S’il est vrai qu’on fait bien d’ad… Le dessin magnifique et pur du sol… Les bois frais, les blés verts qui… S’il est exquis de suivre à pied l… Il est meilleur d’aller sans remue…

En vain ma force se roidit. C’est bien fini : je l’ai revue. Elle était gaie. On aurait dit Que je ne l’avais pas connue. Quel changement subit et grand

J’ai mêlé ma vie à la tienne, Toutes mes nuits et tous mes jours… Sans que la crainte me retienne D’être enfin seul et sans recours. Lorsque j’ai voulu la reprendre,

Pendant que sur la scène autrefois… Où, l’épée au côté, la cape sur le… Les héros déroulaient leurs fiers… On accorde parfois au Cid une soi… Pendant qu’avec des cris, belle M…

La moisson sent le pain : la terre… Se trahit dans ses lourds épis aux… Et caresse au parfum de ses chaume… L’odorat du poète et de la ménagèr… La tête dans l’air bleu, les pieds…

Il reste la mélancolie Quand le bonheur s’en est allé. Alors il faut bien qu’on oublie Ou qu’on ne soit pu consolé, Mais, comme l’oubli serait pire,

Je veux, humiliant mon front et me… Prosterné devant toi comme on est… Sous le ciel de tes yeux qui font… Baiser pieusement tes pieds petits… J’étancherai, gardant tout mon dés…

Te souviens-tu de ce matin d’hiver… De la dernière et chère promenade… Il faisait beau, le soleil était c… C’était un temps d’heureux ou de m… C’était aussi notre pays charmant,

L’ombre bleuâtre et claire au mili… Comme un long voile plein de tache… Cache à peine la terre et flotte a… Le soleil, en rayant la légère épa… Forme des réseaux d’or où palpiten…

Les caresses, ailes de l’âme, Par le chemin du souvenir, S’en vont, tremblantes, vers la fe… Que l’on n’a pas su retenir. Ô caresses ! choses légères,

C’est l’heure : je sais bien qu’el… Qu’elle n’a pas noué la furtive de… Et que mon désir vain ne dira pas… Devinant la musique exquise de ses… Je sais que les doux mots qu’avait…

Ouvert à la fraîcheur des roses em… Le nez, suite du front classiqueme… Se dessine un peu grand, irréproch… Dans la convention plastique des c… La plus belle parmi les mortes bie…

Sur l’Alpe étincelante et haute Le soleil tombe et se répand. Le chemin enlace à mi-côte La montagne comme un serpent. Ainsi que dans une revue

Si je n’étais pas assez bon, Vois-tu, tu devais me le dire. J’ai l’habitude du pardon Comme toi celle du sourire. L’amant a dans son cœur le ciel :

S’il ne t’avait fallu que mon sang… S’il ne t’avait fallu que mes nuit… Tu sais comme j’aurais noué nos de… Par le bien, par le mal, mon cœur… S’il ne t’avait fallu, pour comble…