Toi par qui j’ai senti, pour des h… Ma jeunesse renaître et mon cœur r… Sois bénie à jamais ! J’aime, je… J’ai vécu le meilleur et le plus b… Et vous qui me rendiez le matin de…
Ô Mort, j’ai connu la souffrance De sentir le vide et le noir Arracher d’un seul coup de gueule… Alors dans la ville j’errai, Me demandant pourquoi le bruit et…
Souvent le cœur qu’on croyait mort N’est qu’un animal endormi ; Un air qui souffle un peu plus for… Va le réveiller à demi ; Un rameau tombant de sa branche
Amour qui n’est qu’amour, qui vit… De soi-même par soi par soi-même a… Qui naquit éternel vif à l’éternit… Qui surpasse en aimant l’âme et la… Que cet amour est près de la divin…
1604. Ô Sagesse éternelle, à qui cet uni… Doit le nombre infini des miracles… Qu’on voit également sur la terre… Mon Dieu, mon Créateur,
L’ENFANT fantôme fend de l’homm… entre les piliers de pierre : 2R,… (La tour monte, attention au ciel) Comme il mue, avec sa voix de rogo…
Comment pourrez vous suivre dans c… dans cette atmosphère volatile écorché sous ce soleil punitif en découvrant la mort d’un natural… J’ai bien attrapé cette chose cas…
Parfois, c’est vraiment épuisant, C’est, comme un vil étouffement, C’est, comme l’emprisonnement, Parfois, c’est vraiment accablant. Ce monde-là d’obligations,
Du travail des aïeux, salut, cher… Salut, pierre modeste unie au dur… Dans notre vieil enclos, qui rarem… Je t’aime et te vénère, ô puits de… Et, des marbres taillés pour le fa…
Celle, de qui l’Amour vainquit la… Que Jupiter conçut sous un Cygne… Cette sœur des Jumeaux, qui fit p… Opposer toute Europe aux forces d… Disait à son mirouer (1), quand el…
Petite larme Que sont ces maux qui me soucient, Serait-ce un brin de mélancolie, Un lourd chagrin qui se révèle, Un bien profonde tristesse qui m’a…
Ta fidélité Mon Dieu, que deviendrais-je sans… Livré à moi-même, sans ta présence… Oui je veux te louer tout au long… Lever les mains vers le ciel, et t…
Avec mes vieilles mains de ton fro… J’écarte tes cheveux et je baise,… Pendant ton bref sommeil au bord d… La ferveur de tes yeux, sous tes l… Oh ! la bonne tendresse en cette f…
Les paysages froids sont des chant… Et les jardins de mai de languides… Qui chantent doucement les péchés… Et mènent les amants à de douces c… Les paysages froids sont des chant…
C’est dans tes bras Que j’ai pu triompher de mes peine… C’est par ton souffle que j’éteign… C’est par la lyre de tes mains dan… Que j’ai appris à écouter le monde…
Une cuillère vole, sous l’ciel de… Une fourchette enveloppe, le pain… Ce couteau là absorbe, ton entière… Un verre qui déborde, de perles à… Une assiette décor, c’que tu as co…
France, telle qu’elle est, j’offre… Comme un autre jadis l’eût dédiée… Du temps où, sauf la cour, tout le… Pour qu’il la protégeât et qu’elle… Et d’ailleurs faudrait-il qu’on di…
Je les avais jadis visités, ces ri… Où le cristal des eaux reflète un… Où la terre embaumée abonde en fle… Où le figuier s’incline et trempe… Au maritime azur.
L’oiseau observe tout son entourage. L’œil n’est jamais fixe sauf si l’attention naît dans la beauté.
Amie ailée Par ce beau soleil se couchant, Je vois un ange doré se levant, Montant vers les étoiles si lointa… Comparées à de si glorieuses reine…
Et je dirai les mots qui se disent… Ceux qui parlent passion et d’amou… parce que quand je te regarde mon… et je ressens une forte attraction… et je mangerai les choses qui se m…
Faut-Il que ma douleur aussi soit… Faut-il que par instants je tressa… De trop souffrir pour moi ?—Dans… Près de quelle fenêtre ouvrant sur… Au fond desquels un peu de lumière…
Sauf le… qui veulent commencer par la fin i… a tant de choses qui finissent par… commencement que le commencement commence à finir par être la fin l…
Aujourd’hui Je parcours ces routes Ces routes qui me racontent mainte… —une histoire d’amour. Elles ne seront plus jamais les mê…
On ne peut trop louer trois sortes… Les Dieux, sa Maîtresse, et son… Malherbe le disait ; j’y souscris… Ce sont maximes toujours bonnes. La louange chatouille et gagne les…
Je déteste ce silence qui m’agripp… je verrouille ma porte, dans l’obscurité de cette nuit san… le froid s’installe, j’ai besoin de passion pour me réc…
Je ne t’aime pas pour que ton espr… Puisse être autrement que tu ne pe… Ton songe distrait jamais ne pénèt… Mon cœur anxieux, dolent et surpri… Ne t’inquiète pas de mon hébétude,
Je suis l’été riche et superbe, La saison des brûlants soleils, Jusqu’au genou, plongé dans l’herb… Je me couronne d’une gerbe, Pleine de fleurs aux tons vermeils…
L’éclair vibre sa flèche torse À l’horizon mouvant des flots. Sur ta natte de fine écorce Tu rêves, les yeux demi-clos. À l’horizon mouvant des flots
Le sang de l’innocent a tant rougi… La force a tant pesé sur le monde… Qu’on craint toujours de voir dans… Du génie et des arts le soleil écl… Refrain :
