c’est un évêque qui est saoul et qui met sa crosse en il a sur la tête cette coiffure qu’on appelle mitre des préservatifs... des bouchons de liège... des mégots plaçant ensuite deux do...
Celles qui sont des fleurs légères… Figurines d’or et beautés toutes m… Où s’irise une faible lune... Les… Mélodieuses fuir dans le bois écla… De mauves et d’iris et de nocturne…
Au milieu des flacons, des étoffes… Et des meubles voluptueux, Des marbres, des tableaux, des rob… Qui traînent à plis somptueux, Dans une chambre tiède où, comme e…
II est amer et doux, pendant les… D’écouter, près du feu qui palpite… Les souvenirs lointains lentement… Au bruit des carillons qui chanten… Bienheureuse la cloche au gosier v…
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Vous êtes un beau ciel d’automne,… Mais la tristesse en moi monte com… Et laisse, en refluant, sur ma lèv… Le souvenir cuisant de son limon a… —Ta main se glisse en vain sur mon…
Je suis comme le roi d’un pays plu… Riche, mais impuissant, jeune et p… Qui, de ses précepteurs méprisant… S’ennuie avec ses chiens comme ave… Rien ne peut l’égayer, ni gibier,…
Une plume ou un crayon courant sur… raconte le paysage et le paysage prête l’oreille parce que le voyageur lui plaît et il écoute le langage
A la fin de la noce William Blake en fera cadeau au boucher Il oubliera défunt son perroquet Et s’en retournera tuer les bêtes Avec un gros maillet Nous ne sommes pas à un oiseau près P...
Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! Adrien ne fais pas la mauvaise têt… Reviens ! La boule de neige
Quoique tes sourcils méchants Te donnent un air étrange Qui n’est pas celui d’un ange, Sorcière aux yeux alléchants, Je t’adore, ô ma frivole,
Ô toi, le plus savant et le plus b… Dieu trahi par le sort et privé de… Ô Satan, prends pitié de ma longue… Ô Prince de l’exil, à qui l’on a f… Et qui, vaincu, toujours te redres…
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Sous le ciel bleu de Méthylène si grave était le chant des grives Et quand tous deux nous gravission… de l’escalier de la maison
Ainsi, mon cher, tu t’en reviens Du pays dont je me souviens Comme d’un rêve, De ces beaux lieux où l’oranger Naquit pour nous dédommager
Un Vieillard sur son Ane aperçut… Un Pré plein d’herbe et fleurissa… Il y lâche sa bête, et le Grison… Au travers de l’herbe menue, Se vautrant, grattant, et frottant…
On dirait ton regard d’une vapeur… Ton oeil mystérieux (est-il bleu,… Alternativement tendre, rêveur, cr… Réfléchit l’indolence et la pâleur… Tu rappelles ces jours blancs, tiè…
J’aime le souvenir de ces époques… Dont Phoebus se plaisait à dorer… Alors l’homme et la femme en leur… Jouissaient sans mensonge et sans… Et, le ciel amoureux leur caressan…
Notre Père qui êtes aux cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terr… Qui est quelquefois si jolie
De sa profonde mère, encor froide… Voici qu’au seuil battu de tempête… Amèrement vomie au soleil par la m… Se délivre des diamants de la tour… Son sourire se forme, et suit sur…
Morne esprit, autrefois amoureux d… L’Espoir, dont l’éperon attisait… Ne veut plus t’enfourcher ! Couch… Vieux cheval dont le pied à chaque… Résigne-toi, mon coeur ; dors ton…
L’effort humain n’est pas ce beau jeune homme sour… debout sur sa jambe de plâtre ou de pierre et donnant grâce aux puérils artif…
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
Tous les jours, écartant les rosea… Près du fleuve où j’habite un pêch… —Car sous l’onde il a vu glisser d… Et reste là, rêveur, du matin jusq… L’air frémit, l’eau soupire et sem…
J’ai mis mon képi dans la cage et je suis sorti avec l’oiseau sur… Alors on ne salue plus a demandé le commandant
Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit…
Idole de ma vie, Mon tourment, mon plaisir, Dis-moi si ton envie S’accorde à mon désir ? Comme je t’aime en mes beaux jours…
Il me semble parfois que mon sang… Ainsi qu’une fontaine aux rythmiqu… Je l’entends bien qui coule avec u… Mais je me tâte en vain pour trouv… À travers la cité, comme dans un c…
Dans un square sur un banc Il y a un homme qui vous appelle q… Il a des binocles un vieux costume… Il fume un petit ninas il eet assi… Et il vous appelle quand on passe
C’est la Mort qui console, hélas… C’est le but de la vie, et c’est l… Qui, comme un élixir, nous monte e… Et nous donne le coeur de marcher… À travers la tempête, et la neige,…
