Vous en souvenez-vous de ces heure… L’une à côté de l’autre, où toutes… Sans crainte, sans soupçon, s’écha… L’amitié, disions-nous, est une do… Heureux qui trouve un cœur où son…
Chrétien, la cloche t’appelle, Viens donc, viens donc, Viens prier à la chapelle, Viens chercher le saint pardon. C’est pour l’Église romaine
Agile, adroit,—cheveux livrés aux… L’aîné de la famille, enfant de qu… Oublieux de l’école et des heures… Grimpe à cheval dans l’arbre aux l… Où pendent les cerises.
Vous voulez à tout prix la mélanco… Votre rire fait peur, il donne le… Celui du désespoir, celui de la fo… N’ont pas un plus étrange son. Quel sera votre sort ? L’horizon…
La royale Damas, sous les cieux c… Dans la plaine embaumée et qui som… Parmi les caroubiers, les jasmins… Monte comme un grand lys empli de… L’orient se dilate et pleut en ger…
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Le désert ! le désert dans son imm… Avec sa grande voix, sa sauvage be… Ses pics touchant les deux, ses sa… Cataractes roulant sous des forêts… Ses mille bruits, ses cris, ses so…
Quand la mer me prend le cœur Un jour d’automne à Honfleur Je suis celui qui disparaît Comme un crabe qui s’cache sous le… La mer qui perturbe nos habitudes
Ursin, quand j’oy nommer de ces vi… De ces beaux noms connus de l’Ind… Non les grands seulement, mais les… Voire ceux-là qui ont les ampoules… Il me fâche d’ouïr appeler ces vil…
Je t’aime à n’en plus pouvoir pens… Je t’aime à n’en plus être entière… Je t’aime à n’en plus pouvoir dorm… Je t’aime à n’en plus savoir là qu… Je t’aime à en perdre la notion du…
Le premier amour, c’est une flamme… Un éclat de lumière dans un monde… On le porte comme une promesse dou… Un rêve d’étoiles, un souffle qui… C’est un cœur qui bat plus fort qu…
Chaque fois, ta chevelure de lumiè… M’éblouit d’une lueur crépusculair… Illumine mon esprit d’une joie ple… Et transperce les ténèbres de mes… Chaque fois, ta chevelure de lumiè…
C’est la neige tourbillonnante Qui voltige dans l’air, mousseline… La neige qui s’arma, dans l’extase… D’une beauté trop loin de la vie e… La neige pleine de caresses,
Ce soir après la pluie est doux ;… Si doux qu’on en voudrait pleurer,… Qu’on fuit tout défaillant la péno… C’est un soir de septembre un peu… De dimanche, et c’est l’heure ou c…
Quand je célèbre un si beau jour, D’aucune Muse mon amour N’implore le caprice ; Pour faire un couplet bien tourné, Maman, ne m’as-tu pas donné
Sur un groupe du Statuaire E.… L’épée en main, le pied sur la rou… Douce à l’homme futur, terrible au… Elle vole, les yeux dardés droit d… Dans sa grâce, sa force et sa séré…
Va ton chemin, mon pauvre cœur. Dans le soir rempli de fumées ; Toutes les maisons sont fermées, Suis la lune, mon pauvre cœur. Ainsi je cours après la lune
Aux bords du Bendemir est un berc… Que jusqu’au dernier jour on me ve… Le chant du rossignol, dans ses fl… Charme les flots du Bendemir. J’aimais à m’y bercer d’un songe f…
Sonnet LXXV. Gordes, que Du Bellay aime plus q… Vois comme la nature, ainsi que du… Nous a faits différents de mœurs e… Et ce qui plaît à l’un, à l’autre…
À la Reine Marie de Médicis. (Pendant sa régence.) 1611. Objet divin des âmes et des yeux, Reine, le chef-d’œuvre des cieux,
Sonnet. Ce qui m’excite à t’aimer, ô mon… Ce n’est pas l’heureux ciel que mo… Ce qui m’excite à t’épargner l’off… Ce n’est pas l’enfer sombre et l’h…
Cette outre en peau de chèvre, ô b… De l’esprit éloquent des vignes qu… Se tordant sur les flots, noire, d… Étendit au puissant soleil qui les… Théra ne s’orne plus de myrtes ni…
Autrefois on vouait un saint culte… Quand sur le sol tremblaient les a… Un seul restait debout au milieu d… L’autel des cheveux blancs. La vieillesse toujours, et dans R…
Merci, gentilles Jouvencelles, M’avez reçu dans le châtel. Soyez tendres autant que belles, Saurez les chants du ménestrel ; Les retins de mon noble maître,
Au pied des monts voici ma colline… Mes figuiers, ma maison, Le vallon toujours vert et la mer… Qui m’ouvre l’horizon. Pour la première fois sur cette he…
Emma d’un clair ruisseau regardait… Et n’y voyait pas ses attraits ; Près d’elle il murmurait sous un o… Sans qu’elle entendît son murmure. Une douce pâleur à ses touchants a…
Quand l’homme approche enfin des s… Va plonger dans votre ombre inerte… Debout sur la hauteur aveuglément… Les premiers jours vécus éblouisse… Tandis que la nuit monte et débord…
Voici venu le froid radieux de sep… Le vent voudrait entrer et jouer d… Mais la maison a l’air sévère, ce… Et le laisse dehors qui sanglote a… Comme toutes les voix de l’été se…
