ton seuil, le tour… Grave ou joyeux suivant le jour et… Coupé d’herbe et d’eau vive, et re…
Ô sultan Noureddin, calife aimé de… Tu gouvernes, seigneur, l’empire d… De la mer rouge au fleuve jaune. Les rois des nations, vers ta face… Pavent, silencieux, de leurs front…
Pourquoi donc s’en est-il allé, le… Ils viennent un moment nous faire… Puis partent. Ces enfants, que no… Sont à quelqu’un qui n’est pas nou… Tu ne les vois donc pas, vieillard…
À cette terre, où l’on ploie Sa tente au déclin du jour, Ne demande pas la joie. Contente-toi de l’amour ! Excepté lui, tout s’efface.