Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
La sœur. Qu’avez-vous, qu’avez-vous, mes fr… Vous baissez des fronts soucieux. Comme des lampes funéraires, Vos regards brillent dans vos yeux…
Ô Virgile ! ô poète ! ô mon maître… Viens, quittons cette ville au cri… Qui, géante, et jamais ne fermant… Presse un flot écumant entre ses f… Lutèce, si petite au temps de tes…
Supposez Goliath mené par Myrmido… Le cornac est tout jeune et la bêt… Le palanquin tremblant par instant… Et vous cahote au point de vous es… Sous ses rideaux de cuir et son to…
Mets-toi sur ton séant, lève tes y… Ce drap glacé qui fait des plis su… Ouvre tes mains, et prends ce livr… Ce livre où vit mon âme, espoir, d… Ce livre qui contient le spectre d…
… La postérité de Joseph rentre dan… Et cette conquête, due aux larmes… Ne coûte pas une larme aux vaincus… Chateaubriand, Martyrs.…
Ô vous que votre âge défend, Riez ! tout vous caresse encore. Jouez ! chantez ! soyez l’enfant ! Soyez la fleur ; soyez l’aurore ! Quant au destin, n’y songez pas.
À Juana la grenadine, Qui toujours chante et badine, Sultan Achmet dit un jour : —Je donnerais sans retour Mon royaume pour Médine,
Au printemps, quand les nuits sont… Quand on voit, vagues tourbillons, Voler sur les fronts les chimères Et dans les fleurs les papillons, Pendant la floraison des fèves,
Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise
Je veille. Ne crains rien. J’atte… Les anges sur ton front viendront… Je ne veux pas sur toi d’un rêve a… Farouches ; Je veux qu’en te voyant là, ta mai…
Viens, ô toi que j’adore, Ton pas est plus joyeux Que le vent des cieux ; Viens, les yeux de l’aurore Sont divins, mais tes yeux
Un jour Ali passait : les têtes l… Se courbaient au niveau des pieds… Tout le peuple disait : Allah ! Un derviche soudain, cassé par l’â… Fendit la foule, prit son cheval p…
Si je pouvais voir, ô patrie, Tes amandiers et tes lilas, Et fouler ton herbe fleurie, Hélas ! Si je pouvais,– mais, ô mon père,
Ce serait une erreur de croire que… Finiront par des chants et des apo… Certes, il viendra, le rude et fat… Jamais l’arrêt d’en haut ne recule… Mais ces jours effrayants seront d…
Le Progrès calme et fort, et touj… Ne sait pas ce que c’est que de ve… Il règne, conquérant désarmé ; quo… De la hache et du glaive il détour… Car le doigt éternel écrit dans le…