Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Sois de bronze et de marbre et sur… Certes, prise l’orgueil nécessaire… Pour ton combat avec les contingen… Que les poils de ta barbe ou le sa… Mais vis, vis pour souffrir, souff…
Un serpent, s’élançant du tronc cr… Darde son noir venin sur l’aigle a… Le noble oiseau s’abaisse et sa se… A bientôt châtié le reptile odieux… La bête, qui tordait ses anneaux a…
Tu bois, c’est hideux ! presque au… Je bois, c’est honteux, presque pl… Ce n’est plus ce qu’on appelle une… Ah ! la femme, fol, fol est qui s’… Les hommes, bravo ! c’est fier et…
Que ton âme soit blanche ou noire, Que fait ? Ta peau de jeune ivoir… Est rose et blanche et jaune un pe… Elle sent bon, ta chair, perverse Ou non, que fait ? puisqu’elle ber…
Le poète est un fou perdu dans l’a… Qui rêve sans repos de combats anc… De fabuleux exploits sans nombre q… Puis chante pour soi-même et la ra… Plus tard, indifférent aux soucis…
Calmes dans le demi-jour Que les branches hautes font, Pénétrons bien notre amour De ce silence profond. Fondons nos âmes, nos coeurs
J’ai vu passer dans mon rêve —Tel l’ouragan sur la grève,— D’une main tenant un glaive Et de l’autre un sablier, Ce cavalier
Va, chanson, à tire-d’aile Au-devant d’elle, et dis-lui Bien que dans mon cœur fidèle Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte,
Si tu le veux bien, divine Ignora… Je ferai celui qui ne sait plus ri… Que te caresser d’une main errante… En le geste expert du pire vaurien… Si tu le veux bien, divine Ignora…
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
Puis, déjà très anciens, Des songes de souvenirs, Si doux nécromanciens D’encor pires avenirs : Une fille, presque enfant,
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
L’incroyable, l’unique horreur de… Quand l’offense et le tort ont eu… Est un royal effort qui peut faire… Pour le souci de plaire et le soin… L’orgueil, qu’il faut, se doit pré…
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Le diable de Papefiguière Eut tort, d’accord, d’être effrayé De quoi, bons Dieu ! Mais que veut-on que je requière À son encontre, moi qui ai