Morte ! oh ! serait-il vrai ? mort… À son calme avenir quel mal l’a do… Qui donc l’a pu frapper avant qu’e… Dans la fraîche candeur de ses pre… Quand elle n’était pas au tiers de…
Depuis que de mon Dieu la bonté p… Baigna mon cœur enfant de tendress… Alluma le désir au fond de ma prun… Et me ceignit le front de pudiques… Et qu’il me dit d’aller vers les f…
Je te reviens, ô paroisse natale. Patrie intime où mon coeur est res… Avant d’entrer dans la nuit glacia… Je viens frapper à ton seuil encha… Pays d’amour, en vain j’ai fait la…
Une rencontre magique entourée par la mère Afrique. Un son mélodieux provenant
Nous revenions d’un long voyage, Las de la mer et las du ciel. Le banc d’azur du cap Fréhel Fut salué par l’équipage. Bientôt nous vîmes s’élargir
À Ernest Chesneau. J’aime à suivre le bord des petite… Qui cheminent sans bruit dans les… À leur fil d’argent clair viennent… Et tournoyer le vol des jaunes lav…
« Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... » Ainsi disait un enfant chérubin : « Madame et souveraine, Que mon cœur a de peine... »
(Sur une statue d’enfant.) rightDivini opus Alcimedontù.—Vir… L’enfant ayant aperçu (À l’insu De sa mère, à peine absente)
Conservez précieusement L’imagination fleurie Et la bonne plaisanterie, Dont vous possédez l’agrément, Au défaut du tempérament,
Ô toi dont la pénible enfance S’écoule au milieu des douleurs, Toi, dont la fragile existence M’a déjà coûté tant de pleurs ; Ô ! De ta mère,
Ce qu’il nous faut, à nous, pauvre… Tribu rebelle à tout joug détesté, C’est une lyre avec des chansonnet… C’est le soleil avec la liberté. Alors qu’on voit tant de larmes am…
Tant pis pour les beaux yeux que l… Pour tous les indolents dont la nu… Ils ne connaîtront pas, si beau qu… Ce spectacle enchanté du matin sur… Lumière, azur, fraîcheur ! La mer…
J’aurai trouvé l’apaisement A me fondre avec le murmure Et le rêve de la nature Dans son musical flottement ; A mourir comme fait la brise
Chanson. On entend au loin la chanson des m… Ô ménétrier ! prends ton violon. Les gais rossignols égrènent des p… Quel beau soir ! Dansez, filles d…
La villa, qui de haut regarde la v… Par le rideau des bois est à demi… Autour d’elle, un massif de fleurs… Et des conques de marbre où murmur… En face, un vert gazon qui, d’une…
x<… Aucune gloire désormais Ne vous sera donc étrangère ? Et vous savez faire la paix Comme vous avez fait la guerre !
À Etienne Clais. Comme un orgue lointain sur une im… Bruit du flot qui recouvre un lit… Et toujours recommence et jamais n… La mer, la vaste mer se déroulait…
Alors que sur les monts l’ombre s’… Des jours qui ne sont plus s’éveil… Le temps fuit plus rapide, il entr… Le cortège léger des heures de la… Un songe consolant rend au cœur so…
La lune, dites-nous si c’est votre… Ô lune cajoleuse ! Que les hommes se plient au gré de… Comme la mer houleuse, Est-ce votre vouloir que ceux qui…
Ce que l’on voit dans le temps où… Ne peut manquer d’attrister le reg… Tels nains grandis pensent être de… Et tout est faux en ce siècle bâta… La courtisane, après la quarantain…
Vois, moi j’ai les yeux crevés Par tous les miroirs brisés Les images du passé Et je danse dans l’arène C’est pas la gloire qui m’a fait
Lui Sa main Son corps Son coeur Ses lèvres
Dans la serre vitrée où de rigides… Filles d’une jeune île et d’un loi… Sous un ciel toujours gris, sommei… Dressent leurs dards aigus et leur… Lui, tremblant, secoué par la fièv…
Dompteur à peine né, qui tuais dan… Les Dragons de la Nuit ! Cœur-de… Qui perças l’Hydre antique au sou… Dans la livide horreur des brumes… Et qui, sous ton œil clair, vis ja…
Petit air. Quelconque une solitude Sans le cygne ni le quai Mire sa désuétude Au regard que j’abdiquai
(Pour le premier ballet de monseig… Dauphin, dansé au mois de janvier… Voici de ton État la plus grande m… Ce fils où ta vertu reluit si vive… Approche-toi, mon prince, et vois…
VERT DE MES RACINES Vert... Arbre vert jetant son ombre entre mes mains, verdure de pierres et de montagnes
Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…
(Sur la mort de Mademoiselle Élis… Femme de M. Du Chevreul, Écuyer,… Sonnet. Ne verse point de pleurs sur cette… Passant : ce lit funèbre est un li…
9. Fentanyl mon amour jusques à quand… Les roses sont fleuries les lilas… L’été rebique et toi non pourquoi… Autrefois la nature donnait de quo…
Comte, qui ne fis onc compte de la… Ton Du Bellay n’est plus : ce n’e… Qui dessus un ruisseau d’un dos co… Et n’a plus rien de vif, qu’un pet… Si j’écris quelquefois, je n’écris…
1621. Muses, quand finira cette longue r… De contenter Gaston et a écrire d… Le soin que vous avez de la gloire… Peut-il mieux s’employer qu’à si b…