Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
Autrefois inséparables, Et maintenant séparés. Gaie, elle court dans les prés, La belle aux chants adorables ; La belle aux chants adorés,
Quand l’enfant nous regarde, on se… Quand il pleure, j’entends le tonn… Car penser c’est entendre, et le v… Est souvent averti par un vague to… Quand ce petit être, humble et pli…
Solitude ! silence ! oh ! le déser… L’âme s’apaise là, sévèrement cont… Là d’on ne sait quelle ombre on se… Je vais dans les forêts chercher l… La sauvage épaisseur des branches…
« Amis et frères ! en présence de ce gouvernement infâme, négation de toute morale, obstacle à tout progrès social, en présence de ce gouvernement meurtri...
Hier, la nuit d’été, qui nous prêt… Etait digne de toi, tant elle avai… Tant son calme était frais ! tant… Tant elle éteignait bien ses rumeu… Tant elle répandait d’amoureuses r…
Ô grande nation, vous avez à cette… Tandis qu’en bas dans l’ombre on s… Un empire qui fait sonner ses étri… Les éblouissements des panaches gu… Une cour où pourrait trôner le roi…
Dante écrit deux vers, puis il sor… Se parlent. Le premier dit :– Les… Cieux ! je suis immortel.– Moi, j… Dit l’autre.– je suis l’astre.– E… —Quoi ! tu doutes étant fils d’un…
Jeanne a laissé de son jarret Tomber un joli ruban rose Qu’en vers on diviniserait, Qu’on baise simplement en prose. Comme femme elle met des bas,
III. Plus loin ! allons plus loin !—Au… J’aime à voir dans les champs croî… Et puis, la ville est là ! je l’en… Pour que j’écoute en paix ce que d…
Ô Louis ! je songeais ! – Baigné… Le soir tombait ; des feux scintil… Les vastes flots berçaient le nid… J’écoutais vers le ciel, où toute… Monter confusément une louange imm…
Un jour au mont Atlas les colline… Dirent : Vois nos prés verts, voi… Où vient la jeune fille, errante e… Chanter, rire, et rêver après qu’e… Nos pieds que l’océan baise en gro…
J’eus toujours de l’amour pour les… Lorsque j’étais enfant, j’allais s… J’y prenais dans les nids de tout… D’abord je leur faisais des cages… Où je les élevais parmi des mousse…
Maintenant, largesse au prétoire ! Trinquez, soldats ! et depuis quan… A-t-on peur de rire et de boire ? Fête aux casernes ! fête au camp ! L’orgie a rougi leur moustache,
Vous eûtes donc hier un an, ma bie… Contente, vous jasez, comme, sous… Au fond du nid plus tiède ouvrant… Les oiseaux nouveau-nés gazouillen… De sentir qu’il commence à leur po…
Pourquoi donc s’en est-il allé, le… Ils viennent un moment nous faire… Puis partent. Ces enfants, que no… Sont à quelqu’un qui n’est pas nou… Tu ne les vois donc pas, vieillard…