Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
A vous ces vers de par la grâce co… De vos grands yeux où rit et pleur… De par votre âme pure et toute bon… Ces vers du fond de ma détresse vi… C’est qu’hélas ! le hideux cauchem…
Donne ta main, retiens ton souffle… Sous cet arbre géant où vient mour… En soupirs inégaux sous la ramure… Que caresse le clair de lune blême… Immobiles, baissons nos yeux vers…
Il est grave : il est maire et pèr… Son faux col engloutit son oreille… Dans un rêve sans fin flottent ins… Et le printemps en fleur sur ses p… Que lui fait l’astre d’or, que lui…
Les donneurs de sérénades Et les belles écouteuses Echangent des propos fades Sous les ramures chanteuses. C’est Tircis et c’est Aminte,
C’est plutôt le sabbat du second… Un rhythmique sabbat, rhythmique,… Rhythmique.—Imaginez un jardin de… Correct, ridicule et charmant. Des ronds-points ; au milieu, des…
L’hiver a cessé : la lumière est t… Et danse, du sol au firmament clai… Il faut que le cœur le plus triste… À l’immense joie éparse dans l’air… Même ce Paris maussade et malade
Ils me disent que tu es blonde Et que toute blonde est perfide, Même ils ajoutent “ comme l’onde ”… Je me ris de leur discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du mo…
L’église Saint-Nicolas Du Chardonnet bat un glas, Et l’église Saint-Étienne Du Mont lance à perdre haleine Des carillons variés
Un solide gaillard ! dix-huit ans… Mains à vous arracher la tête de l… Sur un front bas et dur, cheveux r… Puis, à la danse, il a, ma foi, cr… Les enfants poussent drus aux fill…
Ah ! soyez ce que pense une foule… Ou ce que le penseur lui-même dit… Bassement orgueilleux, haineusemen… Avares, impurs, durs, la vérité vo… Et, de fait, nul de vous ne risque…
Opportet hæreses esse. Car il faut, en effet, encore, Que notre foi, donc, s’édulcore Opportet hæreses esse. Il fallait quelque humilité,
Vers les prés le vent cherche nois… Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d’ardoise, Vers les prés clairs, les prés san…
La neige à travers la brume Tombe et tapisse sans bruit Le chemin creux qui conduit A l’église où l’on allume Pour la messe de minuit.
Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Et la blessure est encore vibrante… Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Ô mon Dieu, votre crainte m’a frap… Et la brûlure est encor là qui ton…
L’autel bas s’orne de hautes mauve… La chasuble blanche est toute en f… A travers les pâles vitraux jaunes Le soleil se répand comme un fleuv… On chante au graduel : Fi-li-a !