Mourir dans la buée ardente de l’é… Quand parfumé, penchant et lourd c… Le coeur, que la rumeur de l’air b… S’égrène en douloureuse et douce v… Mourir, baignant ses mains aux fra…
Le miroir et le fleuve en crue, ce… S’appelaient à travers la chambre,… Se trouvent et s’unissent dans l’o… Des meubles de la chambre descellé… Et nous étions deux pays de sommei…
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
Sonnet XCIX. Quand je vais par la rue, où tant… De prêtres, de prélats, et de moin… De banquiers, d’artisans, et n’y v… Qu’on voit dedans Paris, la femme…
Il pleut des cordes Le temps est morne Résidus de solitude Auto-lassitude Une tempête sauvage
Fable V, Livre I. Pataud jouait avec Raton, Mais sans gronder, sans mordre ; e… Les chiens sont bonnes gens ; mais… Sont justement tout le contraire.
L’hiver est sorti de sa tombe, Son linceul blanchit le vallon ; Le dernier feuillage qui tombe Est balayé par l’aquilon. Nichés dans le tronc d’un vieux sa…
La Treizième revient... C’est enc… Et c’est toujours la seule,—ou c’e… Car es-tu reine, ô toi ! la premiè… Es-tu roi, toi le seul ou le derni… Aimez qui vous aima du berceau dan…
Savez-vous bien, Madame, à quel r… En acceptant des vers d’indiscrets… C’est une occasion de parler, et,… Je dis ce que je pense et permets… Un poète ose tout.—Si j’allais (j…
Je me jette dans le grand vide à c… Impromptue vague pourvue de virule… M’offre à une ville et à ses vertu… En accord parfait avec ma divergen… M’implanter ici de façon inopinée,
Sur son blanc chevet, belle, à dem… Elle parlait seule, et parlait tou… Du sommeil pour tous l’heure est r… La lumière au loin s’endort sous l… Pourquoi, faible cœur, seul ne dor…
D’où vient que l’âme humaine est a… Que jamais ses regards troublés et… N’ont pu s’accoutumer à la marche… Sur l’éternel chemin, chaque borne… Nous attriste. D’où vient ? Je ne…
Synopsis : hymne à ces bouquets fl… Genre : bucolique en vers décasyll… S’ils ne m’obligeaient pas à coupe… à faire des bouquets je passerais… je t’en apporterais, cascades de f…
Montigné (car tu es aux procès usi… Si quelqu’un de ces dieux, qui ont… Nous promit de tous biens paisible… Nous obligeant par Styx toute sa… Il s’est mal envers nous de promes…
à Jacqueline Leiner rumeur de remugle de mangles de coques dé…
S’ILS ME DEMANDENT Dites de moi ce qui est irréparabl… ce qui n’était pas ou ce qui était… ombre cristalline sur ma vie. Dites de moi... que le vent a foue…
C’est l’an de grâce mil six cent d… De juillet, en un vaste et riche d… Primatial. Le ciel est pur et ray… Bourdons et cloches vont sonnant e… La ville en fête rit au clair sole…
Nous renaissons, ma chère Éléonore… Car c’est mourir que de cesser d’a… Puisse le nœud qui vient de se for… Avec le temps se resserrer encore… Devions-nous croire à ce bruit imp…
Des vers, à loi, rimeur intarissab… A toi des vers ? C’est un projet… C’est au désert jeter un grain de… Sur le rocher c’est poser un caill… N’ai-je pas vu ma muse trop rebell…
On dit que tout passe par le regar… À la recherche de mon temps perdu,… Au bal de l’hypocrisie, vous porte… Lorsque l’on vous côtoie, nous y l… La spontanéité a décidé de mainten…
Perdu, Ne sentant plus rien, A part le vide et ses inconnus, Plongé dans un monde sans fin. Se dirigeant à l’instinct,
Voici mon premier poème chantable ce que je préfère à chansons. Perso, elles sont comme les romans, je ne les aime pas tellement, donc, je ne cherche pas réellement à faire mettre celui...
Mon amour est un gouffre dans un e… Je t’aime plus que tout et n’y veu… n’espère ni ta langue à l’absolu d… ni le moindre répit où mon cœur se… dans le vent des rouleaux aux meur…
Le temps ce soir est gros d’orage… Déjà, sous cet épais nuage, Il gronde là-bas faible et sourd : L’éclair est pâle, le ciel lourd, Et l’air muet, qu’en vain j’implor…
Emmène-moi sur ces collines Bercées par une brise essoufflée Où le soleil en vagues fines Lèche les flancs d’un voile éthéré… Sur le chemin nous croiserons
Un jour, tu cesseras de parcourir le monde comme si tu devais tout porter à bout de bras : le Soleil, le Ciel, les heures sombres de la nuit, l’instant secret où l’on frappe à ta porte ...
