Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Les courses furent intrépides (Comme aujourd’hui le repos pèse !… Par les steamers et les rapides. (Que me veut cet at home obèse ?) Nous allions,—vous en souvient-il,
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
L’une avait quinze ans, l’autre en… Toutes deux dormaient dans la même… C’était par un soir très lourd de… Frêles, des yeux bleus, des rougeu… Chacune a quitté, pour se mettre à…
Dans le vieux parc solitaire et gl… Deux formes ont tout à l’heure pas… Leurs yeux sont morts et leurs lèv… Et l’on entend à peine leurs parol… Dans le vieux parc solitaire et gl…
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
Courtisane au sein dur, à l’oeil o… S’ouvrant avec lenteur comme celui… Ton grand torse reluit ainsi qu’un… Fleur grasse et riche, autour de t… Arôme, et la beauté sereine de ton…
N’est-ce pas ? en dépit des sots e… Qui ne manqueront pas d’envier not… Nous serons fiers parfois et toujo… N’est-ce pas ? nous irons, gais et… Modeste que nous montre en sourian…
Maintenant, au gouffre du Bonheur… Mais avant le glorieux naufrage Il faut faire à cette mer en rage Quelque sacrifice et quelque honne… Jettes-y, dans cette mer terrible,
Des yeux tout autour de la tête Ainsi qu’il est dit dans Murger. Point très bonne. Un esprit d’enf… Avec des rires d’alouette. Sculpteur, musicien, poète
La dure épreuve va finir : Mon coeur, souris à l’avenir. Ils sont passés les jours d’alarme… Où j’étais triste jusqu’aux larmes… Ne suppute plus les instants,
Quinze longs jours encore et plus… Déjà ! Certes, parmi les angoisse… La plus dolente angoisse est celle… On s’écrit, on se dit que l’on s’a… D’évoquer chaque jour la voix, les…
Ce brouillard de Paris est fade, On dirait même qu’il est clair Au prix de cette promenade Que l’on appelle Leicester Square Mais le brouillard de Londres est
Dans l’herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond Pleure, on veut croire. Quoi donc se sent ?
Il est un arbre au cimetière Poussant en pleine liberté, Non planté par un deuil dicté, - Qui flotte au long d’une humble pi… Sur cet arbre, été comme hiver,