" Poèmes saturniens (1866)"
#ÉcrivainsFrançais
Ce livre ira vers toi comme celui… S’en alla vers la Ville. Il fut chassé de Rome ; un coup b… Loin de mon fils m’exile. Te reverrai-je ? Et quel ? Mais q…
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Courtisane au sein dur, à l’oeil o… S’ouvrant avec lenteur comme celui… Ton grand torse reluit ainsi qu’un… Fleur grasse et riche, autour de t… Arôme, et la beauté sereine de ton…
Je ne t’ai pas connu, je ne t’ai p… Je ne te connais point et je t’aim… Je me chargerais mal de ton nom di… Et si j’ai quelque droit d’être en… C’est que, d’abord, et c’est qu’ai…
Un projet de mon âge mûr Me tint six ans l’âme ravie, C’était, d’après un plan bien sûr. De réédifier ma vie. Vie encor vivante après tout.
A vous ces vers de par la grâce co… De vos grands yeux où rit et pleur… De par votre âme pure et toute bon… Ces vers du fond de ma détresse vi… C’est qu’hélas ! le hideux cauchem…
Tes yeux, tes cheveux indécis, L’arc mal précis de tes sourcils, La fleur pâlotte de ta bouche, Ton corps vague et pourtant dodu, Te donnent un air peu farouche
« Dans les Avents », comme l’on d… Chez mes pays qui sont rustiques Et qui patoisent un petit Entre autres usages antiques, « Dans les Avents les côs chanton…
Nos repas sont charmants encore qu… Grâce à ton art profond d’accommod… Du rôti d’hier ou de ce récent pot… En hachis et ragoûts comme on n’en… Le vin n’a pas ce nom, car à quoi…
Comme un vol criard d’oiseaux en é… Tous mes souvenirs s’abattent sur… S’abattent parmi le feuillage jaun… De mon cœur mirant son tronc plié… Au tain violet de l’eau des Regre…
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube t… Bonjour en deux baisers, et le pau… Pépia, puis remit sa tête sous son… Et tut pour le moment sa gente rit… Ici je te rendis pour les tiens un…
Chabrier, nous faisions, un ami ch… Des paroles pour vous qui leur don… Et tous trois frémissions quand, p… Passait l’Ecce deus et le Je ne s… Chez ma mère charmante et divineme…
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Seul bijou de ma pauvreté. Ton mince argent, ta perle fausse (En tout quatre francs), ont tenté Quelqu’un dont l’esprit ne se haus… Parmi ces paysans cafards
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…