Poèmes divers
#ÉcrivainsFrançais
Ce ruisseau, dont l’onde tremblant… Réfléchit la clarté des cieux, Paraît dans sa course brillante Étinceler de mille feux ; Tandis qu’au fond du lit paisible,
Dans Sainte-Pélagie, Sous ce règne élargie, Où, rêveur et pensif, Je vis captif, Pas une herbe ne pousse
L’hiver a ses plaisirs ; et souven… Quand un peu de soleil jaunit la t… Avec une cousine on sort se promen… —Et ne vous faites pas attendre po… Dit la mère. Et quand on a bien,…
La Treizième revient... C’est enc… Et c’est toujours la seule,—ou c’e… Car es-tu reine, ô toi ! la premiè… Es-tu roi, toi le seul ou le derni… Aimez qui vous aima du berceau dan…
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…
Une amoureuse flamme Consume mes beaux jours ; Ah ! la paix de mon âme A donc fui pour toujours ! Son départ, son absence
Le temps, comme un torrent, roule… Rien n’échappe à l’effort de ses f… En vain quelques vieillards, sur l… Derniers et seuls débris qui reste… Roidissant contre lui leur effort…
Mon doux pays des Espagnes Qui voudrait fuir ton beau ciel, Tes cités et tes montagnes, Et ton printemps éternel ? Ton air pur qui nous enivre,
Belle épousée, J’aime tes pleurs ! C’est la rosée Qui sied aux fleurs. Les belles choses
C’est l’empereur Napoléon, Un nouveau César, nous dit-on, Qui rassembla ses capitaines : —Allez là-bas Jusqu’à ces montagnes hautaines ;
Quand le plaisir brille en tes yeu… Pleins de douceur et d’espérance, Quand le charme de l’existence Embellit tes traits gracieux,— Bien souvent alors je soupire
Je suis le ténébreux,—le veuf,—l’i… Le prince d’Aquitaine à la tour a… Ma seule étoile est morte,—et mon… Porte le Soleil noir de la Mélanc… Dans la nuit du tombeau, toi qui m…
La connais-tu, Dafné, cette ancie… Au pied du sycomore, ou sous les l… Sous l’olivier, le myrthe ou les s… Cette chanson d’amour... qui toujo… Reconnais-tu le Temple, au périst…
Ô toi, dont le pouvoir remplit l’i… Suprême ordonnateur de ces céleste… Dont j’ai voulu jadis, en ma témér… Calculer les rapports et sonder le… Esprit consolateur, reçois du haut…
Petit piqueton de Mareuil, Plus clairet qu’un vin d’Argenteu… Que ta saveur est souveraine ! Les Romains ne t’ont pas compris Lorsqu’habitant l’ancien Paris