Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Je suis plus pauvre que jamais Et que personne ; Mais j’ai ton cou gras, tes bras f… Ta façon bonne De faire l’amour, et le tour
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
Je voudrais, si ma vie était encor… Qu’une femme très calme habitât av… Plus jeune de DIX ans, qui portâ… La moitié d’une vie au fond plutôt… Notre cœur à tous deux dans ce châ…
« Quand je cause avec toi paisible… Ce m’est vraiment charmant, tu cau… Quand je dispute et te fais des re… Tu disputes, c’est drôle, et me fa… S’il m’arrive, hélas ! d’un peu te…
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable
L’adultère, celui du moins codifié Au mépris de l’Église et de Dieu… Tout d’abord doit sembler la faute… Tel un trait lancé juste, ayant l’… Beaucoup de vrais croyants, questi…
C’est à cause du clair de la lune Que j’assume ce masque nocturne Et de Saturne penchant son urne Et de ces lunes l’une après l’une. Des romances sans paroles ont,
Le chagrin qui me tue est ironique… Le sarcasme au supplice, et ne tor… Franchement, mais picote avec un f… Et transforme en spectacle amusant… Et, sur la bière où gît mon rêve m…
Les faux beaux jours ont lui tout… Et les voici vibrer aux cuivres du… Ferme les yeux, pauvre âme, et ren… Une tentation des pires. Fuis l’i… Ils ont lui tout le jour en longs…
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.
Ah ! les oaristys ! les premières… L’or des cheveux, l’azur des yeux,… Et puis, parmi l’odeur des corps j… La spontanéité craintive des cares… Sont-elles assez loin toutes ces a…
Le « sort » fantasque qui me gâte… M’a logé cette fois, peut-être la… Et la dernière c’est la bonne—à l’… De mon rêve à ceci le réveil est b… Mais explicable par le fait d’une…
Ô Belgique qui m’as valu ce dur lo… Merci ! J’ai pu du moins réfléchi… Dans le silence doux et blanc de t… Les raisons qui fuyaient comme des… À travers les roseaux bavards d’un…
J’ai rêvé d’elle, et nous nous par… Non pas nos torts, il n’en est en… Mais l’absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris c… Simple elle était comme au temps d…
Madame et Pauline Roland, Charlotte, Théroigne, Lucile, Presque Jeanne d’Arc, étoilant Le front de la foule imbécile, Nom des cieux, cœur divin qu’exile