Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Le pauvre du chemin creux chante e… Il dit : « Mon nom est Pierre et… Et je m’appelle aussi Duchatelet. Une fois je vis, moi qu’on croit t… Passer vraiment une femme très bel…
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Trois petits pâtés, ma chemise brû… Monsieur le Curé n’aime pas les o… Ma cousine est blonde, elle a nom… Que n’émigrons-nous vers les Pala… Ma cousine est blonde, elle a nom…
Il est des jours– avez—vous remarq… Où l’on se sent plus léger qu’un o… Plus jeune qu’un enfant, et, vrai… Que la même gaieté d’un damoiseau. L’on se souvient sans bien se rapp…
Ce brouillard de Paris est fade, On dirait même qu’il est clair Au prix de cette promenade Que l’on appelle Leicester Square Mais le brouillard de Londres est
Un projet de mon âge mûr Me tint six ans l’âme ravie, C’était, d’après un plan bien sûr. De réédifier ma vie. Vie encor vivante après tout.
L’Océan sonore Palpite sous l’oeil De la lune en deuil Et palpite encore, Tandis qu’un éclair
L’art ne veut point de pleurs et n… Voilà ma poétique en deux mots : e… De beaucoup de mépris pour l’homme… Contre l’amour criard et contre l’… Je sais qu’il faut souffrir pour m…
Prince mort en soldat à cause de l… Âme certes élue, Fier jeune homme si pur tombé plei… Je t’aime et te salue ! Ce monde est si mauvais, notre pau…
Car mon cœur, jamais fatigué D’être ou du moins de le paraître, Quoi qu’il en soit, s’efforce d’êt… Ou de paraître fol et gai. Mais, mieux que de chercher fortun…
Je veux, pour te tuer, ô temps qui… Remonter jusqu’aux jours bleuis de… Et bercer ma luxure et ma honte au… De baisers sur Sa main et non plu… Le Tibère effrayant que je suis à…
L’automne et le soleil couchant !… Du sang sur de la pourriture ! L’incendie au zénith ! La mort da… L’eau stagnante, l’homme fiévreux… Oh ! c’est bien là ton heure et ta…
Cruel Hérode, noir Péché, De tes sept glaives tu poursuis Les innocents, lesquels je suis Dans mes cinq sens,—et, qu’empêché Me voici pour, las ! me défendre !
Tout enfant, j’allais rêvant Ko-H… Somptuosité persane et papale Héliogabale et Sardanapale ! Mon désir créait sous des toits en… Parmi les parfums, au son des musi…