Les vertus devraient être soeurs, Ainsi que les vices sont frères. Dès que l’un de ceux-ci s’empare d… Tous viennent à la file ; il ne s’… J’entends de ceux qui, n’étant pas…
Mère, quel doux chant me réveille… Minuit ! c’est l’heure où l’on som… Qui peut, pour moi, venir si tard Veiller et chanter à l’écart ? Dors, mon enfant, dors ! c’est un…
Dans DIX ans d’ici seulement, Vous serez un peu moins cruelle. C’est long, à parler franchement. L’amour viendra probablement Donner à l’horloge un coup d’aile.
Ton ombre Ton ombre se dessine à l’ombre de… Et le trouble brouillard à mon esp… Détachant de ton corps une lumière… Éclair étincelant et beauté jumell…
Nos baisers sous la lune sont restés sur le sable Sa souche d’infortune était d’un blond d’érable Le vieil arbre d’argent
Je veux vous peindre, ô belle ench… Dans un fauteuil ouvrant ses bras… Comme Diane, en jeune chasseresse… L’arc à la main et les cheveux pou… Sur les rougeurs d’un ciel aux feu…
Ma France, quand on a nourri son… Du lait de votre Gaule, Quand on a pris sa vie en vous com… La fougère et le saule, Quand on a bien aimé vos forêts et…
Dans ton décor naïf tu m’apparais,… Doux fantôme où revit la romance,… Qui brodais en levant parfois sur… Des cils rêveurs et deux yeux purs… Ta mansarde fleurie ouvre sur l’O…
Je me jette dans le grand vide à c… Impromptue vague pourvue de virule… M’offre à une ville et à ses vertu… En accord parfait avec ma divergen… M’implanter ici de façon inopinée,
J’ai fait ce rêve. J’étais mort. Une voix dit :—Ton âme impie, En un très-misérable fort, Va revivre afin qu’elle expie. Dans le bois qu’octobre jaunit
L’homme d’aujourd’hui Qu’est donc devenu la vie de l’hom… Dans un langage muet une angoisse… Qu’a-t-il fait de sa joie maintena… S’enfermerait-il dans une tristess…
Je t’apporte, buisson de roses fun… Ces vers, à toi déjà lointaine et… Ô douloureuse enfant qui passes da… Moi qui t’ai vue heureuse et belle… Ces vers, comme un bouquet de lys…
Lecteur, prompt à nous consoler, Toi qui sais encore voler, Comme l’abeille, au miel attique, Ton enthousiaste rumeur Encourage le doux rimeur,
Ces lettres d’autrefois j’avais so… ..................................… La brume qui voilait le passé se d… Les lieux et les objets anciens ch… Je redeviens celui qui voyait son…
Entrez ! Entrez je vous en prie, ce n’est qu’un poème, vous savez i… Et ce vieillard là-bas, avachit da… Peut-être une perdrix
J’avance, la nuit vient ; tout le… La gamme chromatique où le jaune d… Se sont changés en noir depuis que… Et la brise s’exerce aux rafales d… Quel trou miraculeux pour bâtir un…
Chanter, mais dans le soir sonore Et pour ses amis seulement, Fuir le bruit qui nous déshonore Et le vil applaudissement ; Brûler, mais conserver sa flamme
Vers cet espace calme où tourne l’… Et qui ne connaît pas le cri des c… Portez-moi, longs soupirs des oise… Que je coule dans l’air avec le ve… Leur essor me soulève en sa fuite…
L’infime infini de ton sourire, L’éternel battement d’ailes de tes… Sont autant de vestiges qui s’écho… Sur l’oreiller vide que tu as lais… Dans la chambre moite et blême.
Ici l’on passe Des jours enchantés ! L’ennui s’efface Aux coeurs attristés Comme la trace
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,
Je remercie l’air pour remplir mes poumons, en laissant le corps dans la calme absolue ; Je remercie le cœur
Neuf heures. On entend la retrait… Les grisettes s’en vont du côté de… Après avoir fini la tâche journali… C’est comme un coup de pied dans u… En waterproof, avec le petit sac d…
Vous me l’avez donné ce complément… Mon Dieu ! ma soif d’aimer est en… Du jour où cet enfant sous ma grot… Tout ce que je rêvais jadis, je l’… Pour la première fois, moi, dont l…
À Mada… Les vers n’arrivent pas au gré de… L’heure du feu sacré ne saurait se… Dites-vous au bouton qu’il devienn… À l’oiseau dans son nid que sa cou…
N’est-ce point sans raison que ces… Etre sur les humains respectés en… Car ils sont demi-dieux, puisque l… Leur louable excrément de substanc… Et si vous adorez un ciboire pour…
Un certain loup, dans la saison Quel les tièdes zéphyrs ont l’herb… Et que les animaux quittent tous l… Pour s’en aller chercher leur vie, Un loup, dis-je, au sortir des rig…
Prison… Lors que ma douleur secrète, D’un cachot aveugle jette Maint soupir empoisonné, Tu m’entends bien sans parole.
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Ô Vénus, dans ta Vénerie, Limier et piqueur à la fois, Valet-de-chiens et d’écurie, J’ai vu l’Hallali, les Abois !... Que Diane aussi me sourie !...