Maudit soit mille fois le Borgne… Qui, le cœur des rochers perçant d… Des Alpes renversa le naturel rem… Pour ouvrir le chemin de France e… Mars n’eût empoisonné d’une éterne…
« A quoi songes-tu donc de t’engou… Serais-tu désormais à ce point rad… Géant qu’on disait si farouche ? Depuis plus d’un long mois, à quoi… D’être là, somnolent, de languir a…
Le sang injustement répandu est lo… C’est la rosée des cieux innocente… Qui ressort en moissons plantureus… Plus douce encore à ses veines tou… L’âme rouge dans elle de ses fils…
Sonnet. Elle a des yeux d’acier ; ses chev… Ont le lustre azuré des plumes d’h… Blanche à force de nuit amassée au… Elle erre sur les monts et dans le…
le tronc enserré de liens l’eau lance de brutaux surgeons dans l’aire avide du courant ce sont surgeons aveugles d’être affamés affamés et claustrés de D…
Le jour de sa fête Dans un deuil que mon cœur révère, Pour ta fête en ce jour, ô mon ver… Je n’offre point des fleurs : héla… La rose pour tes yeux serait encor…
suite de Odes, par le Vampire Hybrizein où je vous explique comment l'améthyste autrefois brillante comme une étoile fut irrémédiablement tachée par le sang bleu d'un animal mythologiqu...
Ils ont un milliard des yeux Des centaines des bras et jambes ; Un mouvement inaperçu et l’âge de l’univers ; Ils se moquent des mortels :
Je marchais j’écris des flaques des branches imparfait présent pressant où les moteurs grondent
Se glisser dans ce néant fécond, Chevalier méritant et servant, Où le silence est le compagnon, Habile à endormir des tourments, Qui impatientent la chair de leur…
Toute grâce et toutes nuances Dans l’éclat doux de ses seize ans… Elle a la candeur des enfances Et les manèges innocents. Ses yeux, qui sont les yeux d’un a…
Quoi ! Vous à pareille heure ici,… Étrangère, et pour moi cependant d… Vous, si jeune et si frêle, êtes a… Admirer l’ouragan dans toute sa no… Quoi ! Pour l’étudier, cette mer…
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
Je suis une traitresse Je suis abominable Parce que tu me rends déesse Sans toi je suis minable Or je te laisse sans moi
A la télévision, le récit vécu par deux régiments français et allemands, au cours de la guerre de 1914-1918, appelée « La Grande Guerre » qui dura quatre années.... C’était la veille de...
Se fâcher tout le jour d’une fâche… Voir un brave taureau se faire un… Étonné de se voir tant d’hommes al… Et cinquante piquiers affronter so… Le voir en s’élançant venir la têt…
La mort... certes, mais la ma-mort... c’est autre chose. Il me semble que ma mort n’est ni le but, ni la finalité de ma vie. Ce n’est que son aboutissement logique, et tout homme moral ...
Sonnet XXIV. Qu’heureux tu es, Baïf, heureux,… De ne suivre abusé cette aveugle d… Qui d’un tour inconstant et nous h… Mais cet aveugle enfant qui nous f…
Sonnet CXXIII. Nous ne sommes fâchés que la trêve… Car bien que nous soyons de la Fr… Si est chacun de nous à soi-même t… Combien la France doit de la guer…
Chanson. Jeanne est si blonde, qu’elle est… Le jour de Pâques elle s’en va Cueillir l’aubépine qui pousse, Qui pousse, pousse et fleurira.
Pour M. le duc de Bellegarde, à u… s’était imaginé qu’il était amoure… 1606. Philis, qui me voit le teint blême… Les sens ravis hors de moi-même,
Ce Chasteau-neuf, ce nouvel edifi… Tout enrichy de marbre et de porph… Qu’Amour bastit chasteau de son e… Où tout le Ciel a mis son artific… Est un rempart, un fort contre le…
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,
Je t’aime à n’en plus pouvoir pens… Je t’aime à n’en plus être entière… Je t’aime à n’en plus pouvoir dorm… Je t’aime à n’en plus savoir là qu… Je t’aime à en perdre la notion du…
(Au Révérend Père Delidel de la… Jésus, sur son traité de la Théol… Toi qui nous apprends de la Grâce Quelle est la force et la douceur, Comme elle descend dans un cœur,
Il dort Il est éveillé Tout à coup, il peint Il prend une église et peint avec… Il prend une vache et peint avec u…
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Créateur des humains, grand Dieu,… De ce vaste univers ! Qui du sein de la terre à ton ordr… Tant d’animaux divers : À ces grands corps sans nombre et…
Que la vie est ennuyeuse à cinq heures et demie de ce petit matin en berne Les dianes contagieuses se propagent dans les casernes
23h00 l’heure où tout bascule, tri… Cœur serré, une douleur apparaît,… Une bulle se forme, l’air se coupe… La gorge serrée j’entends mon cœur… Puis le soleil fait surface, mon c…
Dedans le ventre obscur, où jadis… Tout cela qui depuis a rempli ce g… L’air, la terre, et le feu, et l’é… Et tout cela qu’Atlas soutient de… Les semences du Tout étaient enco…
Sur le bonheur des justes, Et sur le malheur des réprouvés. (Tiré de la Sagesse, chap. 5.) Heureux, qui de la Sagesse Attendant tout son secours,
Dans ce monde, aujourd’hui, nous s… Convaincus de tout savoir, prétend… Nos pensées deviennent loi, vérité… Et nos certitudes, partout, ne ces… “ Ils ont tort ”, disons-nous, “ i…
Comte, qui ne fis onc compte de la… Ton Du Bellay n’est plus : ce n’e… Qui dessus un ruisseau d’un dos co… Et n’a plus rien de vif, qu’un pet… Si j’écris quelquefois, je n’écris…