" Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
De la douceur, de la douceur, de l… Calme un peu ces transports fébril… Même au fort du déduit, parfois, v… Doit avoir l’abandon paisible de l… Sois langoureuse, fais ta caresse…
Mon fils est mort. J’adore, ô mon… Je vous offre les pleurs d’un cœur… Vous châtiez bien fort et parferez… Qu’alanguissait l’amour pour une c… Vous châtiez bien fort. Mon fils…
Ô Belgique qui m’as valu ce dur lo… Merci ! J’ai pu du moins réfléchi… Dans le silence doux et blanc de t… Les raisons qui fuyaient comme des… À travers les roseaux bavards d’un…
Un projet de mon âge mûr Me tint six ans l’âme ravie, C’était, d’après un plan bien sûr. De réédifier ma vie. Vie encor vivante après tout.
Dansons la gigue ! J’aimais surtout ses jolis yeux, Plus clairs que l’étoile des cieux… J’aimais ses yeux malicieux. Dansons la gigue !
Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Et la blessure est encore vibrante… Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’a… Ô mon Dieu, votre crainte m’a frap… Et la brûlure est encor là qui ton…
Il est des jours– avez—vous remarq… Où l’on se sent plus léger qu’un o… Plus jeune qu’un enfant, et, vrai… Que la même gaieté d’un damoiseau. L’on se souvient sans bien se rapp…
Ô poète, faux pauvre et faux riche… Jusqu’en l’extérieur riche et pauv… (Dès lors, comment veux-tu qu’on s… Tour à tour souple drôle et monsie… Du vert clair plein d’ « espère »…
Couché dans l’herbe pâle et froide… Sous les ifs et les pins qu’argent… Ou bien errant, semblable aux form… Le rêve, par l’horreur du paysage… Tandis qu’autour, pasteurs de trou…
Il fait nuit dans la chambre étroi… Vient de rentrer, couvert de neige… Depuis trois jours il n’a pas pron… La femme a peur et fait des signes… Un seul lit, un bahut disloqué, qu…
C’est une laide de Boucher Sans poudre dans sa chevelure Follement blonde et d’une allure Vénuste à tous nous débaucher. Mais je la crois mienne entre tous…
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
Sécheresse maligne et coupable lan… Il n’est remède encore à vos trist… Que telles dévotions surérogatoire… Comme des mois de Marie et du Sac… Éclat et parfum purs de fleurs rou…
N’est-ce pas ? en dépit des sots e… Qui ne manqueront pas d’envier not… Nous serons fiers parfois et toujo… N’est-ce pas ? nous irons, gais et… Modeste que nous montre en sourian…
Je ne t’ai pas connu, je ne t’ai p… Je ne te connais point et je t’aim… Je me chargerais mal de ton nom di… Et si j’ai quelque droit d’être en… C’est que, d’abord, et c’est qu’ai…