#ÉcrivainsFrançais
Le mélange des voix des êtres sous… les frissons des arbres l’étreinte des revirements de fumé… le recul des mains le cœur assassi… Tout l’or et le sang les poitrines…
Enfin me voilà debout Je suis passé par là Quelqu’un passe aussi par là maint… Comme moi Sans savoir où il va
Si j’ai ri ce n’est pas du monde é… Les têtes penchées ou droites me f… Les jambes qui courent tremblent e… Je n’ai pas ri du monde qui passai…
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
La foule descendait plus vite et en criant. Ils venaient tous du fond, de derrière les arbres, de derrière le bois du cadre, de la maison. Chaque visage blanc avait un regard animé—et s...
Par le tuyau du ciel ouvert le ven… Un nuage affolé poursuit son ombre… Et sur le hâle du plafond Une ligne blanche Plus large
A la pointe où se balance un mouch… Au fond noir qui finit le monde Devant nos yeux un petit espace Tout ce qu’on ne voit pas Et qui passe
La seule clef du ciel entre ces ro… C’est l’aigle Quand la lame de fer coupe la vagu… Ma main écrit ton nom sur la glace… Un navire indécis navigue vers mes…
Le matin allait à peine ouvrir son… Sur la route où passaient les homm… Seul il roulait sa boule parmi les… Toute sa peine est étrangère aux a… cherche pas à savoir s’ils en ont
Sur son pied droit brille une très ancienne boucle et sur l’autre, en l’air, la menace. N’approche pas de son domaine où dort tout le passé désagréable. Qui es-tu ? Sans prévoir ce qui ...
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
Les voiles blancs s’effacent décou… L’eau s’agite dans les ornières Derrière le bois les champs et la… Les cheminées jouent au ballon dès… Le soleil monte et redescend
Au moment où les chevaux passaient, la suspension trembla. Le plafond menaçait de se pencher à droite, contre nos têtes ; mais les fenêtres restaient d’aplomb avec le ciel, et l’on voya...
Il est allongé et il dort. C’est un corps mort. Un dernier rayon éclaire son visage calme où brillent des dents sans éclat. Les heures sonnent doucement autour de sa tête ; il ne les en...
Les voix qui s’élevaient tremblent… Tout est calme dans la clairière On pourrait voir passer ceux qui s… Sur cette route sans ornières D’où vient celui que l’on ne conna…