#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
Ne réveillez pas Dieu, il dort Profondément, c’est moi son rêve..… Le réveiller serait ma mort.
Ne m’interrogez plus. Interrogez… Dont je suis le valet ; Mais ne les croyez point ni belles… À qui leur semble laid. Toujours toutes en train de fondre…
Mademoiselle Marie Vous êtes grosse, dit l’ange, Vous aurez un fils sans mari ; Pardonnez si je vous dérange. Cette façon d’annoncer
C’est permis de fumer. Gare L’Écuyère de Médrano quand tu fumes ton cigare Saute à travers les anneaux.
Hélas ! vais-je à présent me plain… Et voir, près de Charon, La mort, indifférente à telles cir… Qui la décideront. Elle vit. Elle attend. Ce n’est p…
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…
La minute m’a dit : « Presse-moi… Tu ne sais aujourd’hui si tu seras… Ainsi prends tout le suc qui m’enf… Ne tourne pas la tête et ne passe… Vis-moi !...dans un instant, je se…
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Soyons courageux, soyons fous, Jamais aucune économie Jamais se demander jusqu’où, La sagesse est une momie.
Il allait en silence au milieu des… Il feignait d’être sourd à l’unani… Il souriait avec des lèvres défris… Un bandeau noir ceignait les boucl… Et je lui demandai : « Jeune homm…
Je me dis que je dois me taire Qu’il ne faut pas d’amour t’accabl… Hélas, empêche-t-on de sortir de l… Les marbres grecs et les blés ?
Le manège à vapeur regarde s’en al… Interminablement le paquebot “ To… Il donnerait tout l’or de sa gloir… Pour défaire sur l’eau son voyage…
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…