La tranquille Habitude aux mains… Panse, de jour en jour, nos plus g… Elle met sur nos cœurs ses bandele… Et leur verse sans fin ses huiles… Les plus nobles chagrins, qui voud…
Pauvre faune qui va mourir Reflète-moi dans tes prunelles Et fais danser mon souvenir Entre les ombres éternelles. Va, et dis à ces morts pensifs
Oui, nous sommes les fiers, nous s… Le siècle nous a faits tristes, va… Condamnant sans pitié la peur et l… Nous plaignons les vivants sans gé… S’il tombe de nos yeux quelques va…
La source coule sur le sable coura… Le petit ruisseau continue son voy… Petites fleurs pâquerettes et autr… Les petites grenouilles osent sort… Cette chaleur douce dans ce coin d…
A tous les hommes que j’ai aimé, Ne vous faites pas d’illusions Il n’a jamais été question de vous Je n’ai aimé que vos manières, vos… Que pour la simple raison que je n…
Parmi châtaigniers et genêts Où s’émouchaient, sans pouvoir paî… Des montures sous le harnais, Ronflait l’humble fête champêtre. Les crincrins et les cornemuses,
Jadis certain Mogol vit en songe… Aux Champs Élysiens possesseur d’… Aussi pur qu’infini, tant en prix… Le même songeur vit en une autre c… Un ermite entouré de feux,
Sonnet. Je ne suis pas de ceux pour qui le… Au coin du feu, l’hiver, ont de gr… Car j’ai pour tous voisins d’intré… Rêvant de chiens dressés, de meute…
De la Renommée du Roi Henri le G… Ballet de la Reine, dansé au mois… Pleine de langues et de voix, Ô roi, le miracle des rois, Je viens de voir toute la terre,
Pour les rêveurs, la source a touj… Songeuse avec son cou flexible et… Avec sa lèvre humide, avec ses bra… Au jeune athlète lier des poussièr… Les bois cachent encor la cynique…
Quand dans cet atroce enfer j’entr… Mais que de loin je t’aperçois, Sur ta beauté je me concentre, Plus brillante splendeur qui soit, J’ai des papillons dans le ventre.
Dans ce moment les politesses, Les souhaits vingt fois répétés, Et les ennuyeuses caresses, Pleuvent sans doute à tes côtés. Après ces compliments sans nombre,
Je t’aime à n’en plus pouvoir pens… Je t’aime à n’en plus être entière… Je t’aime à n’en plus pouvoir dorm… Je t’aime à n’en plus savoir là qu… Je t’aime à en perdre la notion du…
Ma France, quand on a nourri son… Du lait de votre Gaule, Quand on a pris sa vie en vous com… La fougère et le saule, Quand on a bien aimé vos forêts et…
Une aube de douceur s’éveille sur… Le printemps de Bretagne a fleuri… Les cloches de Ker-Is l’ont dit j… Aux pâles « En-Allés » qui ne rev… Nous aussi qui vivons et qui mourr…
Gentils oiseaux, venez à ma fenêtr… Ce blanc duvet est pour vos petits… Je sens aussi que le printemps va… Mon cœur ému s’épanche au sein des… Les fleurs déjà dégagent leurs cor…
Pourquoi semer sur notre route Tant de vains dogmes affligeants ? L’amour s’enfuit sans qu’on s’en d… Lorsqu’il voit venir les vieux ans… On chante une fois la romance
À mon ami ***. Oui, vous avez franchi la jeunesse… Vous avez passé l’âge où chaque he… Où, tout rêvant, on court le front… Et déjà s’ouvre à vous l’âge du so…
A Venise, un grand seigneur A Sarah la marinière Offrit, pour toucher son cœur, Une fortune princière ; Mais en vain il soupira...
J’ai reparu sur la colline Dans un nuage aux franges d’or, Je suis la beauté qui décline ; Mais, à mes charmes, on devine Que les cœurs me suivent encore !
Ô Beauté nue à jamais solitaire, Élève ton corps blanc du milieu de… Et laisse que le souffle ingénu du… Caresse ton épaule et le bout de t… Laisse sous le jour bleu qui coule…
Ton coeur n’est plus à moi Amie qui a fait ma joie, Pour ta gentillesse ancrée en toi, Je voudrais te dire merci, D’avoir enchanté ma vie.
D’illusions fantastiques Quel doux esprit t’a bercé ? Qui t’a dit ces airs antiques, Ces contes du temps passé ? Que j’aime quand tu nous chantes
Arbres, montagnes, champs neigeux, Je vous vois naître Dans un rayonnement laiteux A ma fenêtre. Le jour passera somnolent
Non, plus de vers, jamais ; ce mon… Ma muse, a fait pâlir ton front pu… Ton aile s’est brisée en touchant… Comme un oiseau blessé cache-toi d… Non, plus de vers, jamais, car les…
Depuis de longs jours, l’ouragan q… Va nous emportant sur l’Océan noi… Bien loin de la rive où je vins au… Pour des maux que nul n’eût osé pr… Le mât du vaisseau, que bat la tou…
Il est un arbre fier, droit, austè… Que n’aime pas l’oiseau, ni la fle… Ni la vigne flexible aux rameaux c… Floréal le dédaigne & brumaire l’o… Et jamais on ne voit que la tempêt…
Avertie mais abattue Vaincue dans mon jeu Sans défense prévue Sans sens, sans issue. Labyrinthe de doutes
Elle est bâtie en terre, et la sau… Orne un faite croulant ; toiture m… Il en sort, le matin, une lente fu… (Voyez) belle au soleil, blanche e… Le clair ruisseau des monts coule…
Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…