Tu veux faire une fugue, courir devant le monde, traverser ton époque, et restes là, posé sur le bout de ton nez,
À Georges Lafenestre. LE PEINTRE. À quoi donc penses-tu, mon pauvre… D’une rêveuse main tenant ton ébau… Reviens-tu de pétrir un masque mor…
Autant que moi malade et veule, as… Quand ton être ployait sous les fi… Quand tu mâchais l’orviétan des ma… Le coupable conseil de l’inutilité… Et doux soleil qui baise un oeil é…
Sonnet. Le vieux, contre la fenêtre, Fauve, en train de ruminer, Soudain s’entend condamner Au profit de ses trois maîtres.
Nous avons vu ce mois d’Avril Engourdi par un froid subtil : Le printemps était en péril. Enfin, tout se métamorphose ! Mai, comme un jeune sein, arrose
A la télévision, le récit vécu par deux régiments français et allemands, au cours de la guerre de 1914-1918, appelée « La Grande Guerre » qui dura quatre années.... C’était la veille de...
À Maurice Chevrier. Fait d’héroïsme et de clémence, Présent toujours au moindre appel, Qui de nous peut dire où commence, Où finit l’amour maternel ?
Les fourriers d’Amours m’ont logé En ung lieu bien à ma plaisance, Dont les mercy de ma puissance, Et m’en tiens à eux obligé. Afin que tost soit abregé
Ancres abandonnées sous des hangar… Porches de suie et d’ombre où s’en… Pignons crasseux, greniers obscurs… Et gouttières régulières, au long… Et blocs de fonte et crocs d’acier…
C est la poésie d agonie . La plume du vingt trois .. Janvi… L homme s est attaqué à un peuple… Le type seras jugé devant l Allia… Pour crimes de guerre et de l hum…
C’est elle, c’est la mer ! Enfin… Enfin je te revois, magnifique éte… Ô mer, dont chaque flot luit comme… Après tant de longs mois passés lo… Je reviens, et j’éprouve au moment…
L’homme songeait : « Qui cherche… Mes victoires sont des désastres. Je suis cloué sous le zénith Et je voulais saisir, à l’horizon,… « Tout m’échappe. Comment savoir
Contraint de renoncer à la chevale… Don Quichotte voulut, pour se déd… Mener une plus douce vie, Et choisit l’état de berger. Le voilà donc qui prend panetière…
Po… La dent de ton Érard, râtelier osa… Et scie et broie à crû, sous son t… La gamme de tes dents, autre clavi… Touches qui ne vont pas aux cordes…
Ni eux ni rien pas même Lui Des marches parmi les branches qui… nuages On ne peut pas trouver le numéro n…
Après cette scène où je me suis montré si éclatant de chasteté que peut-il advenir ? Où sont mes papiers et mon identité vieillie et la date de ma naissance imprécise ? Et, d’ailleurs, ...
Dans le repli d’une anse fraîche Où tremble le moelleux reflet D’un clair ciel rose et violet, Sommeille le bateau de pêche. Sur l’eau qui s’est agatisée,
Quand je monte vers la barrière, En laissant la ville en arrière, Quand la rue est près de finir, Un mirage, un décor, un rêve Au bout de mon chemin se lève :
C est le texte d Urbanos . Le récit d aujourd’hui .. Le 20… Les derniers vainqueurs . Argentine en 2022 . France en 2018 .
Incorruptible azur, déesse lumineu… Puisque vous avez bien voulu me vi… Je remettrai mon coeur entre vos m… Pour que vous le guidiez, par les… Au chemin de l’exacte et claire vé…
Je suis bien ignorant, Madame : Je ne sais si j’ai quatre mains, Si je n’ai qu’un corps ou qu’une â… Ou quatre pieds sur les chemins. Je ne sais pas si j’ai deux queues…
Ô ciel natal ! toi que j’admire en… Lorsque l’hiver se couche aux pied… Sommets glacés, où rayonne l’auror… Sublime autel des vœux que nous fo… Votre beauté s’assombrit sous la n…
Riant portrait, tourment de mon dé… Muet amour, si loin de ton modèle… Ombre imparfaite du plaisir, Tu seras pourtant plus fidèle. De ta gaîté je me plains aujourd’h…
Transpira el temps en el cos d’un vers fet dona com un verb de tardor als ulls mentre camines És temps de castanyes i de fulles.
À Fran… La guirlande du sommeil, De nuit en nuit suspendue, Sur le pâle et frêle éveil Des jours humains est tendue.
Toujours le malheureux t’appelle, Ô Nuit, favorable aux chagrins ! Viens donc, et porte sur ton aile L’oubli des perfides humains. Voile ma douleur solitaire ;
Je suis comme cette plante, Quand j’ai assez d’eau et de solei… Je bourgeonne, je grandi, et j’écl… Je m’accroche, quand le vent et le… Je bois l’eau de la pluie quand el…
Une tempête souffle, et sur l’imme… S’appesantit un ciel presque noir… Où s’obstine le vol grisâtre d’un… Qui le rend plus funèbre encore et… Un tourbillon de sable éperdu se p…
À qui vierge me gardera : La richesse. À qui bien parler me fera : La sagesse. À quiconque me violera :
“ Être Ange, C’est étrange “ Dit l’Ange. ” Être Âne, C’est étrane,”