Rétines lumière éblouissante rayons perçants accablé de chaleur parfum des étaient Pupilles
J’aime les vieux manoirs, ruines f… Qui des rocs escarpés dominent les… J’aime du haut des tours de leur s… A voir se dérouler un immense hori… J’aime, de leur chapelle en parcou…
C est la colonne de Sunday . C est le texte de quelques pages… Le récit sur le journal de Rémy… C est les notes fracassantes et le… Le poète Alain s est fait enculé…
À nos enfants, à nos élèves, À nos amis, à tous pécheurs, Nous voudrions, fougueux prêcheurs… Donner les vertus de nos rêves ; Mais en vain notre voix tonna,
Blokusine est ton gris sans chemin de traverse Des panneaux qu’on écorce de bois et vitres sur la mer Jetée en veux-tu des mâts
Si banals soyez-vous, maisons, meu… Engins accoutumés, nécessaires out… Objets de formes innombrables, Que de pensée et de sueurs vous re… Que d’hommes ont connu des moments…
Ô belle sérieuse, Dans l’œil ou dans le front, Ni la brune oublieuse, Ni la blonde rieuse N’ont ton charme profond.
Je vous dis un soir une chose Dont vous fûtes peut-être cause : J’ai découvert un nouveau Dieu. « Nous irons le prêcher ensemble »… Me répondîtes-vous ; j’en tremble
Je ne crains pas les coups du sort… Je ne crains rien, ni les supplice… Ni la dent du serpent qui mord, Ni le poison dans les calices, Ni les voleurs qui fuient le jour,
(Au Révérend Père Delidel de la… Jésus, sur son traité de la Théol… Toi qui nous apprends de la Grâce Quelle est la force et la douceur, Comme elle descend dans un cœur,
« Donner, donner ! vite appauvrit… Gardons-nous de toute largesse ; S’enrichir, voilà la sagesse Gagner pour soi, voilà l’esprit !… —Vous le croyez, troupe gloutonne,
Ô grand charmeur du siècle et des… Pourquoi te reléguer dans ces pâle… Sous l’oblique faux jour de ces ét… Pour les morts d’autrefois classiq… Pourquoi donc t’exiler dans ce fro…
Vierges du Pinde, où cachez-vous… L’ai-je égarée aux bosquets que j’… De son destin ne sauriez-vous m’in… M’est-elle donc enlevée à jamais ? Pour la trouver, de la double coll…
Ils sont fiers ceux-là !... comme… C’est à la don-juan qu’ils vous fo… Ils ne sentent pas bon, mais ils f… Valeureux vauriens, crétins cheval… Prenant sans demander – toujours s…
Vous, qui vivez heureux, vous ne s… L’empire que sur moi ces songes po… Mais lorsque je tombais de leur en… A la réalité qui toujours les déme… Si je voulais, luttant contre ma d…
J’aime à changer de cieux, de clim… Oiseau d’une saison, je fuis avec… Et mon vol inconstant va du rivage… Au rivage enchanté. Mais qu’à jamais le vent bien loin…
Pourquoi vous asservir au ridicule… De ces mots sans pensée idiome moq… Qui, comme une beauté qui farde so… Eblouit un instant, et n’émeut pas… Laissez tout ce clinquant à de pet…
Ô monde ! ô vie ! ô temps ! fantôm… Qui lassez, à la fin, mes pas irré… Quand reviendront ces jours où vos… Vos regards caressants, vos promes… Jamais, ô jamais plus !
Eh bien ! puisque l’impatience De revoir vos climats chéris, Ainsi qu’à l’amitié vous ravit à l… Partez : les nobles Potockis, Dans l’aimable François, digne sa…
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Pour l’inviter à revenir de Prove… 1605. Quoi donc ! grande princesse, en l… Et que même le ciel est contraint… Vous avez résolu de nous voir deme…
Treize ans ! et sur ton front aucu… Ne viendra, pauvre enfant, invoque… Treize ans ! et dans ce jour nul r… Ne fera d’allégresse épanouir ton… Orpheline, c’est là le nom dont tu…
Il est, bien loin de l’Italie, Un lieu cher à mon souvenir ; C’est là qu’a commencé ma vie Et c’est là que je veux mourir. Petit sur la carte du monde,
Le marbre le plus pur créé par Mi… Est un jeune guerrier triste et be… L’artiste l’a sculpté languissamme… A l’angle du tombeau de l’un des… Il rêve, il est empreint d’une vag…
C est le champoésies .. c est les… Du moulin de l Escarelle .. le p… C est les cahiers bleus .. sur le… C est les dizaines de nuances ..… Des fragments colorés pour trouver…
Mon sexe, dites-vous, déshérité de… Ne sait juger ni vers ni prose. Un style clair et pur, obscur ou v… Du bon ou du mauvais : c’est pour… Jamais de l’analyse il ne prit le…
Charmante lyre, Où l’amitié grava mon nom, Dieux ! Quel transport divin m’in… Oui, tu m’apportes d’Apollon L’heureux délire.
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
À Joseph Bertrand. Quand un ardent soleil s’éleva de… Tous les glorieux morts n’étaient… Habits galonnés d’or et capotes de… S’étalaient par lambeaux richement…
Quand il se fait bien tard, et que… Je promène incertain ma fiévreuse… Tâchant de ramener le sommeil qui… Oh ! pourquoi suis-je donc fatigué… Lorsque vers cet asile où tranquil…
Ses tâches marron dispersé sur cet… Ces grincements atourdisan. Ces mains désespéré. Ses son firmes. Ses respiration accéléré.
Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…
Dans le parc de Thalcy, j’ai dres… Sur qui le temps faucheur ni l’enn… Des filles de la nuit jamais n’aur… Et non plus que mes vers n’éteindr… J’ai engravé dessus deux chiffres…
J’ai connu, Madame, une Dame, Moi vilain petit paysan, Aussi grande de cœur et d’âme Que... la plus grande et... fine l… Et... pleine d’esprit... jugez-en.
Sur un livre de fleurs qu’il avait… 1602 ou 1603. Quelques louanges nonpareilles Qu’ait Apelle encore aujourd’hui, Cet ouvrage plein de merveilles
Gallus Chanteurs mélodieux, habitants des… Le ciel pâlit, Vénus à l’horizon… Cynthia vous écoute, enivrez son o… Versez-lui le flot d’or de vos bel…
Aux bords du Bendemir est un berc… Que jusqu’au dernier jour on me ve… Le chant du rossignol, dans ses fl… Charme les flots du Bendemir. J’aimais à m’y bercer d’un songe f…
Qui est ami du cœur est ami de la… Ce dira quelque honnête et hardi d… Qui de l’argent d’autrui libéral d… Lui-même à l’hôpital s’en va toute… Mais songe là-dessus qu’il n’est s…
L’aile ternie et de rosée humide, Sylphe inconnu, parmi les fleurs c… Sous une feuille, invisible et tim… J’aime à rester caché. Le vent du soir me berce dans les…
Qui ! Moi, moi l’envier, la cherc… Moi, d’un immense écho flatter ma… Non, je n’y prétends point, mais j… Et je m’applaudis de mon choix ! Porter dans ses travaux la flamme…