#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Un menteur ne sait plus ce qu’il a… Rire, il ne l’ose pas—si le rire l… Il craint de s’endormir près de ce… Sa paresse l’oblige à travailler l… J’ai connu des menteurs qui se ven…
Tes mains jonchant les draps étaie… Mon automne aimait ton été. Le vent du souvenir faisait claque… Des lieux où nous avons été. Je te laissais mentir ton sommeil…
Hélas ! vais-je à présent me plain… Et voir, près de Charon, La mort, indifférente à telles cir… Qui la décideront. Elle vit. Elle attend. Ce n’est p…
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Horizontalement tombe Le marcheur qui ne s’en doute Droite est la mauvaise route De la naissance à la tombe. Il n’est d’aube ni de soir
Je dis : tu n’auras qu’un poème Et voilà que j’en glisse deux L’un pour te répéter : « Je t’aim… L’autre : « Je suis ton amoureux…
Avec en lui déjà l’affreux désir q… Pour avoir découvert la tendre ago… Cachant ses traits fanés sous le m… Sous le mensonge exquis de sa rian… Pour avoir respiré, sur ses canaux…
L’amour est une science Et de toi j’ai tout appris Et j’écoute ton silence Que je n’avais pas compris. T’ai-je mal aimé cher ange !
Il est des cris plaintifs qui se t… Mordus entre les dents, avortés su… Des fards astucieux masquant l’ard… Et des corps moribonds sous la fra… La douleur nous fait honte en nous…
Le tour du monde était un bien pau… À côté du voyage où je pars avec t… Chaque jour je t’adore et mieux et… Où tu vis c’est mon toit.
Anna vous m’aimez bien et je vous… Que de choses nous éloignent en ap… Mais si les jeunes gens savaient q… Pour dépolir entre nous la transpa… On vous a tout ôté ; à moi aussi,
Mauvaise compagne, espèce de morte… De quels corridors, De quels corridors pousses-tu la p… Dès que tu t’endors ? Je te vois quitter ta figure close…
Le manège à vapeur regarde s’en al… Interminablement le paquebot “ To… Il donnerait tout l’or de sa gloir… Pour défaire sur l’eau son voyage…
Notre entrelacs d’amour à des lett… Sur un arbre se mélangeant ; Et, sur ce lit, nos corps s’entort… Comme à ton nom le nom de Jean. Croiriez-vous point, ô mer, reconn…
Vieux monde où j’ai vécu tu pars t… Tu disparais hélas Mais je ferme les yeux et retrouve… Peintes sur nos atlas. Un nouveau monde arrive et votera…