À Mme N. Je voudrais, en groupant des souve… Imiter le concert de vos grâces my… J’y vois, par un soir d’or où vals… La libellule bleue effleurant les…
Entre la maison et le ciel Tout se gonfle Car le vent souffle Les étoiles montent de la cheminée Une à une elles se sont fixées
Perfidie cruelle Comme les dunes des désert qui se… Le cœur de l’homme est instable, p… Pour faire preuve tantôt d’une vas… Cher ami, nous avons tant cheminé…
Tristes circonstances C’est dans la peine que je te voya… Je te voyais tous les jours rejeté… Depuis longtemps tu avais perdu le… Chaque jour, cela devenait de pire…
Petite Amandine Déjà si câline Près de ses parents Petite fleur éclose, Au matin de vie
Sonnet. Le choeur, alors qu’il est sombre… Et qu’un recueillement sur les cho… Conserve encor dans l’air que l’en… Comme un frisson épars des hymnes…
Mon âme, quels ennuis vous donnent… Le vivre vous chagrine et le mouri… Pourtant, vous n’aurez point au mo… Que d’être objet qui vit, qui joui… Mon âme, aimez la vie, auguste, âp…
Comment aurait-elle pu, Quand je le pouvais à peine, Renouer le fil rompu De notre vie incertaine ? Les baisers sont des baisers.
Épigramme. Alix, qu’on traînait prisonnière, À sa mère dit sans rougir : « Cessez de pleurer tant, ma mère, Je me ferais bien élargir. »
Encendí una antorcha, disque para no ir a tientas. Me puse al cuello un hacha apostando novecientas noches sin poder dormir
Gallus Chanteurs mélodieux, habitants des… Le ciel pâlit, Vénus à l’horizon… Cynthia vous écoute, enivrez son o… Versez-lui le flot d’or de vos bel…
Le chemin devant moi N’est pas une ligne droite Il y a des courbes et des raccourc… Il est large et étroite Il y a des hauts et des bas
Dans ses tentacules noueuses, le f… Où m’étant endormi, la douche Mor… Passionnément s’éprend d’un doucer… Et bientôt l’enlace, lui gravant s… La danse voluptueuse de l’entrelac…
(Du camp de Philisbourg, le 3 jui… C’est ici que l’on dort sans lit, Et qu’on prend ses repas par terre… Je vois et j’entends l’atmosphère Qui s’embrase et qui retentit
« A quoi songes-tu donc de t’engou… Serais-tu désormais à ce point rad… Géant qu’on disait si farouche ? Depuis plus d’un long mois, à quoi… D’être là, somnolent, de languir a…
Trésor précieux Voici qu’encore et toujours je che… Quelle vigueur m’anime et me fait… Dans un monde où l’identité est di… Une bien vaste notion qui parfois…
Sitôt que j’eus le franc usage de… Je le mis en des mains qui s’ouvra… C’étaient de douces mains, si bell… Dont le toucher était délicieux et… Heureux et frémissant de les senti…
Dans le jardin, sucré d’oeillets e… Lorsque l’aube a mouillé le serpol… Et que les lourds frelons, suspend… Chancellent, de rosée et de sève p… Je viendrai, sous l’azur et la bru…
Deux compagnons, pressés d’argent, A leur voisin fourreur vendirent La peau d’un ours encor vivant, Mais qu’ils tueraient bientôt, du… C’était le roi des ours, au compte…
Sur la branche d’un arbre était en… Un vieux Coq adroit et matois. Frère, dit un Renard adoucissant… Nous ne sommes plus en querelle : Paix générale cette fois.
Au loin, Le bleu jaillit dans sa présence en entourant le vert plat éclairé par les ondes jaunes. Entretemps,
C’était en juin, dans le jardin, C’était notre heure et notre jour… Et nos yeux regardaient, avec un t… Les choses, Qu’il nous semblait que doucement…
Je réfléchissais tellement vite Que le temps semblait ralentir. J’allais très vite que je sentis, Pour une fois de toute ma vie, Les mains nues et gourdes,
Il n’est pas toujours véritable Que chacun aime son semblable, Puis qu’on voit d’un contraire sor… La plus camarde de la rue Être amoureuse devenue
Épigramme. Je n’aime point la dame en amour s… Puis qu’on perd sans regret ce qu’… Tels plaisirs sont plus tôt étouff… La femme et le cheval sont de même…
Loin du cap de Penn’hor, où hurla… Sombre comme le rire amer des gran… Bonds sur bonds, queue au vent, cr… Va ! Cours, mon bon cheval, en ro… Qu’il est sombre, le rire amer des…
Déjà la nuit s’avance, et du sombr… Ses voiles par degrés dans les air… Sommeil, doux abandon, image du né… Des maux de l’existence heureux dé… Tranquille oubli des soins où les…
Voilà, des photos et des mots . Une envie d écrit cette poésie . Aujourd’hui, j ai décidé de trouve… Des choses .. le gay passions . Alors, j espère vous retrouvez .
