Toute la lyre (1888 et 1893)
#ÉcrivainsFrançais
—Oh ! comme ils sont goulus ! dit… Il faut leur donner tout, les ceri… Les pommes du verger, les gâteaux… S’ils entendent la voix des vaches… Du lait ! vite ! et leurs cris son…
La conscience humaine est morte ;… Sur elle il s’accroupit ; ce cadav… Par moments, gai, vainqueur, la pr… Il se retourne et donne à la morte… La prostitution du juge est la res…
Sur la terre, tantôt sable, tantôt… L’un à l’autre liés en longue cara… Echangeant leur pensée en confuses… Emmenant avec eux les lois, les fa… Les esprits, voyageurs éternels, s…
Ouvrière sans yeux, Pénélope imbé… Berceuse du chaos où le néant osci… Guerre, ô guerre occupée au choc d… Toute pleine du bruit furieux des… Ô buveuse de sang, qui, farouche,…
Un soir, dans le chemin je vis pas… Vêtu d’un grand manteau comme un c… Et qui me semblait noir sur la cla… Ce passant s’arrêta, fixant sur mo… Brillants, et si profonds, qu’ils…
Ô Robert, un conseil. Ayez l’air… Soyons homme d’esprit. Le moment… Je le sais ; le quart d’heure est… Cette Californie est riche en min… D’accord ; mais cependant quand un…
Hier, le vent du soir, dont le sou… Nous apportait l’odeur des fleurs… La nuit tombait ; l’oiseau dormait… Le printemps embaumait, moins que… Les astres rayonnaient, moins que…
Prêtre, ta messe, écho des feux de… Est une chose impie. Derrière toi, le bras ployé sous l… Rit la mort accroupie. Prêtre, on voit frissonner, aux ci…
Hélas ! tout est fini. Fange ! ¡… Au-dessus de ce gouffre où croula… Flamboyez, noms maudits ! Maupas, Morny, Magnan, Saint-Arn… Courbons nos fronts ! Gomorrhe a…
Ce siècle avait deux ans ! Rome r… Déjà Napoléon perçait sous Bonapa… Et du premier consul, déjà, par ma… Le front de l’empereur brisait le… Alors dans Besançon, vieille vill…
En Grèce ! en Grèce ! adieu, vous… Qu’enfin, après le sang de ce peup… Le sang vil des bourreaux ruissell… En Grèce, ô mes amis ! vengeance… Ce turban sur mon front ! ce sabre…
Ce n’est pas à moi, ma colombe, De prier pour tous les mortels, Pour les vivants dont la foi tombe… Pour tous ceux qu’enferme la tombe… Cette racine des autels !
Le brouillard est froid, la bruyèr… Les troupeaux de boeufs vont aux a… La lune, sortant des nuages noirs, Semble une clarté qui vient par su… Je ne sais plus quand, je ne sais…
Oh ! les charmants oiseaux joyeux… Comme ils maraudent ! comme ils pi… Où va ce tas de petits gueux Que tous les souffles éparpillent… Ils s’en vont au clair firmament ;
Quand vous vous assemblez, bruyant… Pour aller le traquer jusqu’en sa… Vous excitant l’un l’autre, acharn… –Ne le sentez-vous pas ? – le peup… Qui rêvait à vos cris un dragon da…