Je marchais j’écris des flaques des branches imparfait présent pressant où les moteurs grondent
Il n’y avait qu’un seul, un objet… Travail ton endurance, met un max… Sinon laisse toi glisser, vers cet… Qui ne t’oubliera pas, à Paris ou… Garde les poches pleines, ou tu se…
Le nez dans le trèfle 7 ans a peine Le monde m’appartient Et pourtant Toujours en haleine
La forêt songe, bleue et pâle, Dans un féerique demi-jour. Tout s’y voit spectral, d’aspect s… Par cette nuit d’ambre et d’opale. Là, c’est un cerf blessé qui râle.…
C est la plume de l auteur . C est la rubrique de la gazette . Le chat cerbère .. c est le vieux… Qui as bien rouler sa botte . C est Alain le poète raconteur .
Ramènes la mélodie, déposes brume… Autour du rythme, répands monts et… Reprends ta batterie, qui les dess… Ces notes de symphonie, t’enjolive… Chaque brin de partage, est une fl…
On venait de sortir de l’église ;… Les hommes se groupaient, lents, l… Entrant au cimetière, aux derniers… Les femmes rabattaient leur grand… Deux vieux—large chapeau, veste co…
Ma demeure est bâtie au bord de la… Les grèbes, les pétrels et les bla… Entrecoupent leurs vols parmi ses… Dont les flèches de fer criaillent… Du côté de la mer, le lichen la re…
Je veux vous peindre, ô belle ench… Dans un fauteuil ouvrant ses bras… Comme Diane, en jeune chasseresse… L’arc à la main et les cheveux pou… Sur les rougeurs d’un ciel aux feu…
Sonnet. C’était un vrai petit voyou, Elle venait on ne sait d’où, Moi, je l’aimais comme une bête. Oh ! la jeunesse, quelle fête.
Maintenant qu’au plafond décli… Que l’absence dans sa paume rec… Et que tout sombre... Maintenant qu’un secret nous un… Une jeune femme, comme la grand…
Un chat sauvage et grand chasseur S’établit, pour faire bombance, Dans le parc d’un jeune seigneur Où lapins et perdrix étaient en ab… Là, ce nouveau Nembrod, la nuit c…
Amours de ma jeune vie S’éveillant dans cette vie nouvell… C’est une jeunesse heureuse qui se… Semée par des sentiments joyeux, Abondée par quelques éclairs amour…
Fable XIV, Livre III. Le zèbre débarque en Europe ; Les ânes d’admirer, et les savants… « Le beau cheval que celui-ci ! » Disent nos connaisseurs qu’éblouit…
À Robert Caze. L’aboiement des chiens dans la nui… Fait songer les âmes qui pleurent, Qui frissonnent et qui se meurent, À bout de souffrance et d’ennui.
L’Automne Dans les bois où loge les grands c… Se répand ici-bas une curieuse atm… Aujourd’hui je remarque une nature… Qui semble se ternir dans une fati…
Tout est si noir. Submergée par cette maladie mortelle appelée « tourments », la vie n’a que pour but d’être souffrance. Comparable à une nuit sombre d’hiver qui se prolonge même lorsqu...
Refrain Ah ! Les cousins, les cousines Ah ! Quelle joie les anime Quel bien-être on devine Sur leur visage qui sourit
En plein air, sur l’estrade en pla… Aux sons du cuivre aigu faussant l… Pendant que les buveurs trinquent… L’hercule fait saillir les muscles… Ses deux bras sont croisés dans le…
Dans l’obscurité, les corbeaux, se nourrissent, de mon âme. Dans un temps,
La musique réjouit le cœur des humains, dans un climat d’euphorie, c’est une détente salutaire pour les malades dépressifs. Un être humain entendant une berceuse de son enfance, cela lu...
Sur les gazons verts, le soir nous… Au clair de la lune, au bruit des… Tout brûlant d’amour, le Ciel dit… Je ne puis descendre et baiser tes… Ni dans tes beaux yeux, par le soi…
Comme un globe de feu qui jaillit… Il est enfin sorti des fentes de l… Ce bronze qui dormait dans son mou… L’artiste, en détachant son argile… A lui-même admiré l’étendue et la…
Ô sourire alangui émerveillant mon… tu combles mon désir ignorant l’in… et ton aspect charmant sans aucun…
Alors que finissait la journée est… Nous marchions, toi pendue à mon b… À ces mondes lointains dont je par… Aussi regardais-tu chaque étoile e… Au retour, à l’endroit où la côte…
Il est une fontaine heureuse, dont… Dans un bassin plus blanc qu’une a… Cette eau limpide, avec de clairs… Sur les dauphins de marbre éclate… Elle rend aux vieillards la jeunes…
Sourires, fleurs, baisers, essence… Après de si fades ennuis, Après de si ternes absences, Parfumez le vent de mes nuits ! Illuminez ma fantaisie,
Quand de la vie essayant le voyage… L’enfant sourit à son naissant des… La Mort est là ; comme un léger n… Elle apparaît à l’horizon lointain… Sans redouter cette ombre fugitive…
Amie précieuse C’est aujourd’hui que je réalise c… Ce que me donne l’Éternel qui fait… Ces nombreux privilèges qu’il m’of… Toujours un oeil sur moi, il veill…
Dans la clarté renaissante et légè… Qui bondissait par les airs radieu… Ses yeux charmants avaient plus de… Plus de rayons, plus d’azur que le… Il y tenait plus d’aube et plus d’…
Ce refuge dans ta main Dans ce combat de tout les instant… Je lutte encore et encore quel qu’… Fatigué, abandonné et perdant tout… Je n’avais qu’un désir, sortir de…
Ni nuage, ni vent, au ciel que ton… Vaste sérénité ! Pourtant, si le… L’onde veille : là-bas, sous un ca… Ici, sur les cailloux, elle gazoui… Comme elle y berce bien cette felo…
Quand Orphée autrefois, frappé pa… Près de l’Hèbre tomba, sur les va… On vit longtemps encor sa lyre sur… Le fleuve au loin chantait sous le… Le gai zéphyr s’émut ; ses ailes a…
Je suis devin, mes chers amis ; L’avenir qui nous est promis Se découvre à mon art subtil. Ainsi soit– il ! Plus de poète adulateur ;
Elle se compose de plusieurs engagements, de croyances, de vénération envers un Dieu antique, avec un culte à certains Dieux vénérés par les premiers humains. Entre autres : les plantes...