Alors la trompette retenura à tout… Et des oiseaux s’envoleront au bru… Ils voleront longtemps au-dessus d… Et, quand ils se poseront, Déjà nous reposerons
Ainsi que la lueur d’une lampe d’o… Veillant dans une alcôve ou devant… Ainsi, rayon d’amour ou soupir imm… Le feu de la pensée éclaire le fro… Ta lucide beauté ne connaît point…
Donne-moy tes presens en ces jours… Fait les plus courts de l’an, ou,… Dans le ruisseau d’oubly, dessus m… Endors mes pauvres yeux, mes goutt… Misericorde, ô Dieu ! ô Dieu, ne…
C est la rubrique de Sunday . C est un article sur le journal S… C est les fleurs .. Rose, Anémon… Qui s amusent dans le potager . Pour cueillir des légumes pour le…
—« Petite perle cristalline, Tremblante fille du matin, Au bout de la feuille de thym Que fais-tu là sur la colline ? « Avant la fleur, avant l’oiseau,
Quand je célèbre un si beau jour, D’aucune Muse mon amour N’implore le caprice ; Pour faire un couplet bien tourné, Maman, ne m’as-tu pas donné
pour saluer Edouard Maunick Si nous voulons réappareiller l’ab… Si nous voulons désentraver les ma…
Maîtresse de la haute Éryx, toi qu… Dans Golgos, sous les myrtes vert… Ô blanche Aphrodita, charme de l’u… Dionaiade aux belles joues ! Après douze longs mois Adonis t’e…
Quelle tranquille bienveillance Près de ces eaux remuées Où le soleil se balance En traversant la feuillée. Seul le rêve voit nos danses
Loin du méchant qui sut lui plaire Ismène goûtait le repos : Elle avait retrouvé sa mère ; Elle avait oublié ses maux. Tandis qu’au fond d’un bosquet som…
Jamais le ciel, le lac et la monta… Ont-ils brillé dans un accord si d… Jamais, le soir, embaumant la camp… Tant de parfums sont-ils montés ve… Jardins touffus, buissons chargés…
Encore je suis possédé par ton reg… Xérès de tes yeux d’émeraudes qui… Ainsi que tes éclatants cheveux de… Liqueur de tes filaments qui me fa… Tellement de plaisir j’ai à te con…
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
Permet moi de donner, à ces gens a… À ces costumes cravates, qui voien… Ces montres déréglées, qui sont to… Temps de temps dans ces salles, sa… Pour partir sermonner, la machine…
Un pauvre Bûcheron tout couvert d… Sous le faix du fagot aussi bien q… Gémissant et courbé marchait à pas… Et tâchait de gagner sa chaumine e… Enfin, n’en pouvant plus d’effort…
Si je suis reine au bal dans ma ro… Noyant mon petit pied dans un flot… Je suis belle en sortant de mes gr… Je n’ai rien à gagner dans leur pr… Voyant mes cheveux d’or ondoyer su…
Une étincelle perla sur ma joue. Elle était si parfaite ! Son éclat me semblait doux Et mettait mon coeur en fête. Jamais je n’aurais cru un jour
Sois medecin, Phoebus, de la Mais… Qui tient mon Prince en servage s… Vole à son lict, et luy taste le p… Il faut qu’un Dieu guarisse une D… Mets en effect ton mestier, et ne…
Notre nom n’a plus rien à énoncer ni une rivière invisible compagne
Une goutte Trois gouttes Deux gouttes Non Le cœur bat 1,333333... Fois par…
La mélodie nous lâche, dans le dés… A nous de faire face, au plus gran… Celui qui nous oblige, à devenir c… Qui balaie chaque périple, instinc… Je n’ai pas aperçu, celui qui s’év…
Je t’aime Toi dont tant d’années ont enchant… Tu t’absentes et je me rends compt… Tu me manques... reviens, je t’en… Ha ! Je t’aime ! Je ne peux vivre…
Aujourd’hui je me lève, tel un été… La haut je vois ciel, première foi… Virer mélancolie, démarrer sur pis… Fini les bottes de terre, c’est l’… Courons ensemble au loin, demain n…
Tout ce que je sais, c’est que sans toi, je suis une partition sans accord, tu es la musique qui accompagne me… les autres sont des notes qui vire…
Je ne vois pas tes yeux, mais je v… Tout ton être respire un grand air… A te sentir si fraîche en ta calme… Chavette ému tressaille, et Monse… Ta rondeur savoureuse aux poètes i…
Pour l’inviter à revenir de Prove… 1605. Quoi donc ! grande princesse, en l… Et que même le ciel est contraint… Vous avez résolu de nous voir deme…
(Pour le premier ballet de monseig… Dauphin, dansé au mois de janvier… Voici de ton État la plus grande m… Ce fils où ta vertu reluit si vive… Approche-toi, mon prince, et vois…
Seule, en un coin de terre où plan… Et le mélancolique et vague ennui… La vieille maison blanche, aux gra… Pleure-t-elle ses gens, son hôte,… Avec sa porte close et ses carreau…
Oh ! ce bonheur Si rare et si frêle parfois Qu’il nous fait peur. Nous avons beau taire nos voix Et nous faire comme une tente,
A ce propos, en vieil françois. Mais où sont ly sainctz apostoles, D’aulbes vestuz, d’amys coeffez, Qui sont ceincts de sainctes estol… Dont par le col prent ly mauffez,
La campagne, comme autrefois, Avec le bahut, et le coffre, Et l’armoire à vitrail, nous offre Le ber à quenouilles de bois. Dans le coeur d’un merisier rouge,
Je vous remercie Même si je vous ai payé Car ça n’a pas de prix De pouvoir de nouveau danser Sur la musique de la vie