Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
Les turcs ont passé là. Tout est… Chio, l’île des vins, n’est plus q… Chio, qu’ombrageaient les charmill… Chio, qui dans les flots reflétait… Ses coteaux, ses palais, et le soi…
Mes poèmes ! soyez des fleuves ! Allez en vous élargissant ! Désaltérez dans les épreuves Les coeurs saignants, les âmes veu… Celui qui monte ou qui descend.
Espère, enfant ! demain ! et puis… Et puis toujours demain ! croyons… Espère ! et chaque fois que se lèv… Soyons là pour prier comme Dieu p… Nos fautes, mon pauvre ange, ont c…
Tous les bas âges sont épars sous… Certes, l’alignement des vases et… Ce parterre au cordeau, ce cèdre r… Ce chêne que monsieur Despréaux e… Ces barreaux noirs croisés sur la…
Un jour je vis le sang couler de t… Un immense massacre était dans l’o… Et l’on tuait. Pourquoi ? Pour tu… Voyant cela, je crus qu’il était n… Que quelqu’un élevât la voix, et j…
Quand le vieux monde dut périr, so… Quand l’empire romain d’horreur fu… Chaque vice vint faire au monstre… Luxure, Gourmandise, Avarice, Pa… Colère, Envie, Orgueil, vinrent ;…
Tout est lumière, tout est joie, L’araignée au pied diligent Attache aux tulipes de soie Ses rondes dentelles d’argent. La frissonnante libellule
Pendant que la mer gronde et que l… Et que sur l’horizon les tumultes… Ce veilleur, le poète, est monté s… Ce qu’il veut, c’est qu’enfin la c… Jadis, dans les temps noirs comme…
Ils ont dit : Nous serons les vai… Soldats par la tactique et par la… Nous détruirons progrès, lois, ver… Nous nous ferons un fort avec tous… Et pour nous y garder, comme des d…
L’objet est illustre Dans ce temps caduc. Le duc sonne un rustre, Le roi sonne un duc. Siècle étrange ! il taille,
Une brume couvrait l’horizon ; mai… Voici le clair midi qui surgit ray… Le brouillard se dissout en perles… Et brille, diamant, au collier des… Le vent souffle à travers les arbr…
Lorsque j’étais encore un tout jeu… Et que j’allais entrer dans la lic… Sombre arène où plus d’un avant mo… L’âpre Muse aux regards mystérieu… —Tu pars ; mais quand le Cid se m…
Ces âmes que tu rappelles, Mon coeur, ne reviennent pas. Pourquoi donc s’obstinent-elles, Hélas ! à rester là-bas ? Dans les sphères éclatantes,
—Qu’es-tu, passant ? Le bois est… Les corbeaux volent en grand nombr… Il va pleuvoir. —Je suis celui qui va dans l’ombre… Le Chasseur Noir !
Cent mille hommes, criblés d’obus… Cent mille hommes, couchés sur un… Tombés pour leur pays par leur mor… Comme on tombe à Fleurus, comme o… Cent mille ardents soldats, héros…