Fable XII, Livre I. Un médisant accusait les échos. Un médisant !....... Je le ménage…
C’est l’heure où la fatigue au som… Où la brise fraîchit avec l’ombre… Je m’en vais seul et triste en reg… Hélas ! de tout le jour je n’ai pa… Je regarde le ciel pour découvrir…
Dans un de ces faubourgs où vont d… De chiffonniers se battre et baise… Un vieux linge sentant la peau des… Et lapider les chats dans l’amour… J’allais comme eux : mon âme errai…
Bonjour, n’est pas peur des mots… Ceux .. qui se sont envolés du cav… C’ est l angoisse aujourd’hui ..… C’est le bouleversement historique… Le poète Alain s est fait sodomis…
Joh Mera Hissa Woh Apne Saath L… Ussey Woh Apna Mukammal Jahan K… Yuh Toh Mujhse Mujhiko Churake… Khushnaseeb Hain Woh Jinse Woh… Yuh Toh Phir Mukammal Apna Jaha…
À J. Keck. Ma belle amie est morte, Et voilà qu’on la porte En terre, ce matin, En souliers de satin.
A moi ma raison qui, ne coule pas… A quoi bon s’élever, tendre vers l… Le sport est un moyen, et non tout… Je le prends comme destin, comme l… Mourir sur un tapis, pas dans une…
Nous nous rencontrerons Quelquefois par la ville, Et nous cous salûrons D’une façon civile. Un souvenir tout bas
Il est aux bords déserts du canal… Une lisière étroite aux pentes du… Un rivage sans nom, d’aspect morne… Dont les vaisseaux en mer n’osent… Comme un rideau tendu la montagne…
La vie humaine est entourée d’obje… Pour la naissance d’un bébé, son p… Après plusieurs mois environ, il s… A un an peut-être, il prendra dans… Après, l’âge avance doucement pour…
L’infime infini de ton sourire, L’éternel battement d’ailes de tes… Sont autant de vestiges qui s’écho… Sur l’oreiller vide que tu as lais… Dans la chambre moite et blême.
Ma chambre est un univers Mon plafond un ciel ouvert, Mes draps gris sont une dune Où le vide fait fortune. Août s’annonce mais l’hiver
Fable X, Livre II. Naguère un ours encor sauvage, Ours sans esprit et sans usage, Mais non pas sans ambition, Disait : « Je veux aller à la cou…
Fable VI, Livre I. On nous raconte que Léda, Par le diable autrefois tentée, D’un amant à l’aile argentée, Un beau matin, s’accommoda.
Tu ne reverras plus Les vaches dans les prés C’était toute la vie Ta vie qui est passée Avec leurs gros yeux ronds
À qui vierge me gardera : La richesse. À qui bien parler me fera : La sagesse. À quiconque me violera :
J’ai une fantaisie Je dirais même un goût C’est qu’en te dévorant, Je casse tout, Je décortique tout,
Sous cette toile jaune, et rouge d… Un éléphant prend vie, à faire ce… Les rires du tour de salle, imiten… Les clowns qui s’en plafonnent, de… Font rêver les enfants, de rires i…
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
Tant de chiffres passent, certains… Ils sont au cœur d’ la vague, cell… Ils construisent un nuage, celui d… Ce n est pas une image, mais mon i… C est un bouquet de fleur, livré e…
Et puis arrive la douceur d’un dim… Alors que nos âmes s’éveillent dou… J’effleure ton corps J’effleure ton visage J’effleure tes lèvres
De ce vieux vin que je révère Cherchez un flacon dans ce coin. Çà, qu’on le débouche avec soin, Et qu’on emplisse mon grand verre. Chantons Io Paean !
J’ai ouver mon cœur fragile et sin… Sous la mer incertaine remplie de… Je t’ai donné mes mots, mes reve,… Mais toi tu t’échappes, tu fuit ma… Tu disais l’on n’avait rien a se r…
A la veille du sommeil, tu gardes… L’inverse d’un fonctionnaire, tu é… Quand le village s’endort, tu tues… Pourquoi une telle trêve, tu as la… En sage tu vois au loin, les cents…
Fable XVI, Livre I. On admirait l’oiseau de Jupiter, Qui déployant ses vastes ailes, Aussi rapide que l’éclair, Remontait vers son maître aux voût…