Le sang de l’innocent a tant rougi… La force a tant pesé sur le monde… Qu’on craint toujours de voir dans… Du génie et des arts le soleil écl… Refrain :

Ce qu’il nous faut, à nous, pauvre… Tribu rebelle à tout joug détesté, C’est une lyre avec des chansonnet… C’est le soleil avec la liberté. Alors qu’on voit tant de larmes am…

Jeunes et vieux, si vous êtes moro… J’ai le secret de rendre la gaité… Si vous voulez voir refleurir les… De votre teint, signe de la santé, Mieux qu’un docteur aux savantes f…

Le gai chevreau bondit et se suspe… Aux longs rameaux du cytise ou du… Capricieux, sur les cimes grimpant… Il court aux fleurs, aux feuillage… Rêvant la lutte en ses joyeux ébat…

Lorsqu’Éole a, dans leur caverne, Renfermé les tristes autans, Quand l’oiseau qui chez nous hiver… S’en va regagner ses étangs, Ô doux printemps, ta jeune épouse,

Ce que j’aime à voir, ce que j’aim… Ce que j’aime à voir, Veux-tu le savoir ? Ce sont tes beaux yeux, c’est ta t… Ce sont tes beaux yeux,

Près d’une mère une fille chérie Sentait venir le dernier de ses jo… Tout art est vain et c’est en vain… Contre le mal il n’est plus de rec… Tous à la mort ont laissé sa victi…

Le bonheur, j’imagine, C’est d’être à carnaval Pressant la taille fine D’une danseuse au bal, Danseuse jamais lasse

Les festins font naître la joie Et le franc rire et les bons mots… Mais lorsque la raison s’y noie L’ivresse est le pire des maux. Nous, les enfants de l’harmonie,

Adieu beauté, parure du jeune âge, Bientôt l’hiver va neiger sur mon… La main du temps qui ride mon visa… Chaque matin me réserve un affront… De noirs cheveux j’ai beau parer m…

Pourquoi ne pas aimer lorsqu’on es… Qu’on a la joue en fleur et que so… Où le sein devient fort à rompre l… On aperçoit éclore en leur nid de… Mille petits amours qui, du bout d…

Par l’esprit ou par la fortune J’aime à voir tout homme grandir ; Nulle gloire ne m’importune, Je ne suis pas las d’applaudir ; Je trouve même légitime

Pour quelle faute originelle, Bohèmes qui tendez les mains, Allez-vous ainsi, sans semelle, De vos pieds user les chemins. Nous, nous rêvons une industrie

Elle croyait, hélas ! pauvre enfan… Pouvoir suivre en son vol et ses b… L’âme de Lamartine, alors que sur… Il préludait près d’elle à ses pre… Vierge et Napolitaine, à ces chan…

Frères, j’ai fait déjà deux fois l… J’ai coudoyé partout la foule des… Aux abîmes profonds quand j’ai jet… Le vice a dépassé le nombre des ve… Le mal porte en tous lieux sa seme…