Une horloge sonne douze coups Qui sont ceux de minuit Adorable soleil des enfants endorm… Dans une ménagerie A la fête de
Voici le soir charmant, ami du cri… II vient comme un complice, à pas… Se ferme lentement comme une grand… Et l’homme impatient se change en… Ô soir, aimable soir, désiré par c…
Dans une terre grasse et pleine d’… Je veux creuser moi-même une fosse… Où je puisse à loisir étaler mes v… Et dormir dans l’oubli comme un re… Je hais les testaments et je hais…
Quand Don Juan descendit vers l’o… Et lorsqu’il eut donné son obole à… Un sombre mendiant, l’oeil fier co… D’un bras vengeur et fort saisit c… Montrant leurs seins pendants et l…
Ami, vous revenez d’un de ces long… Qui nous font vieillir vite, et no… Au sortir du berceau. De tous les océans votre course a… Hélas ! et vous feriez une ceintur…
Chute superbe, fin si douce, Oubli des luttes, quel délice Que d’étendre à même la mousse Après la danse, le corps lisse ! Jamais une telle lueur
Viens-tu du ciel profond ou sors-t… O Beauté ? ton regard, infernal e… Verse confusément le bienfait et l… Et l’on peut pour cela te comparer… Tu contiens dans ton oeil le couch…
Entendez-vous Entendez-vous gens du Viet-Nam entendez-vous dans vos c… Oui nous les entendons Ces êtres inférieurs
Que le soleil est beau quand tout… Comme une explosion nous lançant s… —Bienheureux celui-là qui peut ave… Saluer son coucher plus glorieux q… Je me souviens !... J’ai vu tout,…
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Il a fait don à la France de sa personne et n’a pas hésité à donner aux fli… Cité des enfants voués au noir désespér…
Sur le visage du soir la main du rêv « a doucement posé… nuit et sur un vieux cadran solair… Tout près dans la même lueur une inscription…
Beaucoup d’eau a passé sous les po… et puis aussi énormément de sang Mais aux pieds de l’amour coule un grand ruisseau blanc Et dans les jardins de la lune
Travaillez, prenez de la peine : C’est le fonds qui manque le moins… Un riche laboureur, sentant sa mor… Fit venir ses enfants, leur parla… « Gardez-vous, leur dit-il, de ven…
Le long du vieux faubourg, où pend… Les persiennes, abri des secrètes… Quand le soleil cruel frappe à tra… Sur la ville et les champs, sur le… Je vais m’exercer seul à ma fantas…
Contrerime XIV. Le coucou chante au bois qui dort. L’aurore est rouge encore, Et le vieux paon qu’Iris décore Jette au loin son cri d’or.
Qu’une place soit faite à celui qu… Personnage ayant froid et privé de… Personnage tenté par le bruit d’un… Par le seuil éclairé d’une seule m… Et s’il reste recru d’angoisse et…
Moi aussi comme les peintres j’ai mes modèles Un jour et c’est déjà hier
Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise
Au-dessus des étangs, au-dessus de… Des montagnes, des bois, des nuage… Par delà le soleil, par delà les é… Par delà les confins des sphères é… Mon esprit, tu te meus avec agilit…
C’était, dans la nuit brune, Sur le clocher jauni, La lune Comme un point sur un i. Lune, quel esprit sombre
Qui donc a baissé cet épouvantable rideau de poussière et de fer sur cette rue cette rue autrefois si heureuse et si fière d’être rue comme une fille heureuse et fière d’être nue. Pauvr...
Combien faut-il de fois secouer me… Et baiser ton front bas, morne car… Pour piquer dans le but, de mystiq… Combien, ô mon carquois, perdre de… Nous userons notre âme en de subti…
Je t’adore à l’égal de la voûte no… Ô vase de tristesse, ô grande taci… Et t’aime d’autant plus, belle, qu… Et que tu me parais, ornement de m… Plus ironiquement accumuler les li…
La rue assourdissante autour de mo… Longue, mince, en grand deuil, dou… Une femme passa, d’une main fastue… Soulevant, balançant le feston et… Agile et noble, avec sa jambe de s…
C’est pas seulement ma voix qui ch… C’est l’autre voix, une foule de v… Voix d’aujourd’hui ou d’autrefois Des voix marrantes, ensoleillées Désespérées, émerveillées
Ah ! Jeannot je chante, je chante Pour t’avoir le même demain Car la vie a l’air trop méchante Sans la caresse de ta main.
Été, roche d’air pur, et toi, arde… Ô mer ! Éparpillée en mille mouche… Les touffes d’une chair fraîche co… Et jusque dans la bouche où bourdo… Et toi, maison brûlante, Espace,…
Compagnons des mauvais jours Je vous souhaite une bonne nuit Et je m’en vais. La recette a été mauvaise C’est de ma faute
Chaque enfant qu’on enseigne est u… Quatre-vingt-dix voleurs sur cent… Ne sont jamais allés à l’école une… Et ne savent pas lire, et signent… C’est dans cette ombre-là qu’ils o…