Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Une tempête Approchait, et je vis, en relevant… Un grand nuage obscur posé sur l’h… Aucun tonnerre encor ne grondait ;… Frissonnait près de moi ; les bran…
Bien ! pillards, intrigants, fourb… Attablez-vous en hâte autour des j… Accourez ! place à tous ! Maîtres, buvez, mangez, car la vie… Tout ce peuple conquis, tout ce pe…
Quand l’Automne, abrégeant les jo… Éteint leurs soirs de flamme et gl… Quand Novembre de brume inonde le… Que le bois tourbillonne et qu’il… Ô ma muse ! en mon âme alors tu te…
Nous errions, elle et moi, dans le… Elle est fière pour tous et pour m… Les deux et nos pensers rayonnaien… Oh ! connue aux lieux déserts les… Que de fleurs aux buissons, que de…
L’enfant avait reçu deux balles da… Le logis était propre, humble, pai… On voyait un rameau bénit sur un p… Une vieille grand’mère était là qu… Nous le déshabillions en silence.…
J’ai vu ton ami, j’ai vu ton amie… Mérante et Rosa ; vous n’étiez po… Fils, ils ont produit une épidémie De baisers parmi les nids de mon b… Ils étaient contents, le diable m’…
Il lui disait : « Vois-tu, si tou… L’âme pleine de foi, le coeur plei… Ivres de douce extase et de mélanc… Rompre les mille noeuds dont la vi… Si nous pouvions quitter ce Paris…
Ô toi d’où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d’où me vient mon bonheur ! Quand je traverse cette lieue
Je me disais :—Cet homme est-il u… Ne faut-il pas le plaindre ? Est-… Il ne comprend donc pas ? Est-ce… Un bègue ? Un sourd ? D’où vient… Méconnaît tout génie et toute gloi…
Quelquefois, sous les plis des nua… Loin dans l’air, à travers les brè… Par le vent du soir remuées, Derrière les derniers brouillards,… Apparaissent soudain les milles ét…
Elle dort ; ses beaux yeux se rouv… Et mon doigt qu’elle tient dans l’… Moi, je lis, ayant soin que rien n… Des journaux pieux ; tous m’insult… De mettre à Charenton quiconque l…
Au retour des beaux jours, dans ce… Où meurent les Danton trahis par… Quand l’étable s’agite au fond des… Quand l’eau vive au soleil se chan… Quand la grisette assise, une aigu…
Fuis l’éden des anges déchus ; Ami, prends garde aux belles fille… Redoute à Paris les fichus, Redoute à Madrid les mantilles. Tremble pour tes ailes, oiseau,
Être riche n’est pas l’affaire ; Toute l’affaire est de charmer ; Du palais du grenier diffère En ce qu’on y sait mieux aimer. L’aube au seuil, un grabat dans l’…
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,