Amour (1888)
#ÉcrivainsFrançais
« Tu m’ostines ! »—« Et je t’emmè… A la campagne. » Ainsi parlaient Deux amoureux dont s’éperlaient Plus d’un encor propos amène. Je crains fort que ces amoureux
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable
Sainte Thérèse veut que la Pauvre… La reine d’ici-bas, et littéraleme… Elle dit peu de mots de ce gouvern… Et ne s’arrête point aux détails d… Mais le Point, à son sens, celui…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand coeur et la gl… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
Nous fûmes dupes, vous et moi, De manigances mutuelles, Madame, à cause de l’émoi Dont l’Été férut nos cervelles. Le Printemps avait bien un peu
Brûle aux yeux des femmes, Mais garde ton coeur Et crains la langueur Des épithalames. Bois pour oublier !
Tes cheveux bleus aux dessous roux… Tes yeux très durs qui sont trop d… Ta beauté qui n’en est pas une, Tes seins que busqua, que musqua Un diable cruel et jusqu’à
Mois de Jésus, mois rouge et or,… Juin, pendant quel le cœur en fleu… Se sont épanouis dans la splendeur… Parmi des chants et des parfums d’… Mois du Saint-Sacrement et mois d…
Éloigné de vos yeux, Madame, par d… Impérieux (j’en prends tous les di… Je languis et je meurs, comme c’es… En pareil cas, et vais, le cœur pl… À travers des soucis où votre ombr…
Le bonheur de saigner sur le cœur… Le besoin de pleurer bien longtemp… Le désir de parler à lui, bas à de… Le rêve de rester ensemble sans de… Le malheur d’avoir tant de belles…
Les courses furent intrépides (Comme aujourd’hui le repos pèse !… Par les steamers et les rapides. (Que me veut cet at home obèse ?) Nous allions,—vous en souvient-il,
Un vieux faune de terre cuite Rit au centre des boulingrins, Présageant sans doute une suite Mauvaise à ces instants sereins Qui m’ont conduit et t’ont conduit…
Je… Mo… D’une aile inquiète et folle vole… To… D’…
Cette vallée est triste et grise :… Pèse sur elle ; L’horizon est ridé comme un front… Oiseau, gazelle, Prêtez-moi votre vol ; éclair, emp…
La tristesse, langueur du corps hu… M’attendrissent, me fléchissent, m… Ah ! surtout quand des sommeils no… Quand les draps zèbrent la peau, f… Et que mièvre dans la fièvre du de…