Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
Ah ! vous voulez la lune ? Où ? d… Non ; dans le ciel. Eh bien, essa… Et c’est ainsi toujours. Chers pe… Par l’esprit de vouloir la lune, e… J’étends mes mains, tâchant de pre…
(Pour Jeanne seule.) II. Jeanne chante ; elle se penche Et s’envole ; elle me plaît ; Et, comme de branche en branche,
La salle est magnifique et la tabl… Toujours par quelque bout le banqu… Un magique banquet, sans cesse amo… Dans l’or et le cristal et l’argen… A cette table auguste, où siègent…
Un jour je vis le sang couler de t… Un immense massacre était dans l’o… Et l’on tuait. Pourquoi ? Pour tu… Voyant cela, je crus qu’il était n… Que quelqu’un élevât la voix, et j…
A qui donc sommes-nous ? Qui nous… Vautour fatalité, tiens-tu la race… Oh ! parlez, cieux vermeils, L’âme sans fond tient-elle aux éto… Chaque rayon d’en haut est-il un f…
J’étais seul près des flots, par u… Pas un nuage aux cieux, sur les me… Mes yeux plongeaient plus loin que… Et les bois, et les monts, et tout… Semblaient interroger dans un conf…
Monte, écureuil, monte au grand ch… Sur la branche des cieux prochaine… Qui plie et tremble comme un jonc. Cigogne, aux vieilles tours fidèle… Oh ! vole et monte à tire-d’aile
II. Ma fille, va prier !– D’abord, su… Qui berça tant de nuits ta couche… Pour celle qui te prit jeune âme d… Et qui te mit au monde, et depuis,…
Cette nuit-là Trois amis l’entouraient. C’était… On voyait du dehors luire cette cr… Regardant venir l’heure et l’aigui… Il était là, pensif ; et rêvant d’…
Je ne te cache pas que j’aime auss… Cela t’amuse et moi cela m’instrui… Que ce n’est pas pour rien qu’en c… Dieu met le clair-obscur des grand… Je suis le curieux qui, né pour cr…
PAUVRE femme ! son lait à sa tê… Et, dans ses froids salons, le mon… Parmi les vains propos que chaque… Hier, qu’elle était folle, aujourd… Et, seul au champ des morts, je fo…
Au retour des beaux jours, dans ce… Où meurent les Danton trahis par… Quand l’étable s’agite au fond des… Quand l’eau vive au soleil se chan… Quand la grisette assise, une aigu…
Tous les bas âges sont épars sous… Certes, l’alignement des vases et… Ce parterre au cordeau, ce cèdre r… Ce chêne que monsieur Despréaux e… Ces barreaux noirs croisés sur la…
Un jour, maigre et sentant un roya… Un singe d’une peau de tigre se vê… Le tigre avait été méchant ; lui,… Il avait endossé le droit d’être f… Il se mit à grincer des dents, cri…
Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J’étais froid comme les marbres ;