Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
Pourquoi donc s’en est-il allé, le… Ils viennent un moment nous faire… Puis partent. Ces enfants, que no… Sont à quelqu’un qui n’est pas nou… Tu ne les vois donc pas, vieillard…
Toutes sortes d’enfants, blonds, l… Dont le bleu paradis visite les so… Quand leurs yeux sont fermés la nu… Sont là, groupés devant la cage au… Ils regardent.
Prions ! voici l’ombre sereine. Vers toi, grand Dieu, nos yeux et… Ceux qui t’offrent ici leurs larme… Sont les plus douloureux parmi les… Ils ont le plus d’honneur ayant le…
J’avais douze ans ; elle en avait… Elle était grande, et, moi, j’étai… Pour lui parler le soir plus à mon… Moi, j’attendais que sa mère sortî… Puis je venais m’asseoir près de s…
Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l’aile D’un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes
Arbres de la forêt, vous connaisse… Au gré des envieux la foule loue e… Vous me connaissez, vous !—vous m’… Seul dans vos profondeurs, regarda… Vous le savez, la pierre où court…
Ô honte ! ce n’est pas seulement c… Sacrée alors pour tous, faible cœu… Mais c’est lui, c’est son nom dans… Ce sont les cheveux blancs de son… C’est la pudeur publique en face r…
Si je n’étais captive, J’aimerais ce pays, Et cette mer plaintive, Et ces champs de maïs, Et ces astres sans nombre,
Approchez-vous. Ceci, c’est le ta… Cela hurle en grinçant un benedica… C’est laid, c’est vieux, c’est noi… Pères fouetteurs du siècle, à gran… Ils nous mènent au ciel. Ils font…
L’humble chambre a l’air de sourir… Un bouquet orne un vieux bahut ; Cet intérieur ferait dire Aux prêtres : Paix ! aux femmes :… Au fond une alcôve se creuse.
C’est la nuit ; la nuit noire, ass… L’ombre immense élargit ses ailes… Dans vos joyeux palais gardés par… Dans vos lits de velours, de damas… Sous vos chauds couvre-pieds de ma…
La pauvre fleur disait au papillon… —Ne fuis pas ! Vois comme nos destins sont différ… Tu t’en vas ! Pourtant nous nous aimons, nous vi…
Seigneur, j’ai médité dans les heu… Et je me suis assis, pensif comme… Sur les sommets déserts, dans les… Où l’homme ne vient pas, où l’on v… J’ai de l’oiseau sinistre écouté l…
Oh ! sur des ailes, dans les nues Laissez-moi fuir ! laissez-moi fui… Loin des régions inconnues C’est assez rêver et languir ! Laissez-moi fuir vers d’autres mon…
Quoi, frère, tu frémis parce qu’on… Tu ne connais donc pas la force du… Quand tu te vois honni, hué, siffl… Par des faquins à l’âme obscure, a… Qui firent cent métiers et jouèren…